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Accueilpour nous soutenir! ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer. soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà... origine v.1 btt; thème     -- blue veins (( asherah )) Asaf Mordred  crocs viciés faceclaim & © : t. hardy *hel. my tunnels are long and dark these days *** nature : invertébré des abysses, encreur de cruor; de cruauté sans justice. bête à gueule édentée, teintée du rouge grenat de ses viles assassinats. saisons : vestige du barbare, de ses milliers de soirs; vertige à l'approche terrible d'une fin sans victoires. myocarde : fou à lier -- ou déjà lié. coeur s'efface pour reine des glaces; femme d'un frère, pour son âme en enfer. besogne : poignard usé, fuyard accusé. errance : au néant s'abandonner, loin des siens; loin du sein, et de son nouveau-né. # Jeu 2 Mai - 15:16 girl,  _______ charivari distordant; se rit des vieux fous aux péchés d’adam, aux peines stupides infligées par couteaux stridents. tempête sonore ravage en silence, fait saccage sentence. ô combien le diable va le maudire _______et l’aphone souffle encore et à corps l'impétueux contre gueule tueuse; que rien ne semble plier, pas même les regards suppliés. car dans sa main assassine, nuque fragile de belle capucine; racines tremblantes, elle demeure figée à l’apogée de ses terreurs — de son erreur. _______quand enfin; vega azur perce le ciel, de sa beauté merveille. luit devant laide créature aux laides ratures, en cruel fantassin assassin. illusion de lumière sous l'ébène voile sa vision frappe coeur bestial de mille lésions à imprimer sur la toile _______ apeurée maintenue dressée devant géant au regard couteau, semble papier à raconter histoire d’horreur pour ce qu’elle pense être sa dernière heure; pourtant délicate décale dame chiffon, ordonne l’assise d'une douceur trop exquise. (c) code -- vixen @asherah mordred Asherah Mordred  ekleipsis faceclaim & © : p. tonkin nature : * # Mer 8 Mai - 22:46  c’est finalement le jour la mise à mort du vieux faubourg qu’abritent les chairs putrides qu’étreignent les veines arides hérésie finale drape les éclanches atones, dissimulant la carne sous toge sauvageonne. les pas conquièrent- feutrés, distancés, lâches, en vérité - l’horizon ouaté, bercés par l’hymne d’une transe aphone. je reviendrai, aux vents mauvais, délesté du poids de mes amours entravés ; je reviendrai, sans beau regret, dans la peau de celle que jadis, j’ai été. débarrassée du venin fœtal, exsangue du fatum fatal ; elle sans l’être, lui enfin terrassé, grâce aux mains sibyllines de l’alliée. les heures ébènes sont passées ; les questions enfin résolues par le masque de l’élu. you can’t ask me that avait-il assuré i can’t promess you then avait-elle répondu en doux phonèmes portés par le sel du vent cruel c’est finalement la nuit qui hurle aux infâmies adieu, adieu mon bel enfant nous deux, promesse de néant quête s’abroge en vue de porte fatidique puisque plus rien n’agite les synapses anesthésiées. le poids de la mort étreint silhouette fluette mais le doute n’a plus d’empire sur le cœur piétiné. l’hésitation pourtant attrape finalement la nuque de la louve fugitive, accroche son pelage, la soumet et l’oblige ; mais seul l’impossible peut vaincre l’immortalité de l’armide. c’est finalement le jour, ô mon pauvre cœur ; ne m’en veux pas, surtout pas de rancœur ! car dans l’horreur de ta fin, je te sauve d’une vie d’airain. mais dans l’image de ses yeux caves l’ é c l i p s e abysse lumineuse sauve du macabre au caravage grinçant s’immobilise chienne aux arrêts devant assassin aux crocs découverts. geôle s’occulte, protégeant bourreau de la rue alors que lentement, les rages intestines affluent. menaces étreignent et mordent, caressent et tordent l’âme amazone. chaleur irradie chair faiblesse et poison libère l’ivresse ; car dans ses belles menaces, règnent en maîtresse la tyrannie des lâches. « and you know me, mordred — i tried, i try, i'll try but.. i can hardly stop when i start » « who the fuck do you think you are ? » siffle anathème, oubliant la peur, oubliant la peine. « who the fuck are you ? » vulgarité brille d’un or pourri dans les entrailles de l’antre des maudits. vieille âme spectatrice intime le silence mais flamme susurre à douloureuse femme la déraison jusqu’à l’égarement. fausse surprise anime violence, mimant la gravité de leurs pas de danse : « you couldn’t aswer, did you ? you couldn’t say two damned words and you disappeared – AGAIN » tonne l’abandonnée, délaissant à son tour les vestiges de leur vie passée. « and here you are, waving your knife and threatening to kill the world because you don’t have what you want, daring – for me – oh god ! » s’épuise fille, dame, sœur puis ô, rien, rien de plus qu’elle ne fut, rien de moins qu’elle ne sera – pas dans ses silences et ses trépas. « do you think you can forced me ? do you think you’ll still be here ? » ironie cruelle colore les lippes, farde les joues, anime le marbre immuable de l’infortunée épousée – assassinée peut-être, aux côtés du monstre né. « so start then ! start and tell me : who you think you are now to tell me what I have to do ? my father ? my brother-in-law ? stop this nonsens : you never believed it » regard hagard s’égare et trouve le fruit de ses obscures volontés. un geste et un regard ; et le défi est lancé. un silence, une éternité : puis la fin de l’insupportable immobilité. « so, you want to play mordred ? you want to play with me ? » lame brille sous la lueur bleutée, disparaissant dans les étoffes soyeuses. « let’s play then » et disparaît enragée mutine dans les jupes nocturnes de la déesse rieuse. oh yes, we will play @Asaf Mordred [crédit; ...] Asaf Mordred crocs viciés faceclaim & © : t. hardy *hel. my tunnels are long and dark these days *** nature : invertébré des abysses, encreur de cruor; de cruauté sans justice. bête à gueule édentée, teintée du rouge grenat de ses viles assassinats. saisons : vestige du barbare, de ses milliers de soirs; vertige à l'approche terrible d'une fin sans victoires. myocarde : fou à lier -- ou déjà lié. coeur s'efface pour reine des glaces; femme d'un frère, pour son âme en enfer. besogne : poignard usé, fuyard accusé. errance : au néant s'abandonner, loin des siens; loin du sein, et de son nouveau-né. # Hier à 14:10 girl, _______ogre de crasse, crachat titan des marées nauséabondes — il est monstre à folie féconde, anomalie immonde. vulgaire machine aux huiles hémoglobines, de sombres articulations aux volontés carmines — il est aussi assassin des coeurs, et du sien à la première heure. _______colosse vaporeux fume vestige de carne carbonisée; golem de chair charbon, poussières aux nasaux pourrissent l’éther de maladie dragonne. « who do you think you are? » and who do you think i am? mâchoires grinces sur crocs retroussés, babines cigares aux sombres nuages crachés. « you couldn’t aswer, did you ? you couldn’t say two damned words and you disappeared – AGAIN » arômes goudrons sur linguale coupée, animal feule sans mots; déchire regard rebel de trop belle pour lui. « my brother in law? — you want to play with me? » ah folie délie synapses malades, flambe raison pour chant de terrible oraison. faiblesse de destructeur des mondes est paresse de l’âme, facilité tant redoutée. _______prise s’échappe; et emprise du malin dérape. la voir déjà si loin fait imploser méninges de folle bête. _______ cadence silence, rythme latence de démarche prédatrice. carnivore dévore de ses yeux affamés piste de fuyante dame. déchaine et l’enchaine aux monstres instincts _______ odeurs d’encens figent le sang; il la sent tout proche — la fille des anges, la mère des démons qui le démangent. (c) code -- vixen @asherah mordred | |||||||||||||||
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