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;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer. soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.6 thème; the marauders // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
walking in the mist far from my home now, going in circle round and round
WHAT THE FUTURE HOLDS
pèlerin des marécages, dans sa toile tissée demeure imperturbable; glaise sombre, il est statue figée à l’effigie du savoir. immobile, il attend voyageurs égarés aux envies bagarrées. car il sait: pauvres âmes veulent connaître le beau comme l’infâme; avides, effarés, souffreteux, vides, désemparés, ou convoiteux — par la bassesse ou la noblesse, vous viendrez.
« you who want to know what the future holds, you who want to hear what the winds told, —approach, approach and beg for your destiny » palabres résonnent dans ton esprit et tranchent tes synapses comme mille sabres. prophète voit tes désirs avant ta chair, car il sait jusqu’à la date de ta jetée aux enfers. et quand tu pénètres l’antre encensé, le voilà qui t’offre sourire avant de t’annoncer le pire.
@newsletter les consignes sont simples, vous devez répondre à ce starter pour connaître la prophétie qui vous sera contée. toutes vos arrivées doivent se faire de façon isolée; aucune réponse ne sera liée à une autre. il s'agit seulement de rassembler dans un sujet vos différentes approches que vous pourrez ainsi dater entre janvier et juin. une fois votre réponse postée, l'oracle vous répondra. vous pouvez écrire vos rps en même temps, sans ordre de passage et poster sous ce sujet, que l'oracle ait répondu au joueur précédent ou non. le but étant que quelque soit la prophétie qui vous est donnée, vous puissiez jouer le jeu pour la réaliser dans un de vos futurs rps. vous êtes entièrement libre de l'interpréter comme vous l'entendrez.
Braver les eaux rageuses sous les cieux orageux, ô rat j’te bouff’rai par la queue si tu m’permets d’connaître mon sort d’gredin galeux ; rocailleuse voix du messager rebondit dans l’esprit jamais assagi, attire le rapace sans laisser nulle trace de son vocable assassin. Qu’importe le destin si l’on a l’ivresse ; ou est-ce autre chose, c’te satanée expression qui m’râcle la gueule en chienne vicelarde qui fouaille les restes d’mon festin d’entrailles et d’glaires ? Prunelles sagittales ne quittent pas la silhouette du vieillard crochu à la bouche prophétique ; Darcy la lui arrachera s’il ne lui donne pas ce qu’il est venu quérir en dépit de tout – du vent, du ciel, des flots et du tonnerre qui gronde sous sa peau. Caboche fracassée contre les roches d’une famille brisée lui creuse des trous dans le cœur moisi par les heures qui coulent et roulent sur l’ego dégonflé face au danger qu’il sent gronder, tapi dans les peurs nimbées des pires noirceurs d’une âme sans corps. Ne craint pas la mort, l’imbécile ; la délivre dans tous ses états, en fait l’étalage morbide sans réfléchir – ne craint pas la douleur non plus, mais plus l’anchor qui se tire encore. Abandon gravé en lettres scriptes sur la chair au clair, Darcy clame misère et se traîne aux fripes de l’oracle ; avide de savoir, avide de soi. Please gémissent les globes du pathétique vagabond qui quête le rebond ; please, tell me. Oui, dis-moi qui chuis parmi toutes ces maudites identités aveuglées. Artiste-assassin accueille le mouroir de ses espoirs en mains jointes à la poitrine secouée du palpitant affamé ; savoir, savoir, qui suis-je enfin. Frustré de l’attente et du chemin, Arledge s’agite sous l’onde des orbites creusés. “I’m here.” Please, tell me. “Show me.” Don’t show me the anchor. “What’s my destiny?”
“ i could see the symphony play, shaping night into day; but now all i see is a specter’s call, echoing through your hall. he is the son of a lie, the one for whom you'll die ”
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je pouvais voir la symphonie jouer, transformer la nuit en jour ; mais maintenant tout ce que je vois c'est l'appel d'un spectre, résonnant dans votre hall, il est le fils du mensonge, celui pour qui tu mourras
Faudrait lui montrer où son armure finit et où sa peau commence. Faudrait qu'elle oublie que parfois faut amputer pour survivre mais que cicatriser peut aussi suffire.
Faudrait qu'elle se rappelle que le sang est avant tout une couleur, pas une douleur.
Mais les "il faut" elle les emmerde et préfère jouer à la roulette russe avec sa vie sur l'océan...
nature : (( humanité )) éperdue
saisons : (( 34 )) tempêtes au compteur
myocarde : ça fait un bail qu’elle ne s’est pas accrochée à quelqu’un, elle n’a pas d’temps à consacrer à l’amour ou peut-être que c’est juste une excuse pour planquer la peur de s’faire bouffer ce qui lui reste
besogne : (( navy )) plein la tête, enseigne sur le météor en seconde peau, et le coeur qui s'détache peu à peu d'la propagande anti-hybride
errance : d'îles en îles, au gré des missions de la navy. et puis souvent les pieds à terre entre lawfort et barter bay
Meteor couché, les marins naufragés s’font agacés, s’activent pour redémarrer batterie, juger dégâts d’l’infâmie. Peu de blessés à signaler mais les fiertés sont amochées. Sale éraflure sur l’or impérial, tâche sur la carte d’un monde tribal. Et encore ils auraient pu échouer en territoire ennemis, alors Lucca préfère cette douce folie. Rappel des vas-et-viens de son enfance sur l’île blanche où choper du butin était aussi facile qu’une main glissée sous veston doré. C’est vrai que c’est là qu’elle les a rencontrés –mousquetaires glorieux et audacieux. Et c’est à partir de là que tout a changé dans son quotidien crevé. Alors quand le maître d’un destin est signalé au-delà du ciel gonflé de gris, c’est la perplexité qui sévit. Forcée d’avouer qu’le sien a pris un autre chemin, son esprit dépeint facilement une roue inversée –trop chanceuse jusqu’à présent, elle sait qu’tout peut s’envoler subitement autant qu’elle est la seule reine à tirer les fils de sa destinée. Pour faire taire les craintes des effrayés, la Navy doit s’montrer forte. Sans peurs face à la confrontation. Prête à faire face à toute situation. Let’s play. “I’m not the begging type. Just do your job, old… thing.”
as i enter the demon’s lair i knew it was seeking flesh i just didn’t realize who was the real prey
d e s t i n y
27/09/45 - as we experience the fate of our family, and the curse of a damnation, we must not forget : within our simplest agony, lies the truth of the world, the cage of suffering, and the fierce of demons. we may suffer, but we are the sons and daughters of the fearless, and we will find a way, while bringing the peace humanity desperately needs. to the ackermans through time and years, never forget who we are. we are not monsters. we are heroes.
extrait de ackerman’s last hope
à l’aube de la nuit, au crépuscule des beaux jours, résident les questions, et les frayeurs du monde entier. d’une tempête de non-dits, d’une querelle des envies, souffrent les marcheurs des vagues, qui arpentent l’horizon en espérant y trouver grâce, ou la réponse aux interrogations. et quand démon pose pied à terre, règne la cruauté des noires ambiances, les hurlements encore présents, de chaque destin jeté aux cieux. blanche est l’île des mesquins immortels, mais immaculé se veut, le sang des voyageurs. et quand furie transcende l’espace des dieux, se sait de trop sur ce bout de terre sacré, qu’il renie d’un regard, qu’il oublie d’un soupir. aux gaillards qui se déchirent, ne reste qu’un chemin qu’il admire, une route toute tracée pour arriver devant le fou qui se prétend sage et élu.
in the brightest day, in the darkest night, no evil shall escape our sight. let those who take pride in chaos, be rewarded by our better half. put aside your fear, put aside your suffering, we are the answer to centuries of destruction. and with the might of a curse we would gladly leave behind, let’s tear down the monsters humanity is facing, be it creatures or worse…
ajouts de deimos au ackerman’s last hope
alright, let’s begin. d’une ire contenue, d’un espoir vain, et d’une tendance à déceler le mal sur les traits d’altruistes prétendus, ose esquisser rictus face au vieillard qui se dit lié au divin, comme à la nuit éternelle. et si l’acier réside encore dans le cuir de ses terribles méfaits, les vagues des rétines s’agitent face à l'oracle, l’homme venu d’ailleurs pour se faire roi des maudits, roi des bénis. dans l’antre des mystères, sous le jugement des dieux qu’il ne vénère pas, l’hérétique portant l’héritage d’une autre prophétie vient quérir les paroles d’un savant, ou les palabres d’un fou. but be aware, dear « seer », that i still don’t believe in all that crap. se veut l’ardent messager du diable, face au foutu envoyé des plus grands. i am just curious of what you could tell me. dans l’hypothèse bien trop démente, que jamais il ne mente and ready to see, if really you can show me.
as a non believer, i wanna believe. as a cursed one, i wanna be free. let me hear what knowledge you have and bring justice if you try to tell lies.
@the seer [crédit; martyr (icon), dc comics (inspiration)]
_____________________ -- and it wasn't my choice to love you but it was mine to leave. --
i don't think the moon ever meant to be a satellite, kept in loving orbite, locked in hopeless inertia, destined to repeat the same pattern over and over.
i pray for redemption, for a way to be saved. i pray for hope, or a release of the soul
d e s t i n y
aux détours des ténèbres, règne nuit noire et belle symphonie des cris, et de l’horreur, quand les monstres se tapissent dans l’ombre des secrets, dans le creux des marées, dans la folie des damnés. arpentent les fracas, arpentent les cauchemars, et terrassent les manants, terrassent les plus grands. d’un jour assassiné, ne reste que l’espoir, et quand drame s’installe, ne survivent que les morts. le monde qui s’essouffle, marteau divin amène folle sentence, et sous ses airs de muse, se traîne sur terre des fous, costume de pécheresse sur l’île des immortels. fait tache sur le blanc des grands immaculés, noirceur divine d’un cœur en miettes et d’une faute commise qu’elle ne sait réparer, sur la pureté d’une vie éternelle et infâme, qui rejette le monde, qui rejette ses rêves.
i just hope for mercy, or for a way out.
des pas qui fracassent le silence éternel, claquent les candeurs d’une dame sans pareil, la silhouette élancée qui se cache des regards, découvre l’antre des dieux, d’une culture avancée, se fait spectatrice d’une croyance différente, d’un monde tout entier qui se découvre sous rétines. iris face à celui qui prétend les entendre, s’agenouille par instinct, marque de respect quand elle vient quérir la sagesse de l’ancien. i have come for a glimpse of your truth. s’ose arpenter des opales les restes des lieux, sans jamais faire affront face aux prétendus cieux. qu’il mente et fasse de ce repaire son royaume éternel, ou amène vérité qui délivre, ne lui reste désormais que l’espoir, quand le reste de son monde lui est devenu hostile. et si fadaises il lui faut endurer, ou prophéties se doit-elle d’accomplir, qu’il en soit ainsi. tant qu’enfin elle peut respirer, tant qu’enfin elle peut se relever. please… tell me what you see in me.
so that i know what i have to do and be free from my many flaws.
And I envy the rose you held in your teeth, love, with the thorns underneath love, sinking into your gums.
nature : Serpent marin ; léviathan à l'esprit de métal et de rouages.
saisons : Gueule escarpée à l'embrun et au ressac, soixante années écoulées entre terres et mers
myocarde : Marié à un souvenir, écho passé duquel son palpitant n'a pas su faire le deuil ; son amour est fait banshee. Cœur flotsam, recraché par un Léviathan ayant su voir dans sa bonne moitié une âme pure.
besogne : Artiste, artisan, ingénieur, physiologiste et physicien ; homme accomplit dont l'esprit a accouché les machines de morts naviguant sous le pavillon sanglant de la navy. Architecte Naval.
Sous l’œil attentif de sa longue-vue, les hommes s’activaient. Au loin, pléiades au ciel comme sur la terre. Chaque étoile, un falot minuscule, une vie vacillante au vent qui harcelait la côte, portant les vains ordres criés jusqu'à ses oreilles fatiguées. Sans astre, l'or de la Navy avait perdu son éclat. Au créateur, nul besoin de soleil pour reconnaître sa chose, son Meteor était là, devant lui, échoué sur les hauts-fonds. Le maillon faible de toute machine restera l'Homme aux commandes ... Refermant sa longue vue, il songea avec amertume à l'époque aussi lointaine que faste où les machines sauront se passer d'eux et tourna les talons. Il avait assez soupé de l’ingratitude de la Grande Muette pour avoir envie de les aider, et puis, il n'était pas ici pour eux.
« Prophet ! » said I, « thing of evil ! — prophet still, if bird or devil ! — Whether Tempter sent, or whether tempest tossed thee here ashore, Desolate yet all undaunted, on this desert land enchanted — On this home by Horror haunted — tell me truly, I implore — Is there — is there balm in Gilead ? — tell me — tell me, I implore ! »
Le masque de glaise se déforma en un ersatz de sourire alors qu'entre les tempes de l'Architecte, les paroles résonnaient avec force et fracas. Certainement, il y avait là quelque tour que la raison saurait expliquer. Mais en ce jour sans soleil, la froide et clinique raison peinait à jeter la lumière sur quoi que ce soit. Si le léviathan doutait encore de la véracité de cet oracle, il n'en montra rien, et s'approcha. « I am not one to beg. Sa voix brisée, presqu'étouffée par la brume, détonait avec sa bravade. Yet … nothing will stop me from finding her. Not one of our Elders … nor legs stiff with pride. A quelque pas à peine de cette chose sans âge et sans vie, le géant de bois s'arrêta. Genou à terre à même la fange, nuque baissée. La voix tremblante et les yeux brûlant d'un feu rivalisant avec leur ancien astre, il susurra : Share with me your science, I implore. » S'il y avais là le moindre espoir, il le saisirait à la gorge ; s'il y avait là tromperie, alors il valait mieux pour cette chose qu'elle ne puisse ressentir la douleur.
By that Heaven that bends above us — by that God we both adore — Tell this soul with sorrow laden if, within the distant Aidenn, It shall clasp a sainted maiden whom the angels name Lenore — Clasp a rare and radiant maiden whom the angels name Lenore. »