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;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer. soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
nature : barbare humain sans foi ni loi, l’appétence du pouvoir en hérésie couronnée.
saisons : quatre décennies à ravager autrui.
myocarde : émotions ensevelies pour oublier l'âme qui l'avait jadis réveillée. le cœur insensible à la douceur, libre de toute attache, indifférent notoire.
besogne : voleur, arnaqueur, tueur, cartes multiples de ses masques d'apparat sordide. depuis peu, crawley pour les marauders, sans merci pour les gêneurs prosaïques.
je pense que j'ai réussi à imposer mon souhait de télétravail pour demain malgré les responsabilités, incroyable je pense que ça fait bizarre de demander un truc "pour moi" et pas pour faire plaisir aux gens je pense que des années à être trop gentille ça m'a vraiment trop affaiblie mdr mon père à raison le real word me tuera un jour
nature : fantoche en chair, erre depuis la mer; (( mortelle )) recrachée par les houles, damne souvenances maculées de chasseresse noire.
saisons : la brise soufflée en frimas sur le derme de ces (( trente-trois )) solstices hiémaux, jonchent ces autres malheureux dérobés.
myocarde : venimeuse écorchée aux arcanes du chaos, les (( épousailles avortées )), l'anneau ravalé par l'abysse, l'alter par vorace félonie.
besogne : aux nuitées voilées, arpente cieux de mille astres; (( historienne )) curieuse, révèle vestiges du monde enseveli, susurre récits funestes aux esgourdes des voleurs.
nature : se meut sous carne, d'essence leviathan. siffle desseins funestes.
saisons : trente deux péroraisons.
myocarde : pierre à l'abysse. noiraude encre a empoisonné myocarde.
besogne : cisèle l'incandescence des destinées, forge diable à ses envies. et à l'abîme, a juré âme damnée à l'insurrection, cisèle butcher des rivières rubis qui gonflent l'avarice.
errance : fantôme oscille aux caprices, hante cover island l'impérieuse, et sous pavillon traitre, souille le pont du supernova travesti.
they should know whom to blame when the sky falls down upon them
( music | moodboard )
nature : noyée par sa mélancholie faisant taire sa furie, humaine gravée dans un marbre effrité au milieu de ruines familiales amoncelées en ravage destitué.
saisons : saisons trépassées depuis (( quarante-cinq )) années, elle les voit ainsi, inlassablement défiler sous son regard assombri d'épreuves accumulées.
myocarde : mari éteint, astreint au silence du défunt que l’océan a englouti dans le secret de sa faute pêcheresse. (( veuve )) aux yeux de la mondanité.
besogne : représentante de l'autorité aux futures générations à l'innocence bafouée; directrice adjointe de l’école de guerre et enseignante de sciences naturelles.
errance : l’île de naissance et de toutes les possibilités, (( lawfort )) comme résidence en éternelle souveraine de ces terres.
je pense que j'ai passé la matinée à créer une "activité ludique" en ligne pour m'apercevoir y'a dix min que faut que j'upgrade mon compte pour que ça soit ouvert à + de trois personnes je pense que l'époque des powerpoint c'était moins prise de tête je pense que j'suis une vieille aigrie qui dit de plus en plus souvent "c'était mieux avant"
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-- "You know, hope is a mistake. If you can't fix what's broken, you'll go insane."
Faudrait lui montrer où son armure finit et où sa peau commence. Faudrait qu'elle oublie que parfois faut amputer pour survivre mais que cicatriser peut aussi suffire.
Faudrait qu'elle se rappelle que le sang est avant tout une couleur, pas une douleur.
Mais les "il faut" elle les emmerde et préfère jouer à la roulette russe avec sa vie sur l'océan...
nature : (( humanité )) éperdue
saisons : (( 34 )) tempêtes au compteur
myocarde : ça fait un bail qu’elle ne s’est pas accrochée à quelqu’un, elle n’a pas d’temps à consacrer à l’amour ou peut-être que c’est juste une excuse pour planquer la peur de s’faire bouffer ce qui lui reste
besogne : (( navy )) plein la tête, enseigne sur le météor en seconde peau, et le coeur qui s'détache peu à peu d'la propagande anti-hybride
errance : d'îles en îles, au gré des missions de la navy. et puis souvent les pieds à terre entre lawfort et barter bay
je pense que c'est la journée de la flemme, la faute au soleil je pense que encore quelques petits efforts et je serai plus sereine je pense que j'ai envie d'une glace à l'italienne je pense que j'ai hâte d'être dans ce train samedi
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you did what you did, i felt how i felt, and it is what it is