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 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
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news -- beyond the myths; étendards hissés, un nouveau vent se lève sur la communauté!
museum of sinners
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Sigvidh Dalgaård
Sigvidh Dalgaård
n í ð h ǫ g g r
faceclaim & © : arnas @lux.
nature : se meut sous carne, d'essence leviathan. siffle desseins funestes.
saisons : trente deux péroraisons.
myocarde : pierre à l'abysse. noiraude encre a empoisonné myocarde.
besogne : cisèle l'incandescence des destinées, forge diable à ses envies. et à l'abîme, a juré âme damnée à l'insurrection, cisèle butcher des rivières rubis qui gonflent l'avarice.
errance : fantôme oscille aux caprices, hante cover island l'impérieuse, et sous pavillon traitre, souille le pont du supernova travesti.
# Jeu 9 Mai 2024 - 16:20


(be)fallen
—— ensanguining the skies
how heavily it dies into the west away
D'ester ténèbres envahissent phantasmes azurés,
bleuâtre échappée, monde perdu où dansent en harmonie ciel et océan.
Chantent coteaux du berceau, charriés par les sifflements des embruns, l'appel salin d'une chute en avant. Ô sorcière sème houache d'un parfum de mille fleurs à l'agonie. L’Éternelle sur canevas dessiné au sable fin, damnée à l'abandon. Sanctifiée intouchable, aux mémoires tortureuses.
Et nymphe échappée se confond en songes mirages à l'encéphale, Belle d'autrefois couchée sur néant ; fléau dans myocarde en chute libre.  
La poursuit démon, s'y loge sans vergogne parasite des méandres.
Des pieds, suinte l'âcre remugle d'agonie, claudique mort-vivant : révérence parée n'est qu'l'arroi qu'orgueil porte à bout de bras. A nu, l'animal pouilleux lèche encore l'arôme d'ichor qui lui colle désormais au derme.

Asja, Asja, Asja. —  invoque profanateur du repos (sans) Fin.
De Leur autrefois, creuse les tombes laissées là.
Corps de muse, offerte aux abysses. Were you ever made to die ?
Bourreau cisèle langue aux récits répétés d'une Vengeance qui n'en a guère été.
Relate à l'ivresse d'amante solitude, les instants fatidiques marqués du sceau Carmin.

Sur Ciel onirique, dégueulent de premiers nuages gris,
perlent d'une tempête en approche : yeux marins reconnaissent le trouble accroché à l'horizon, Dangers des terres et des mers. Le goût du risque qui les a rendus si, si désireux d'se hisser, Roi et Reine du Monde.  
D'instinct chasse les traces laissées là, comme indices de quelque faille du territoire qu'il conquiert sans vergogne. Asja, Asja, Asja. L'intrus maraude, caresse les sens d'une omniprésence qui grandit, grandit.
Trop longtemps laissé en libre Maître du cœur et d'la tête : abandonne les doutes premiers pour traque d'une Sirène à la dérive.

What's inside your head, Asja ? s'ancre aux repères qui fourmillent à l'orée de l'inconscience de l'éperdue. Esquisse détails quasi-invisibles de ce qui n'existe plus que d'antan : symphonie de poussières et cendres, l'idéal enfermé dans son crâne est de ceux qui n'existent plus chez les mortels. Asja, Asja, ressuscite verdure assoiffée et terreau poisseux, cadavres exhumés qui dansent sous soleil doré. Aucune chaleur, pourtant, ne transperce peau blanchâtre ; vestiges Karalis sur Cover Island, déjà piétinés par les pas des occupants et des intrus tout autant.
De leur chez-eux honni, ne restent que squelettes sans âme.

Asja, Asja, Asja. ; enfin l'invocation trouve réponse. Se meurt contre corps fin isolé. Là, Ondine flâne à l'ignorance, pupilles de jade cherchent appartenance sur l'étendue (é)perdue. Poupée s'craquelle, se ramène martyre des mêmes maux qui l'ont toujours habitée : égarée à la charnière de deux mondes opposés. Valse sur réalités et illusions : How many of 'em called you a traitor wit' their last breath ?, torture écho de son propre mugissement. Furtive charogne, hume de loin la chair fraîche d'un palpitant qui saigne coupable et mélancolique.
Lourds pas s'imposent, s'ancrent sales dans l'herbe verte jusqu'à Elle. Et ô, divine adjure ses propres fantasmes, bataillent illusions et déraisons, réalité et énigmes d'inconnus, quand poésie du geste s'fait d'elle-même. Que la peau de la paume, s'affame seule du moindre contact. Qu'cœur exsangue s'anime d'appétit. Flamme, si proche, danse sur l'iris une illusion, peut-être Création de sa propre folie. Peut-être l'esclave de tous ses désirs. Et cascade brûlante sous les doigts, chevelure corbeau semble si r é e l l e. Soigne douleurs sans mot, déchire d'nouvelles coupures dans la cuirasse du sanguinaire. Sacrifice s'offre comme la gorge sous ses doigts, Beauté qui (c)rêve, ne sent qu'à peine gangrène du froid du dehors, qui secoue son p'tit univers, superbe utopie; fallacieux calvaire.
Asja, d'you dream of me ? ronronne féline sous l'étreinte de doux espoirs, rugit flambe chamarrée dans le ventre d'Serpent alangui.
« Did ya miss me ? » amant concupiscent, lèvres au creux de l'oreille, se déforment en malice vipérine. Coulent maupiteux, les mots jusqu'aux tympans; déclaration de guerre fend fabuleux voile. Crie châtiment quand nez sent, quand langue goûte tout d'Elle, commémore l'invariable perdition qui gouverne Leur Univers.

@asja karalis
[crédit; elanalue]

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Sigvidh Dalgaård
Asja Karalis
Asja Karalis
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„ L’étoile a pleuré rose “

(asja) — tremor 64635f42eb89132a0b519097f0c94c3d

m o o d b o a r d

nature : ensorceleuse damnée; l'ichor coulant de l'endocarde transpercé se teinte du noir de la trahison; la ( sirène ) en exil tréfond de l'océan se ronge de l'orgueil et de la haine.
saisons : figée dans l'écume d'une ( vingtaine ) égorgée; incandescente est la sylphide ravage. sous son glaive vengeur, les multiples vies ne sont que gouttelettes pernicieuses.
myocarde : amante du néant. l'endocarde pulse cruor noir. l'organe tranché puis dévoré par le leviathan berçant ses songes, alors qu'il n'est que vaurien. ( esseulée. )
besogne : l'ondine perdue en mer redevient ( guérisseuse ), étouffant nature véritable; panse alors les blessures quand les siennes sont purulentes et mortem.
errance : l'exilée erre sur le sol d'( eden's chain ) inconnu; geôle retenant la sauvage alors que le vitriol vengeance se glisse dans sa salive.
# Jeu 9 Mai 2024 - 21:58

In my destruction you see seduction
Thinking that you have
Control of this beast
H Y P N O S

From memory,
To dust,

cocyte en déraison, flots se font souillons et abjurations, fille de l'écume morose des saisons souillées du chaos sectionnant ses nageoires; chevilles ensanglantées, clouée sur le sol damnée de l'île aux mille chants, mausolée de son existence, tombeau de ses mémoires. morphée agenouillé berce scylla en perdition, doux songes ne sont que chimères vampiriques. maudite de l'écume et de la terre, erre en désespoir dans azuré ne voulant d'elle; dans le Tartare elle se jette alors, macabre révolution de l'endocarde. n'est de repos que l'espoir; massacrée des spectres flottant sur sa carcasse, océanide voue culte à la torture, car léthargie se joue au prix de son sang damné, ne goûte de ses lippes que l'amertume de ses pêchés, cruel est l'encéphale aux soupirs du temps glorieux qui n'est plus que vieux.

I loved him

                  Shameless.


Laid before him,

                           stupid lamb
              in a

                                    slaughterhouse.

l'extasie était à la saveur de ses lèvres; ambroisie des dieux qu'il lui offrait en échange du serment d'une chair malléable qu'elle seule semblait-elle connaître; ni craintes ni terreurs n'abhorraient ses vêtements; chasseur de ses cauchemars, conquérant affamé qu'elle abreuvait de son admiration. logé au contact de son cœur; il est cette douleur lancinante qui se refuse à laisser échapper sa bien-aimée; quand même la haine et rancœur racle sur le sol de ses songes, éternel est son existence — cruelle sera la délivrance.

au loin; elle entend son appel,
continuel,
répit n'est habituel,

son chant s'orne des habits de la guerre; forgeron des destinés cramoisies, tambours de guerre résonnent, hurlements guerroyant des gladiateurs s'éprouvant sur les lames, transperçant leurs carcasses — mais elle ne craint guère, l'amant de ses tourments, messagère de la malédiction elle ne se répugne à le retrouver. enlacés dans leurs tombes, les âmes liés par spirituel incompris.



And I could recognize him by touch alone, by smell;
I would know him blind, by the way his breaths came and his feets struck the earth.
I would know him in death, at the end of the world.


dansent contre sa peau les miasmes de la brise de ses songes. païenne vaurienne se voit offrir semblant de répit, cacophonie de son existence éteinte, murmures vermillons à son égard (elle peut les entendre) sont damnés en cette terre sacrée; psyché vrillée offre à la mégère le soleil et la brise, la verdure caressant ses pieds et le chant silencieux des bourgeons ayant laissés place aux mille fleurs. beauté sacrilège, vocifère l'existence de l'intru trop bien connu. Do you remember? divine créature se refuse aux souvenirs, les chassent avec la voracité d'un feu ardent dans une clairière; car il n'est que poison, mille maux de son existence; de son être elle ne ressent que colère, miroitant dangereusement avec l'embrasement de sa joie traitresse; ô que la nuit est cruelle; qu'elle est belle, dans sa colère. tourmente vocifère; se fait pourtant silence. chair en alchimie se transforme en marbre; n'est passive du moment, ne tolère que pour mieux gronder. s'écroulerait à ses pieds, sangloterait d'être sauvée si elle espérait; mais l'espoir n'est plus, confiance rompue et sectionnée. humiliée de son absence; à feu et à sang il ne reste plus rien.

désirait-il la retrouver,
ne l'aurait-il pas déjà fait,
si son âme scandait son chant?

saccage son palpitant, vient dévorer les morceaux qu'il délecte avec avidité. sanguinaire sans pitié; pas même pour celle qu'il aurait aimé. faciès rompu par grimace, aphonie sonnant son glas quand paume dorée claque joue de l'adoré; celle qu'elle aimait tant embrasser pour agacer, celui refusant l'affection comme une affliction. "The audacity — canaille cisaille, impose distance pour ne pas jetée à la gorge du cruel canine afin de le déchiqueter. colère cramoisie. you have, to show your face here" elle ne sait si elle doit pleurer; car ô sa vision est tragique et subliminale, viscérale et morfale. "I'm going to kill you Sighvidh. You know that, right?" crache la guerre, appel mortifère. tremblote sont les lippes, des menaces ne sont que mirages, comme rêve souillé; se l'espère-t-elle dans son désespoir; d'obtenir raison à sa déraison. "It’s your fault my family died. It's your fault if I... — vient taire faiblesse de son âme, se refuse à l'avouer, que le manque de son existence rendait son esprit à la frontière de la folie "You betrayed me. You abandoned me. After everything I did for YOU." ires transperçant se fragilisent, mélancolie des souvenirs, de ses amours et de ses interdits, de ses trahisons à ses adorations. vipérine plisse le nez, puanteur de la réalité qu'il n'est jamais venu et qu'il n'a jamais vu, qu'elle est esseulée et lui éternellement entouré. n'est damné que pour s'en amuser, n'en connait en réalité que la vivacité de cette vie. souffle bruyant, faiblesse du corps trahissant les illusions, épuisée en éternité, se préfère au lit de verdure sur lequel elle s'assoit, trône maladroit d'une reine couronnée de ses marasmes; observe au loin l'horizon pour ne voir l'étranger. "Leave me alone. It's too late now." trop tard, trop tard, résonne dans son esprit, se refuse aux chants et aux explications. ne lui offre que mépris à la saveur de la rancœur et silence; en attente de son jugement dernier elle n'espère qu'il clame innocence, juge impitoyable se refusant aux malices du leviathan.

@Sigvidh Dalgaård
[crédit; MEMORY CARD VIII]

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nature : se meut sous carne, d'essence leviathan. siffle desseins funestes.
saisons : trente deux péroraisons.
myocarde : pierre à l'abysse. noiraude encre a empoisonné myocarde.
besogne : cisèle l'incandescence des destinées, forge diable à ses envies. et à l'abîme, a juré âme damnée à l'insurrection, cisèle butcher des rivières rubis qui gonflent l'avarice.
errance : fantôme oscille aux caprices, hante cover island l'impérieuse, et sous pavillon traitre, souille le pont du supernova travesti.
# Ven 10 Mai 2024 - 19:21


(be)fallen
—— ensanguining the skies
how heavily it dies into the west away
Douce ondine rêvasse, indifférente.
Crève en silence, enlacée de souvenirs mirages, trompe solitude en compagnie de spectres qui trompent le cœur. Emplit fuite irréelle, au vol brise l'échappée. Et sous les doigts, fragile oisillon perd ses ailes ; bienheureuse sous ambroisie d'mémoires en caresse subreptice, la capture sous rigides paumes qui glacent le sang. Des frontières d'imaginaire, viennent images noires, dégueule réalité glaciale qui la dresse, alerte. Somptueuse indomptable, s'enflamme joyau d'un cœur qui bat la chamade. Aux douleurs qui griment visage d'ange, déchiquettent tréfonds d'pupilles aux océans dont il connaît tous les secrets. "The audacity Asja ; wild Asja, cravin' paradise lost and Hell broken lose. — you have, to show your face here" Bravade déchire sans merci mielleux bonheurs lointains. Long ago, Asja, you let me in. Vice en invitation jusque dans myocarde pulsant, trésor d'innocence, a trouvé nouveau souffle sous touchers du Démon. Dans Jardin verdoyant, serpent tapis rôde, d'un terrain conquis à Jamais. 'Til death do us 'part.
Death. D e a t h.
rédemption offerte du baiser glacé d'une lame dans les entrailles. Mais Sirène s'est accrochée à survie : cadeau de l'écume capricieuse, vit, vit d'vengeance qui rugit. "I'm going to kill you Sigvidh. You know that, right?" gronde sous apparats d'empyrée limpide, noire hyménée qui les a liés. Ricoche rire d'indifférence, indolence provocante où s'abandonnent beaux atours. Chevalier des Rêves, déballe Guerre, Mort, Famine sur sillage. Couperet sur têtes condamnées, s'étend tempête teintes ardoises, reflets d'océans en remous.
"Leave me alone. It's too late now." ô pitoyable guerrière, effrite phantasme à fierté vaine. Fier fiel, gronde courroux quand mugit voix d'abysse : « Oh but Asja, you a r e alone. » susurre prosodie perdition, un ton cruel qui fait vibrer cordes d'vocalises aux vérités qui habitent déjà l'encéphale.
Au loin, rires et voix sont morts, et fantômes envolés.
Fantoches mensonges, retournés à leurs tombes. Virevoltent en cendres dans l'vent ; à Celles qui ont fini piétinées, écorchées vives. Celles qui s'sont consumées dans les flammes qui ont ravagé l'nid honnis. Et Maître incontesté, du bout des doigts étire théâtralité cruelle, infâmes cris et suppliques au vide. A Asja, Asja ; Asja qui n'a jamais été là, n'a jamais voulu être là.
Tortionnaire nécromancien, fait danser zombies d'éther de Toutes Celles qu'Elle a abandonnées.

« Get up. » commande Dieu du Rêve brisé ; et Belle esclave n'a d'autre choix que d'obéir, tirée au fil noir des Volontés impérieuses. Admire, admire paysage décadent de l'île qui se meurt, Foyer en ruines sous Ciel où soleil se meurt.
Par les craquelures d'ses faiblesses, suinte l'hideux Présent grisâtre, froid qui s'insinue jusqu'aux os, où rugissent les monstres du bas-monde. Sur champ d'ruines, se joue face à face fatidique. Y gravitent Destinées morcelées, le doux-amer, le début et la Fin. « I didn't betray you, I didn't abandon you. » féroce Occupant, impose désidératas et piétine l'invective. Goûte l'ire délicieuse sur les lippes, quand caresse sur la joue sème frisson de haine. « I killed you. » sadique minaude sentence, quand pupilles froides s'dilatent, renâclent souvenirs nimbés carmin. « And yet. You're still 'ere. » sonne glas comme déplaisante erreur, s'teinte de miel d'affection-affliction.

Still alive, still kickin'
Still bound to Him Her by Dark Fates.


« And I found ya. » chasseur grivois, s'repêt de victoire si facile. Because I know you. Where are you? Because you're Mine. fauve instinct possessif, referme poigne sur le vide ; caresse putride sur satin de peau dorée. Visage de muse commémorée, quelque part, lovée immortelle dans myocarde atrophié. I, You can't escape. Sauvage enrage ; miroir, miroir, l'affliction qui hante et décharne. « Is it easier, darlin' ? Blamin' me for everything ? » s'cale Léviathan sur decorum d'Agonie : sur ce canevas, s'étendent figures de Ses Erreurs. Les Choix qui l'ont consumée, séduite, conquise. « Pretendin' to long for somethin' you once hated ? Your family ? » s’écœure sur mot sans valeur, en ricane verve rancie. Factice mélancolie qui couvre à la va-vite, amère culpabilité, hideuse réalité. La Faute qu'elle porte en Croix solitaire. « Remember what I did for you ? Gave ya freedom, what that voice inside you's always wanted. P u r p o s e. » aboie Juge sans merci, transperce armure de porcelaine faiblarde, y dissèque les chairs des Secrets (in)délicats, (in)confortables, (in)humains.
« Y'want to kill me, mh ? » risette manipule, dare, appelle ô divine Faucheuse pour qui il tend gorge. Barbare créer l'envie, tumeur dans les boyaux. Invoque le moyen, lourd poignard mirement dans la douce main de Sirène criminelle. « Come on, do it. » exorcise Asja, s'berce de (dés)espoirs sans raison ; monstre vit en Elle.

Let us die together.
Let us kill each other.

@asja karalis
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(asja) — tremor 64635f42eb89132a0b519097f0c94c3d

m o o d b o a r d

nature : ensorceleuse damnée; l'ichor coulant de l'endocarde transpercé se teinte du noir de la trahison; la ( sirène ) en exil tréfond de l'océan se ronge de l'orgueil et de la haine.
saisons : figée dans l'écume d'une ( vingtaine ) égorgée; incandescente est la sylphide ravage. sous son glaive vengeur, les multiples vies ne sont que gouttelettes pernicieuses.
myocarde : amante du néant. l'endocarde pulse cruor noir. l'organe tranché puis dévoré par le leviathan berçant ses songes, alors qu'il n'est que vaurien. ( esseulée. )
besogne : l'ondine perdue en mer redevient ( guérisseuse ), étouffant nature véritable; panse alors les blessures quand les siennes sont purulentes et mortem.
errance : l'exilée erre sur le sol d'( eden's chain ) inconnu; geôle retenant la sauvage alors que le vitriol vengeance se glisse dans sa salive.
# Ven 10 Mai 2024 - 21:44
TW : mention de suicide.



In my destruction you see seduction
Thinking that you have
Control of this beast
H Y P N O S

I hope you know
we had everything

aux lippes moqueuses de la destinée brisée elle arbore cruel désespoir; des déchirures de son âme à sa carne clamant saline pour oublie, oublier ô douleur, tendre Mer pourrait-elle attendrir sa fille? sans identité et se laissant porter par les flots en désir de se transformer en écume; pour ne plus être et être à la fois, mortelle et immortelle, s'oublier et être oubliée. crachat des géhennes, accueillie par silence mortuaire des siennes, sœurs et Mères à moitié macchabée, Home vulgaire, au sens sectionné à l'image de ses artères. pulse son ichor, inonde le jardin des Hespérides de sa tragédie. flanche sur le sol inconnu, geôle de la bête ne montrant plus crocs que péniblement. las, las ô las, par culpabilité rongeant son ossature. et si, et si, encore et encore s'hante de ses questionnements. n'est que malédiction, vipère que l'on trancherait bien la tête. offrirait celle-ci mais courage n'est son logis, ô, qu'elle est fuyarde. alors elle se damne, se terre; voit et ne veut voir. se refuse à l'invité pourtant adoré; des souvenirs fracassant son encéphale qu'elle maudit, paix meurtrière, silence terreur. bacchante frigide se referme, refuse ce qu'elle réclame.


You are alone,




then do something about it,

                  save me,

                                    or end me,

i no longer care,
since you left me,
to rot in the abyss,
of us.

scylla vient dévorer sa cousine; cannibale des siennes. avale leurs âmes et leurs carcasses, espère en les recrachant de les voir remodeler à l'image glorieuse, mais n'est rien, que souillon de sa solitude. contemple l'univers sous ses yeux, frissonne au murmure mesquin du mortifère. pince la chair de sa joue avec ses dents; trop limées désormais pour se mutiler, créature n'est plus que fantasme moribond. arbore son deuil, affronte mécréant un instant, juge de ses céruléennes celui qu'elle ne connait que trop bien; miroir de sa genèse, lié dans ce qu'elle ne peut expliquer. et quand chant de la guerre retentit, elle supplie délivrance, voudrait embrasser Thanatos une ultime fois, kamikaze de ses émotions en tempête, sirène perdue dans l'océan qu'elle pensait ô, si bien connaitre.

grogne quand l'ordre retentit; glas de son jugement dernier. océanide invaincue aux ordres toujours crachés, indomptable et soufflant sur les aînées agacées des révoltes silencieuses de l'orpheline. derme se damne, frissonne. en appel à la bête, réclame, encore et encore, l'étreinte ultime. clame son indifférence mais ne voudrait que retrouver demeure; sur l'île d'une liberté freinée, ou dans celle offerte par goliath invité dans son esprit. 


                  My eyes ache with the weight of unshed tears,
You are my home,
                                                      do you not understand?

"I'm hard to kill, tought you knew that." souffle las, observe pour mieux frapper. ou ne plus l'oublier, figé son faciès maudit dans psyché dérangée. "Or maybe I'm just a ghost..." en étire les lippes du sourire fatigué; ne sait plus qui elle est. vivace ou simple crevasse dans lequel il vient boire, assoiffé de délicieuse torture. en éclate subitement de rire, s'en penche en arrière comme sous le poids de l'ironie grisante. théâtrale; digne de l'ancien monde. si belle et si cruelle, dans sa mélancolie et son désespoir, jamais elle ne fût aussi belle que ce soir. "FOUND ME?" calme fou rire de l'exagérée, folie guettant ne se démontrant plus. "Do you know that I've lost track of time being alone? But oh, boy, I know that I waited for you a loong time ago. Yet, you never came. Too busy for me eh?" cracherait sur visage si elle ne le contemplait pas; s'en déplaît à l'admirer comme la première fois. tragédie d'un endocarde palpitant pour une première fois, moquerie d'Eros. "  I wasn't far away. But it was still too much for you right? It was better to think I was dead than searching for me. How naive I was..." and i'm still. saline s'invite dans les iris, inondent le faciès d'une divine écrouée de son panthéon.
s'offusque de cruelle vérité qu'il crache, vipères dans la gorge cherchant à se déloger de leur foyer. "You are right. Maybe I'm not mourning them. Maybe I'm mouring you. Us."




If only,
It was something that mattered to you
If only,
I meant to you,
Maybe it could have been different



main maudite, épouse du concordat de la discorde s'alourdie. crevard en appel à cruauté étouffée, au désespoir adoré et à la colère silencieuse. juge glaive de sa délivrance, mais sans différence, monde pernicieux des rêves où importance de la vie se joue d'eux. "Do you remember the one you gave me? A splendid creation that you create, for me." logé dans tanière de la sorcière, dissimulé par les tissus et les plantes des connaissances, cadeau empoisonné ne l'ayant jamais quitté; même quand Mer l'a dégueulée. dangereuse nuée de la haine et de l'amour enveloppent les créatures frappés de la pire affliction; pourrait humer son parfum pour revivre. caresse jugulaire de la lame cruelle, caresse de l'outre-monde. "I still have it. And the day I see you again... I will kill you with it." menteuse, chimère leurrant. "Then I'll kill myself. How could I live after I killed a part of me, after all?" sourire de la mélancolie ou de la tristesse placardée sur faciès doré. "But I'm tired of living and waiting. Tired of being a curse." celle clamant autrefois chant de la vie, dansant au milieu des bourgeons et des beautés n'est plus que mortifère. érafle chair du leviathan, ramenant subitement arme contre propre jugulaire avant de fermer ses iris; chassant les démons dansants. "Maybe I should do it now for tomorrow, to prepare myself when I wake up." appel cruel suicidaire, s'en indiffère. faible, trop faible, pour prendre vie de l'aimé. basculée face à son spectre, cramoisie est la colère trop faible pour gravir colosse de son origine. "Tell me Sig — lampade refaisant face au serpent du jardin Do you want me to really die this time? Or are you going to save me?" save us. horloge de chronos s'impatiente, car carmin apparait lentement sur lame, écorchure appelant plus, beauté de l'habit de la mort, observant son plus bel atout.

@Sigvidh Dalgaård
[crédit; MEMORY CARD VIII]

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