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;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer. soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
il y a là les mystères
les silences sous la mer
qui luttent contre le temps
nature : pantomime figée dans sa faible humanité.
myocarde : chérit l'éther plus qu'elle ne le pense, vilma. piètre imitatrice de celles et ceux qui foulent le parquet grinçant de son bar, elle comble les plaies sèches d'un myocarde délaissé
besogne : chante les louanges d'une doucereuse ivresse. sur le bois d'un comptoir visqueux, nourri des effluves houblonnées, vilma se fait servante des âmes en peine.
errance : vagabonde défiant la folie de barter's bay, retrouve bicoque d'eden pour échapper aux tourments des chimères.
ah c'est l'heure de l'anecdote sans aucun sens... je me suis retrouvé une fois dans le public de groland parce que j'accompagnais une meuf avec qui j'avais rdv et elle avait ça de prévu et elle avait oublié (???), elle m'a embarqué j'ai rien compris (c'était nul)
as-tu déjà; fait un voyage sur un coup de tête ?
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I cannot make you understand. I cannot make anyone understand what is happening inside me. I cannot even explain it to myself. ( Kakfa )
nature : se meut sous carne, d'essence leviathan. siffle desseins funestes.
saisons : trente deux péroraisons.
myocarde : pierre à l'abysse. noiraude encre a empoisonné myocarde.
besogne : cisèle l'incandescence des destinées, forge diable à ses envies. et à l'abîme, a juré âme damnée à l'insurrection, cisèle butcher des rivières rubis qui gonflent l'avarice.
errance : fantôme oscille aux caprices, hante cover island l'impérieuse, et sous pavillon traitre, souille le pont du supernova travesti.
d'une association, oui ! deux fois, une fois parce que j'avais décroché un contrat qui me laissait plus le temps pour le bénévolat (je faisais des interventions en milieu scolaire pour sensibiliser sur le harcèlement, la discrimination et la sexualité) et une autre fois par soutien pour une camarade discriminée
as-tu déjà; fait du bénévolat ?
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I cannot make you understand. I cannot make anyone understand what is happening inside me. I cannot even explain it to myself. ( Kakfa )
Oui, j'ai distribué pour le secours populaire pendant deux ans. J'ai arrêté quand ça n'a plus été possible pour moi d'être exposée aussi directement à la détresse d'une partie de mes élèves.
nature : sirène — mélodie sulfureuse s'évapore aux pâleurs de la nuit, révélant la monstruosité de sa véritable nature. naïade au cœur de pierre, engloutie dans les tréfonds de l'enfer les âmes en perdition.
saisons : trente-cinq ans — il y a un précipice qui l'attend mais dans lequel elle refuse à se fondre dans leur abysse. elle veut que sa vie marque, que sa vie reste, que quelqu'un sache qu'elle a servi à quelque chose avant que la névrose ne finisse par l'emporter dans son avarice.
myocarde : volage — le palpitant qui batifole, mais jamais ne s'écorche ; ou pas assez pour qu'elle puisse se lier. jamais ne s'efface pour autrui, même si parfois, elle cède à des caprices bien éphémères.
besogne : vendeuse de rêve — lascives se font les courbes, tranchantes se font les vocalises. submerge les encéphales de désir pour faire miroiter l'inatteignable.
errance : cover island — en terre promise, inespérée mais pourtant si détestée. trop de souvenirs, trop de douleurs qui y grouillent encore quand ses yeux se posent sur l'horizon funeste.
non, parce que j'aurais voulu tous et toutes les adopter, ma grosse faiblesse d'autant que la misère animale me fait bien plus de peine que la misère humaine
as-tu déjà eu envie de partir, sur un coup de tête, one life, dans un pays dont tu ne connais rien, simplement pour le challenge ?
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« je ne suis pas triste. mais il y a un vide à l'intérieur de moi, qui bat et coupe le souffle. je suis absente à moi-même. »