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 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.6 thème; the marauders // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
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news -- beyond the myths; étendards hissés, un nouveau vent se lève sur la communauté!
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Brünhild Väisänen
Brünhild Väisänen
≈ SCALES UNDER MY SKIN ≈
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INTRIGUE (( d e s t i n y )) - Page 4 Aqqx
nature : Ondulent écailles serpentines de Léviathan en étendard fièrement affiché. Et voilà que spectre d'Ex Banshee se fait reléguer aux oublieuses eaux du passé.

saisons : Dit qu'ouvrage du temps n'a pas encore été dans sa course folle stoppé. Les 38 étés qui rayonnent sur les traits encadrés par champ de blés. Vieillir est en réalité luxe retrouvé, elle qui accuse en secret 98 années.

myocarde : Le cœur sauvage ignore amoureux outrages. Cache blessure au fond du palpitant gravée et qu'un jour a appartenu à un fiancé. Parce que céder, ce serait leur souvenir tromper.

besogne : Sait aussi bien sublimer la poudre que le fer, pour vous servir sera votre forgeronne et artificière. Mais si était libre hier, aujourd'hui de la Navy est l'une des ouvrières.

errance : S'est fait imposer la lumineuse Lawfort pour prison. Léviathane qui la voit comme terrible donjon.

# Dim 17 Mar 2024 - 21:06

No matter what they say
It's like a brand-new doomsday
D e s t i n y
fin 02.1001
Jour d'arrivée qui approche, et prisonnière de son propre destin ne peut que sentir désastre qui se rapproche. Savait qu'épée de Damoclès au dessus de sa tête suspendue, n'était que par minces filins retenue. Moires jouant de mauvais hasards, laissaient que depuis trop longtemps planer le doute d'un retour à la ville désespoir. Lawfort, citadelle lumière au rayonnement aveuglant qui à l'image d'une sirène impie faisait déjà résonner son chant. Requiem glaçant qui célébrait en grande pompes fin d'une interlude apaisée qui avait fait son temps. Et là au fond de ses entrailles nouées, ne pouvait se déparer de la mauvaise impression que c'est son destin même qui viendrait la trouver. Passé teinté du cruor ennemi qui aimerait sans l'ombre d'un doute lui faire payer cette infamie. Everything comes at a price. Pour la Väisänen heure de s'acquitter de ses dettes avait sonné.


Damnée voici tes pêchés,
Temps de les expier est arrivé.


Pause dans le périple tumultueux jusqu'à mouroir aux lieux de devoir s'était accompagné par indicible envie de savoir. Oracle apparu aussi subitement que l'astre solaire s'était tut. Soulevant dans son étrange sillage fumeuses théories. Pour l'un était annonciateur du jour dernier. Pour l'autre était de l'espoir messager. Divin messager qui par sa nature éthérée venait dans l'esprit profane trouble semer. Croire ou ne pas croire ? À quel dieu prier ? À quel saint se vouer ? À qui implorer ? Car tous n'espéraient qu'une seule et même unique chose : que soleil puisse un jour se réveiller. Alors en ces temps de doutes à l'âme chevillés, pourquoi ne pas venir à la rencontre de sa destiné ?


Jugement sera délivré,
Et pécheresse se verra fixée.


D'un pas qu'elle aurait aimé plus assuré, approche du refuge de celui qui pourra bribe de futur lui délivrer. Dernier soupir est expiré, et avant même de s'annoncer voix du vagabond vient résonner. Et dans l'antre Léviathane se faufile comme si dans la gueule de créature cauchemar elle était en train de se jeter. « I'm on the road to my destiny, and I've come to find you along the way. Shed light on my doubts, and reveal to me what my future holds. I'm ready to listen, so please, oh great seer ! Tell me... » Sourire du sans âge la glace et divination aux contours énigmatiques se dessine devant celle qui ne sait comment l’interpréter.


Les dés sont jetés.
[crédit; code: vixen ❙❙ icon : unknown ❙❙ Lyrics : Architects - Doomsday ]
@the seer

_____________________
Gods & MonstersThey've got the kingdom locked up. And there's an old man sitting on the throne. That's saying I should probably keep my pretty mouth shut.
Brünhild Väisänen
Nell Farrow
Nell Farrow
s a u d a d e
faceclaim & © : haley bennett -- (av+sign) vixen ♡
nature : humaine.
saisons : aube obscure give âme morcelée ; craquèle le sablier fatal sous vingt-neuf risibles années.
myocarde : promise damnée ; moins bague au doigt que chaînes aux poignets.
besogne : serveuse à la dent de requin.
# Mer 20 Mar 2024 - 3:22

the sadness of the world has different ways of getting to people,
but it seems to succeed almost every time
t i t r e



et elle compte les minutes comme des heures. tic tac détraqué par le dysfonctionnement de l’horloge du globe. elle se languit des lendemains heureux écrasés sous les bancs de l'ignoble.
mais la terre a la gueule de l ’ e n f e r.
heaven corrompu, enseveli sous les vices. le néant étend ses racines viles, s’éprends des créatures, des îles, et de leurs plages d’onyx.

you who want to know what the future holds, you who want to hear what the winds told, —approach, approach and beg for your destiny

elle s'est perdue à la croisée des esprits et des corps décimés, et sous ses airs de sainte, se dissimule les prémices du vice, l'appréhension du vide, le désir de vivre. suicidal funambule, elle déroule fil de la destinée, et de l'acmé de ses secrets, se dessine une faille, une fissure qui lui fait défaut. monstre funeste, invétéré. et par l’interstice de cette coupure, de cette césure, il y a la souffrance dissimulée, celle que l’on devine à peine et que l’on frôle sans s'affoler. celle qui perdure, mais qui ne s'estompe jamais. celle qui fait vieillir plus vite, qui endurcie. celle que l’on n’expose pas, celle que l’on tait.

et quand elle le regarde, l'augure aux sinistres chroniques, elle sait. une ride soucieuse au coin des yeux, un éclat froid dans le regard, un tremblement ininterrompu de son index droit. chez nell, l’extrémité de l'horreur à des délires de joie.

-- i'm listening

[crédit; vixen]

_____________________
but dear,
there is sun after rain,
love after pain
Nell Farrow
Nell Farrow
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s a u d a d e
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nature : humaine.
saisons : aube obscure give âme morcelée ; craquèle le sablier fatal sous vingt-neuf risibles années.
myocarde : promise damnée ; moins bague au doigt que chaînes aux poignets.
besogne : serveuse à la dent de requin.
# Mer 20 Mar 2024 - 3:30
Nell Farrow a écrit:

the sadness of the world has different ways of getting to people,
but it seems to succeed almost every time
s a u d a d e



et elle compte les minutes comme des heures. tic tac détraqué par le dysfonctionnement de l’horloge du globe. elle se languit des lendemains heureux écrasés sous les bancs de l'horreur.
mais la terre a le look de l ’ e n f e r.
heaven saccagé, enseveli sous les vices. le néant étend ses racines viles, s’éprends des créatures, des îles, et de leurs plages d’onyx.

you who want to know what the future holds, you who want to hear what the winds told, —approach, approach and beg for your destiny

elle s'est perdue à la croisée des esprits et des corps décimés, et sous ses airs de sainte, se dissimule les prémices du vice, l'appréhension du vide, le désir de vivre. suicidal funambule, elle déroule fil de la destinée, et de l'acmé de ses secrets, se dessine une faille, une fissure qui lui fait défaut. monstre funeste, invétéré. et par l’interstice de cette coupure, de cette césure, il y a la souffrance dissimulée, celle que l’on devine à peine et que l’on frôle sans s'affoler. celle qui perdure, mais qui ne s'estompe jamais. celle qui fait vieillir plus vite, qui endurcie. celle que l’on n’expose pas, celle que l’on tait.

et quand elle le regarde, l'augure aux sinistres chroniques, elle sait. une ride soucieuse au coin des yeux, un éclat froid dans le regard, un tremblement ininterrompu de son index droit. chez nell, l’extrémité de l'horreur à des délires de joie.

-- i'm listening

[crédit; vixen]

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but dear,
there is sun after rain,
love after pain
Nell Farrow
the seer
the seer
-- in the eye of the storm --
faceclaim & © : LUX.
nature : visionnaire des enfers.
# Mer 20 Mar 2024 - 11:34


@vilma sinclair   the seer spoke, and he said

“ in the heart of the storm's fierce roar,
lies a treasure worth much more;
but beware the ghostly wail,
for it leads to a cursed tale ”

---


au cœur du rugissement violent de la tempête,
se trouve un trésor qui vaut beaucoup plus;
mais méfiez-vous du spectre,
car cela mène à un conte maudit.
the seer
the seer
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-- in the eye of the storm --
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nature : visionnaire des enfers.
# Mer 20 Mar 2024 - 11:36


@brünhild väisänen the seer spoke, and he said

“ on the map of stars, a constellation gleams,
guiding souls to forgotten dreams;
but beware the siren's song,
for it leads to where the shadows belong ”

---


sur la carte des étoiles, une constellation brille,
guidant les âmes vers des rêves oubliés;
mais attention au chant de la sirène,
car elle mène à la place des ombres
the seer
the seer
the seer
-- in the eye of the storm --
faceclaim & © : LUX.
nature : visionnaire des enfers.
# Mer 20 Mar 2024 - 11:41


@nell farrow the seer spoke, and he said

“ in the echoes of the pirate's song,
a longing for where she belongs;
but when the melody finds its tune,
a journey will end beneath the moon ”

---


dans les échos du chant du pirate,
le désir de trouver sa place;
mais quand la mélodie trouve son ton,
un voyage se terminera sous la lune
the seer
Sigvidh Dalgaård
Sigvidh Dalgaård
n í ð h ǫ g g r
faceclaim & © : arnas @rage.
nature : se meut sous carne, d'essence leviathan. siffle desseins funestes.
saisons : trente deux péroraisons.
myocarde : pierre à l'abysse. noiraude encre a empoisonné myocarde.
besogne : cisèle l'incandescence des destinées, forge diable à ses envies. s'exerce voleur aux opportunités sans valeur, artisan de péchés, insatiable du solarion clinquant fortune conquérante.
# Dim 31 Mar 2024 - 4:44


wyrd
—— nothing is certain.
all is in flow. (03.1001)
Houle liqueur porte le cœur aux abysses.
Dans la fange, bête serpente, clandestine à l'orée de l'oubli.
Noiraud colle aux écailles, l'odeur de mort qui tombe du ciel.
Et sur toile opaque, le décor est désolation étouffante. La misère de jours sans jour, d'heures sans heurt : hantent les pétrifiés des allées crasseuses. Étranger navigue parmi les lâches qui frissonnent. Destinée a maudit Barter Bay la malheureuse : amarré là, l'aveugle tire filins d'éthers esclaves. Ordonne sans voix, aux mortels impurs. Murmure le vice dans l'oreille, hybris d'exister. Sous la danse silence des nuages, l'arrogant pantin y plante ses pieds. Zieute fatum mystifié, conte sacrilège aux lippes des badauds. Sur l'asphalte rampent les faiblards, empoisonnés à putride peur. « So. Y'are who they call Seer ? » nigaud claque les dents quand darde le ton hargneux. Moqueries frôlent cordes vocales, siffle l'offense toute nue offerte.
« Is there anythin' ya see that's worth beggin' for ? » transgresse satire d'une rhétorique pintée. Tourne prédateur de quelques pas autour de carcasse branlante. Le long de l'échine, lèche la curiosité luxurieuse d'y sauter à la gorge. Un baiser glacé, une lame dans la trachée, voir si l'monde vient à s'effondrer. L'instable chaos, créature se meut aux ombres, vexe le néant, l'inatteignable. Des pupilles, défie le firmament à qui il tend gorge en sacrifice dément.
Morgue en perdition, s'livre pâture affamée de sens. « So Tell me. Tell me 'bout my ghosts. » et du néant, exhume les ennemis d'ici-bas. Labile n'existe qu'à la soif des rivières d'ichor laissées derrière.

@the seer
[crédit; taurus]

_____________________
s e r p e n t
——————— WRAITH
Sigvidh Dalgaård
Eavan Howler
Eavan Howler
{ AVIS DE TEMPÊTE }
faceclaim & © : danielle rose russell & lux (av <3) & vixen (code sign)
nature : hybrides mal-aimés ▬ kraken
saisons : jeunesse illusoire ▬ vingt-quatre trente ans
myocarde : palpitant s'affole sous les échos d'un baiser volé & l'âme sœur impromptue torture l'esprit ▬ célib(à terre)
besogne : services loués aux moins désagréables ▬ pêcheuse, plongeuse, passeuse, navigatrice, contrebandière
errance : va où le vent la pousse ▬ sur les flots
# Ven 5 Avr 2024 - 2:41

now look at you now
right on the edge, how could you ever see it coming
d e s t i n y
Braver dangers des cieux et des mers pour te faire prédire destinée funeste ? Comment refuser pareille occasion. Cœur fougueux t'a menée entre créatures carnassières et par-dessus vagues tenancières. Barter en ligne de mire. T'es pas sûre du pourquoi tu réponds à cet appel étrange. Cet instinct qui a réveillé tsunamis de questions qui t'assaillent quand sommeil se refuse à toi. Vie à la renverse depuis bien trop longtemps. Tu sais plus l'envers de l'endroit. Le juste du faux. Le bon du mauvais. T'es paumée dans la tempête. Orages intérieurs grondent et tonnent sans fin. Petite voix a bien essayé de crier par-dessus le boucan. "Don't go. It'll only get worse." Et peut-être que c'est exactement c'que tu veux. Que ça empire. Que ça s’envenime jusqu'au point de non retour. Parce que tu peux plus revenir en arrière. Parce que tu peux pas remonter le temps et agir autrement. Alors tu veux tuer les espoirs dans l’œuf. Tu veux bâillonner ces rêves stupides où tout s'arrange enfin. "It won't fucking happen, and you already know it." Maintenant, t'as juste besoin de l'entendre de vive voix. Et quoi de mieux que celle des Dieux eux-mêmes ? Pénètres antre mystique l'âme résignée. Fais face comme à ton habitude. Menton haut et regard perçant. Sourire en coin s'étire doucement sur ton visage aux paroles du voyant. « I'm ready Seer. Do your worst. » Défi non dissimulé. Comme à ton habitude. Challenges les Dieux sans crainte. Qu'ils te mettent donc à l'épreuve. Et pourvu que tu en sois digne...
@the seer
[crédit; ethereal]

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▬ the storm that brought me to you


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Eavan Howler
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