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 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
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news -- beyond the myths; étendards hissés, un nouveau vent se lève sur la communauté!
museum of sinners
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Jack Vegard
Jack Vegard
—    d o n ' t    b l a m e    m e    —
faceclaim & © : ben robson ©hellska (ava) ©eth, hedgekey, doom days (icons)

i don't know
how to make it stop


{ moodboard }

nature : sale rejeton de monstre des mers, fureur de léviathan pulse sous la peau et arrache la raison.
saisons : demi-siècle d'fureur et d'humiliations jusqu'aux jours heureux, serpent mue pour arborer force des quarante-cinq ans.
myocarde : brute palpitant frappe pour se rappeler à colosse secoué d'rires, lorgne la vie et ses plaisirs.
besogne : à la tête des penseurs, porte-étendards d'une insurrection que le monde n'est pas prêt d'oublier - victoire à arracher dans l'sang, devant spectateurs ébaubis ; les jabbers y veillent.
# Mar 16 Avr 2024 - 19:59
what happens here, stays here
there are a million ways to bleed,
but you are by far my favorite.
i don’t know man, it feels like a mistake…” “shut up igor, an’ help me with the door.” “we’re fucking screwed…

compère obtempère malgré mille réticences, garde œil anxieux sur corps brinquebalé. poupée blonde a la tête qui dodeline contre l’épaule large du jabber, yeux mauvais enfin clos, large main soutient l’échine avec une tendresse qui n’lui dit rien qui vaille.

owain is goin' to kill us.” “owain can’t do shit about it, ‘cause he will not know, right?

titan s’est retourné si brusquement, igor percute d’plein fouet chef aux yeux clairs, vifs, où brûle mélange d’férocité et d’exaltation. lui baisse la tête, et n’sent qu’une sueur moite lui dégouliner dans l’dos. course, but… still… i heard t’her kind, they can kill with a sight… it’s dangerous paroles ne sortent pas d’la gorge mais il les entend, serpent contrit s’roule en boule et camarade s’adoucit, de sa main libre, flatte l’épaule du fidèle ami. it’s bullshit, you saw that ; we live while she sleeps” “but you told us… doigts raffermissent la prise sur le frère et sur la proie-amante-chasseuse-trésor capturée dans la douleur. la décision est prise, et encore une fois, les conséquences attendront. i said a lot of things, that’s what i do. now, we dig for the truth. come on brother

and what now?

au milieu des corps, du sang des leurs, jack a cru perdre l’esprit.
fractures de l’âme, brûlures insolentes quand harpie trônait parmi ses victimes.

souvenirs ensanglantés à ses pieds, culpabilité tue dans l’fond d’ses entrailles, soldat a serré les dents - s’est tenu au plan avec l’acharnement des damnés, et souffre maintenant des maux du capitaine ; être celui qui a pris les décisions menant au massacre, pour le plus grand bien.

ya must be proud?
‘m a real n a v y boy
doin’ what must be d o n e


la maisonnette dans laquelle ils sont réfugiés, legs d’l’un des massacrés, arrachée d’la mémoire du serpent qui aurait préféré tout oublié des lieux ; pas l’choix, temps est compté et discrétion exigée pour le pari insensé qu’il lance à sa destinée.

messy days to come…

à l’étage de l’abri d’fortune, sur un fauteuil démesuré il s’est avachi, jambes lourdes étendues sur plancher poussiéreux. du torse lui dégouline le sang, zébrure peu profonde infligée dans la mêlée - l’attaque aurait pu être bien plus terrible sans la fumée qui le dissimulait. l’esprit résiste, mais le corps se souvient de sa tendreté face aux griffes. des jours passés à remuer les choses sinistres, poser questions aimables et d’autres brutales pour arracher morceaux d’vérités… beaucoup d’contes sombres entremêlés, mais léviathan a vu, alors léviathan a décidé de croire. il a écouté les murmures de ceux que l’on moque, et que l’on méprise, délié les fils, et dans l’apprentissage de l’horreur, le cœur s’est aussi mis à espérer.

alors, ses yeux l’embrassent, mélange d’flamme, de honte et d’espérance. conviction qu’il fait l’bon choix, tempérée par les risques encourus.

mais joueur n’a jamais eu peur des paris,
aussi insensés soient-ils.

elle s’éveille peu à peu, sylphe frappée dans l’dos par un complice. pour endormir la furie, à lui est revenue la charge d’lui passer l’anneau - un honneur qu’il n’aurait laissé à personne, hardiesse et orgueil sur un pied d’égalité. il la contemple en silence, allongée dans lit d’emprunt, les mains liées sur son giron - s’demande à quoi rêve humaine retrouvée.

better dreams than mine
perhaps
but i doubt it


quand les prunelles s’ouvrent sur l’azur, doré disparu, il s’élève, projette son ombre sur celle qui a infligé mille tourments - not my fault, can’t be. you’re back. malédiction endiguée, contenue dans p’tit bout de métal ; comme bien des promesses jamais prononcées. i have questions, many of them ;

la voir
provoque____des choses ;
des choses ; tapies


but first…

titan s’est promis
titan a juré
…mais jack a depuis longtemps
renié
cette part de lui

puissante main s’écrase sur épaule si petite - forte? mais friable sous ses doigts ; démon se penche, abat, WHY? gronde la voix, provoque tension sous leurs pieds. ils sont seuls, mais qui sait quelles oreilles traînent dans la sylve… cœur se jette dans la cage thoracique, quand il déglutit, son visage s’est rapproché du minois adoré-honni. you have killed a lot of innocent people, plus qu’un murmure frôle les lèvres adverses, détache chaque mot, cherche confession et rédemption, do you know that? how can you? ; comme fin de gifle jamais abattue, l’autre main a enveloppé la joue et pouce immoral franchit la barrière des lippes malignes - gorgées d’leur sang, du sien, et d’sombres desseins. should knock your teeth while i can, songe sombre âme, noir regard - mais l’ongle ne fait qu’écorcher la bouche avant d’se retirer. why, fall?
@fallon chernobog
[crédit; corvidae, pando, vocivus (icons)]

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Jack Vegard
Fallon Chernobog
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P O W E R

when you move
you make my oceans
move too


nature : humaine mal-née devient furie(use) damnée; sort atroce l'en fait alors buveuse de cruor.
saisons : cavalcade file à belle allure, mais beauté jamais ne se fade; car chronos ne donne aux os que l'usure d'exister.
myocarde : avant-coeur aux mille saveurs; pourtant n'aime que terreur qu'elle sème, à en oublier les liés d'un autre temps.
besogne : reine paladine au plastron océan, cruelle dame est chasseresse des mauvaises âmes; a sévit sur mille vies déjà — jamais assouvie.
errance : à souveraineté de l'ondine (a)dorée; comme à sainteté de la terre militaire.
# Mar 16 Avr 2024 - 23:29


HAVET SKAL VERTA STYRT
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No vender eg meg til dei alle Kvifor hev du vekt meg
Kvifor må eg syngja Kvifor vaknar no eg;;@song
___ éclairs sanguinaires; éclate tonnerre écarlate, et jaillit la veine sur chêne maculé de ses péchés. plume virtuose dresse à l’encre des faméliques la prouesse mortuaire; frénésie folle aux passions sur crocs poignards, elle est impitoyable implacable — harpie aux pensées juteuses, à la hargne insatiable.

___ ouragan passe; mais qu’importe, vie est morte. styx coulant de babines de strige endormie, elle ressasse massacre et cauchemars la sacrent monstre des eaux. satan des innocents, créature de soufre et de sang. céruléennes giclées de rouge font paupières qui bougent; rien ne calme l’âme, torpillée par un destin plié d’avance. souffrances l’encensent; quand pourtant nymphe paraît naviguer en eaux tranquilles. car sur porcelaine fragile, dorures trompeuses l’en font divinité sous argile. voguent prunelles sur géhenne qui est sienne, voguent en peine quand visage la rappelle. rideaux s’ouvrent sur scène presque d’avant, découvrent faciès crevé de ses abcès. « you’re back. » timbre égalé d’un râle de torpeur, papillons batifolent pour laisser trainer vision flou sur espace noir. « from where? » orages fugaces font trembler rages dans méninges ritournelles. simulacres véloces projettent images féroces, comme un mauvais souvenir qui se répète pour lui rappeler le pire.  « i have questions, but first… » étisie des sens, narcose terrible s’étend encore quand soudain; il la prend au corps. assaut ravive les os, et hure léonine fronce regard dans celui qui geint trop tard. « WHY? » somme l’éveil, gicle vermeil des siens dans pupilles miroirs du carnage qu’elle a causé. de l’amour qu’elle a laissé nécroser. « you have killed a lot of innocent people » crispe l’éclanche malmenée, gigote sous l’inconfort quand gueules s’alignent. se jurent mille échanges de souffle ou de soufre. l’une veut reculer mais pogne l’en empêche, s’écrase contre son luxure pelage et profane carcan de chair pulpeuse. azurs de plombs menacent; tandis qu’elle lutte à vents contraires. « why, fall? » controverse bouleverse, fait taire bataille pour le chant d’une autre. victuailles en pagailles, plus rien ne se passe car s’encrasse le coeur trop vivant. crimes ricochent dans caboche à conscience camée; innocences bafouées tapissent crâne frêle sous manes de fiel.

mortelle née d’abus véniel
décharnée aux os d’orgueil
purgatoire ferme ses portes
et avec, son dernier espoir

___ vibre nerf buccal; sous épices goût vice dégueule sa bile ferreuse. poings miroirs dégagent l’espace, balayent toute raison pour embrasser folie coupable. et dans élan, gueule se hisse trop proche de celui qui l’écorche encore. « because i felt like it. » dégoût dégouline de babines encore rouges des autres, pas assez d’elle. « why should i need another reason? » laide nausée teinte les éclaboussées, cancer acédie donne l’acide à linguale suicidaire. « that’s just what i do. » se répugne d’exister, sabordage enragé au goût mitigé. « what are you gonna do about it, mh? » guiboles rasent linceuls à l’avenir solitaire. et furie sabotée frémit assassine contre visage brûlant; le sien pris de relents d’ambivalences légion. « hit me? » crachent canines dénudées, dérobées des nerfs tremblants d’une dégueule fardée. « blow my head off again? » fumée dragonne embrase paladin d’autrefois, tandis que buste s’élève pour défier plastron de chair et d’acier. « first a bullet and now with your bare hands? » repousse des notes et de chair despote, car carcasse fracasse l’autre et l’entraine dans levée décadente. « — that’s what you do now, mh? » museau de feu souffle entre rage et saccage; car léonine sans honneur s’époumone de ses méfaits gorgones. « crush me, go ahead; ligotées saisissent poignet prison, barreau de sa chair fragile pour l’exciter au crime; exquise folie qui les lie — be the monster you hate. » by killing the one you once loved.
(c) code -- vixen
@jack vegard

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in your sword
still beats a heart
Fallon Chernobog
Jack Vegard
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nature : sale rejeton de monstre des mers, fureur de léviathan pulse sous la peau et arrache la raison.
saisons : demi-siècle d'fureur et d'humiliations jusqu'aux jours heureux, serpent mue pour arborer force des quarante-cinq ans.
myocarde : brute palpitant frappe pour se rappeler à colosse secoué d'rires, lorgne la vie et ses plaisirs.
besogne : à la tête des penseurs, porte-étendards d'une insurrection que le monde n'est pas prêt d'oublier - victoire à arracher dans l'sang, devant spectateurs ébaubis ; les jabbers y veillent.
# Mer 17 Avr 2024 - 23:49
what happens here, stays here
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but you are by far my favorite.

« because
i felt
like it.
»

sentence tombe au fond d’l’estomac, ramasse les organes dans bain d’souffre et dévore espérance fébrile. souffle rauque s’arrache des lèvres presque jointes, s’répand entre eux requiem du passé, grondement des entrailles qui s’étirent et s’tordent de douleur - agonie d’quelques secondes qu’monstresse prolonge, sonne le glas à chacun de ses mots ; dévastation recherchée poignarde image consacrée d’papesse chérie. a besoin d’raisons pour pas sombrer quand furie s’débarrasse d’son fardeau, le jette à la figure d’amant dont l’centre fléchit - ne sait plus où gravitent serments d’autrefois. pack.of.lies! réplique sombre bête, mord presque babines rivales en pressant plus encore, en avant corps tout entier, refuse d’la laisser respirer-d’l’abandonner.

corps s’provoquent, se heurtent dans bal mortel pendant qu’balles fusent de bouche blessée. assassine provoque meurtrier, lacère histoire commune et tire, tire encore sur corde raide, où funambules affligés tanguent depuis des nuits. titan bouscule la table de chevet d’un mort anodin, tiroir s’ouvre et dégueule fragments d’vie perdue et d’souvenirs brûlés ; broyés sous ses bottes, portraits, vieux bijoux et tous ces riens qui faisaient du cadavre une âme. du cadavre, une figure d’passé enterré. because she felt like it. tonne l’âme contre ses barreaux, quand possédée enserre sa prise et harcèle l’cabot.

alors, les doigts se referment ;

sur sa gorge, étau brûlant, main abominable emprisonne maudite fedayin tandis qu’la gueule lugubre s’rapproche - enfer dans les yeux clairs, fièvre s’mêle à larmes d’colère ; rage, dépit, chagrin ; repentis démolissent.

you took that thing off…

et main libre veut briser les ligotées, et ce doigt où brille fourreau d’malédiction. cœur s’demande encore pourquoi, pourquoi ce choix, pourquoi choisir l’hécatombe ;

don’t do it
you need her
_______not anymore


nuque délicate sous la pulpe de ses doigts, fragile couronne d’une volonté si forte - et pourtant ; and yet you…

...and you.let.her.s.p.r.e.a.d."

bras puissant soulève la céleste déchue, pieds délicats quittent le sol et colosse ne bouge pas - qu’importe les cris qu’il ne peut plus entendre, les coups qu’il ne peut plus ressentir, les regrets qui lui broient l’être. même le silence ne l’écorche plus.

don’t do it
you need answers
_______screw that


and you make her kill for you! hurle titan en la ramenant, corps raidi contre l’sien brûlant, penché sur minois qu’il suffoque sans merci. étincelles qui quittent ses yeux jamais oubliés, malgré les regards complaisants - les regards d’plus en plus rares - les sourires toujours secrets.

une erreur et puis plus rien ; punition les ramène ici, pantins pitoyables d’destinée charbon. navy girl & navy boy. lieutenant & chair à canon. chernobog & orphelin. furie & léviathan. presquemorte & condamné.

don’t do it
you kind of
____like her
still
_______screw me


un frisson et supplice s’arrête ;

dans l’moelleux corps affaibli tombe, en travers du lit et en son cœur, main blessure, main formidable d’envergure libère la gorge et échoue sur la poitrine, surveille l’retour du souffle. et l’front de celui qui n’a pas pu, qui veut savoir, s’abandonne contre velouté du bras quand carcasse s’affaisse sur l’flanc. you’re a fury… right? appelle, encore, raison fuyante. ‘can’t be really you… it can’t.

et sous l’crâne bourdonne les questions,
les peurs,
et révélations.
@fallon chernobog
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# Mer 24 Avr 2024 - 15:16


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___capharnaüm de souvenirs, mémoire aux pellicules acérées; furie indélébile condamne amnésie d’asclépios. hérésie folle gangrène la veine, pulse sa laideur virale jusqu’aux abysses viscérales. c’est un baptême dans la géhenne, pour recevoir corbeau de haine.
___à gorge captive, douleur se fait vive; mais les mains ne sont rien face à la sentence de demain. à crever ici, ou privée du messie; pour seule lumière que celle des flammes de son propre enfer. il a l’oeil qui caracole sur sa monture psychose, entre haine et peine il bascule. « you took that thing off… » plus de voix pour une seule voie, honorée de faucheuse adorée. « and you let her spread. » crispe gueule sous étreinte boa, et dans son regard fille aux yeux noirs s’y noient. « and you make her kill for you! » and i’ll do it again; défiance fragmentée par la poigne qui soigne le mal, colosse brise-os excite furie assoiffée d’elle-même.


ogives azurés s’éteignent ceinturés,
récit charognard se conte alors dans le noir;
belle mortelle à irréelle cruelle
de berceau roi à vaisseau d’effroi
who am i gonna be for the one i loved?

___mais prise aux souffles de feu se tamise enfin; sans lui donner sentence de fin. condamne aux nuits affamées l’âme qui vibre sous statue de chair. mires flouées ne s’amarrent jamais, s’élancent sans heures et sans distance. blême se farde de vie, se tâche de rosé et d’azuré — de violacé marqueur d’un futur passé à ressasser. déplumées battent fébriles, cartilage dépecé réclame l’air au buste; « you’re fury… right? can’t be really you… it can’t. » lointains échos soufflent dans le vent, tandis que pensées vagabondent sibyllines sur l’onde; et soudain pulmonaires réclament, invoquent les sursauts de vitalité dans corps à triste éternité.

truth is,

___« it’s easier …to be her than to have been her. » quinte esquinte phonèmes échappées; toux s’affole tandis que tout la rend folle. synapses s’excitent aux visions assassines; reconnaît les pierres d’hommes jetés sous terre. their home. pellicules bouleversent, renversent. ne cessent leur averse. « — why did you bring me here… » spasme frappe le buste, asthme griffe trachée; car billes caracolent sur mains tâchées. their blood. « — what have i.. » done. chamade tambourine dans son enclos de rien; veut percer le mauvais sein. l’oeillade virevolte jusqu’à faciès d’antan; faiblesse d’un autre temps. their story,

my slaughter.

___miséricorde impossible excite poings sous cordes; car volonté revolver ne sait plus où pointer calvaire. qu’importe la victime quand le crime l’emporte — carminées trépassent de sous gueule boa pour l’enrouler de face. chanvre relève mâchoires tandis que genoux s’allongent sur grabat mortuaire. « you. don’t. know. what. it’s. like. » hure léonine murmure en cri contre tympan rapproché, pognes féroces ramènent corps au son du cor. et aux yeux d’offrir noyade au bleu malade. « you. ain’t. know. shit. » articule tandis que pendule s’affole; minutes crachées sans secondes, s’accélèrent furibonde sous ses mots d’enfers. « you never did — you never will. » entre canines affamées, grogne bête désarmée. « i am what i am and i did what i did — do you have the balls to say the same? » accuse lorgnade rancoeur, et s’use le coeur. « now.. i let you go then you let me go, seems like a good deal don’t you think? » palabres sabres, tranchent la trogne quand grogne féline  — ou ce qu’il en reste.
(c) code -- vixen
@jack vegard

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saisons : demi-siècle d'fureur et d'humiliations jusqu'aux jours heureux, serpent mue pour arborer force des quarante-cinq ans.
myocarde : brute palpitant frappe pour se rappeler à colosse secoué d'rires, lorgne la vie et ses plaisirs.
besogne : à la tête des penseurs, porte-étendards d'une insurrection que le monde n'est pas prêt d'oublier - victoire à arracher dans l'sang, devant spectateurs ébaubis ; les jabbers y veillent.
# Mer 24 Avr 2024 - 23:13
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« it’s easier …to be her than to have been her. »

is the world insane,
that i should believe horror,
horror in fairest soul?


sous la paume tiède poumons s’arrachent, secouent la belle qu’il a blessé dans sa colère chagrin ; ogre déglutit la honte et ravale fiel acide, tapisse gorge, estomac, ronge les os et l’âme qui halète au même rythme qu’elle. presse un peu plus l’front contre son galbe quand torturée impitoyable s’agite, pendant qu’la peur, l’regret ou tout autre tourment l’enserre d’sa réalité - ainsi cœur d’espoir interprète bouleversement d’celle qu’il veut ramener. triste souhait pour triste sire, n’oublie jamais qu’elle dérive par sa faute mais aplomb maquille si bien cristal d’peine. remords comme balade à l’arrière du crâne, serpente dans l’échine du titan bravache, conjugue ambition et contrition dans bal dérisoire. why have you come after them… you know who they were. they’ve done nothin’ to you, haven’t seen me in years, didn’t care about the insurrection… effortless targets for a murderer, but no, t’was not easy. anything but inhumanity. refuse comme mantra d’reconnaître c’que sylphe a accepté, cabot s’rebelle, ritournelle des jours derniers que d’se cabrer contre fatalité.

il n’est pas l’seul à continuer d’se battre dans vain carnage ;
victime de furie s’mouvoie contre lui, joue d’vitesse quand colosse paresse par force - en un battement d’paupières elle est dans son dos et lui passe corde au cou, rappel ironique d’leurs combats d’antan, quand navy boy offrait son corps comme sac de frappe contre risette d’guerrière convoitée.

« i am what i am and i did what i did »

L.I.E.S

you’re-not..like that. that’s.. a lie. articule bête péniblement, trachée écrasée sous l’assaut rancunier - laisse orgueilleuse profiter d’son méfait, s’débat avec faiblesse, cœur poison s’souvient d’la hargne de vaincre par mérite ; sa fall n’a jamais accepté qu’on la laisse gagner. quelques phalanges s’immiscent entre la gorge et l’chanvre qui mordille la chair, permettent au bel amant d’susurrer comptines d’une voix rauque et abîmée, de celle qui dévoile coquilles véritables sans en dévoiler les perles. you’re a heroine, always have been. strong and harsh, just and unforgivin’, but never cruel.

la main toute entière barrière du tendre s’referme sur la corde, poigne ferme pousse rigide et inéluctable, gradue l’effort pour amener lentement captive à s’fondre contre son échine. fallon. appelle souffle fatigué, quand les pieds s’ancrent dans l’matelas, fallon… poitrine heurte le dos et la tête bascule en arrière, s’abandonne contre omoplate d’la prédatrice capturée tandis qu’l’azur cherche jumelles, ...how can you be freed?” bête ne s’pose pas la question d’sa capacité, sait au plus profond qu’il trouvera solution - comme les fous habitués à tout arracher pour obtenir, vit d’l’illusion que tout peut s’gagner. ourlet rose des fines lippes distrait et envoûte celui qui veut autant détruire qu’aimer, pousse des deux côtés être tiraillé, vices et néant à droite et à gauche promettent fin fervente et funeste. must have been others, that secret couldn’t have persist without people controllin’ it… dénude recherches, craintes et espoirs mêlés, fouille pour une porte de sortie. i bring you here ‘cause i couldn’t leave you behind.

don’t want to lose you -
againagainagainagaintoolate

but -
hatesoclosetolovesoclosesoclose

can’t say that to your face
once you’ve seen it
you’ll rip my heart out
@fallon chernobog
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nature : humaine mal-née devient furie(use) damnée; sort atroce l'en fait alors buveuse de cruor.
saisons : cavalcade file à belle allure, mais beauté jamais ne se fade; car chronos ne donne aux os que l'usure d'exister.
myocarde : avant-coeur aux mille saveurs; pourtant n'aime que terreur qu'elle sème, à en oublier les liés d'un autre temps.
besogne : reine paladine au plastron océan, cruelle dame est chasseresse des mauvaises âmes; a sévit sur mille vies déjà — jamais assouvie.
errance : à souveraineté de l'ondine (a)dorée; comme à sainteté de la terre militaire.
# Ven 10 Mai 2024 - 16:44


HAVET SKAL VERTA STYRT
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___cuirasse tambour fait teinter chair d’acier en symphonie nomade; chant d’ailleurs souffle ses vents de prière contre coeur de guerrière. blessures miroirs d’assassinats sans foi, cadavres putrides floqués dans regard qui s’évide encore une fois. elle est meurtri(èr)e de teint porcelaine jusqu’aux viscères, de ses vastes céruléenne à son âme qui mérite ses peines.

et aux luttes contraires, chahutent les vents amers;
le buste à pulse éphémère, déguste instincts primaires

___« fallon. » apostrophe fait catastrophe dans bouche vermine; aux contours venin qui brûle depuis plus d’une décennie. remembrances pagailles sont miettes d’essence sur son feu d’entrailles; alors grince canines à s’en limer le tranchant. « fallon… how can you be freed? » ritournelle des synapses rancuniers, la rend éternelle folle à lier; ne mérite rien de la gloire libérée, ou des victoires narrées — que désespoir acéré. « i bring you here ‘cause i couldn’t leave you behind. » couperet sonore sectionne tympan, et giclent les notes sur plastron de titane en beauté souillée de couleurs rouillées. le silence s’impose devant palabres en fumantes vestiges, d’un monde autrefois partagé au creux des nuits saccagées.

he said,
he couldn’t leave me behind..

___et c’est le glas;
___le rire las;
___las des ruptures liées, des cassures entortillées;
___des trahisons sans dieux et des yeux sans horizons,
___juste las.
___paluches s’arrachent des autres, emportent cordage sur leur passage; chairs s’éloignent pour ne pas qu’elle se soignent. car plus rien ne semble fonctionner que le sel sur les plaies, sous ce ciel trop laid. bottes retrouvent plancher de misère, et elle jurerait entendre sous son talon la flamme des enfers. lécheuse animée, affamée de son sang de miel; de ses peines au goût d’éden pour damnés d’en bas. « cause you couldn’t leave me behind… oh lord, vegard you are something else.. » serres léonins caressent la hure aux sourires d’usures, sans joie ni foi. soupir déchire l’éther et bras retombent contre bassin meurtrier. « you could not — leave me — behind? » saccade l’antienne sous mâchoires insistantes; alors que regard se plante dans iris fondantes. « but you already did, don’t you remember? » solaire nylon peint de faux rais la noirceur de ses traits. « do you remember what did you do? you and your great ambition, you and your stupides promises; you and your fucking smiles, your words with no meaning and your big kind and fake blue eyes. » crache féroce abusée, bile dégouline des babines de fiel — et le regard sans soleil. « you thought; oh, what if instead of talking about what i want from her i’ll just… get it — and what did you want vegard, you remember that too? » approche soudaine, fait miroir contraire d’une face devant une autre; de celles qui ne se ressemblent plus, qui ne tremblent plus. « you wanted to be far… far away from me, on the top of that beautiful mountain you thought you could never climb if you didn’t use MY career, MY merits, MY life to do so. » crescendo de murmurs aux cris d’empire; ferme comme l’acier, léonine patronne s’éveille à rugir. « you say you wanna know how i can be freed. but you should ask yourself first why i am what i am — you should ask yourself.. who triggered the curse? » yes jack, you did. you killed them all.

(c) code -- vixen
@jack vegard

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(( fallon )) stay 5jtb
in your sword
still beats a heart
Fallon Chernobog
Jack Vegard
Jack Vegard
—    d o n ' t    b l a m e    m e    —
faceclaim & © : ben robson ©hellska (ava) ©eth, hedgekey, doom days (icons)

i don't know
how to make it stop


{ moodboard }

nature : sale rejeton de monstre des mers, fureur de léviathan pulse sous la peau et arrache la raison.
saisons : demi-siècle d'fureur et d'humiliations jusqu'aux jours heureux, serpent mue pour arborer force des quarante-cinq ans.
myocarde : brute palpitant frappe pour se rappeler à colosse secoué d'rires, lorgne la vie et ses plaisirs.
besogne : à la tête des penseurs, porte-étendards d'une insurrection que le monde n'est pas prêt d'oublier - victoire à arracher dans l'sang, devant spectateurs ébaubis ; les jabbers y veillent.
# Hier à 19:16
what happens here, stays here
there are a million ways to bleed,
but you are by far my favorite.
corde s’relâche et corps s’détachent, s’éloignent encore car il est bien trop tard ; des années à s’chercher, s’aimer et s’détruire et tous les actes de l’histoire sont désormais emmêlés, golgoth a provoqué déchaînement final d’une déflagration déjà amorcée - elle, elle, elle, toujours elle mais c’est trop tard. elle ne peut pas voir - plus ? mais l’a-t-elle un jour su ? il ne peut pas reculer car l’néant est partout sauf devant.

alors, il ne reste plus qu’à avancer,
sur chemin tourment,
et tuer l’gamin,
derrière,
_____qui espérait encore.

brutalités d’la belle décochent flèches qui s’enfoncent dans la chair, brûlent et terrorisent l’palpitant qui s’en va, s’cacher très loin dans les tréfonds de l’âme - laisse derrière lui injustice, rage, orgueil, tous battent sous l’derme en cadence pendant qu’la gueule reste fermée, encaisse dans silence murée dernières salves d’amourhaine désolé. que se crachent enfin les vérités jamais dites, sédimentées dans l’crâne, pour faire table rase de décennies passées enchaînés.

what if instead of talking about what i want from her — right
come on, love
you know me better

i don’t want to beg. i know you can feel it, my longing, the aching, my need for love. idon’twanttobeg.


have you ever beg in your life, fallon? interroge dans le vide voix d'outre tombe, yeux azurs perdus vers le plafond. connaît la réponse, et s'enorgueillit de la même. i didn’t want somethin’ from you, i wanted what i deserved. et sur cela jamais les cœurs se réconcilieront, car trop profondément les croyances sont ancrées. titan échoué s’redresse enfin, gorge rouge et lèvres pâles, ombre engloutit femme si proche au cœur si loin - avance quand même dans chambretombeau ; et confesse, confesse enfin car il est trop tard.

i loved you with all my heart. souffle, presque simplement. respected you, admired you, chased you for six years and never got tired ‘cause you’re just… i wanted you ; always. les grands yeux, bleu, doux - faux peut-être - veulent plonger dans les siens. and i think you loved me too. with my flaws and in your own way, but you loved me.” i know. it’s mine forever. “your career, your job and the navy…you loved them better. i knew, i knew that all time, but i thought it’d not matter ‘cause i loved all that myself. garçon des rues, en a trop voulu - y a même cru.

i tried so fucking hard
so many times,
to be like you,
but no matter how much i worked, how much i sacrificed
i just…stayed put.


colère agite la voix grave et dans les yeux grondent la mer, et paroles continuent de se déverser - parce qu’il est trop tard.

you had been promoted and deserved every promotion you got ; our friends, our human friends advanced right behind you. i didn’t. i waited. i waited day after day, more and more, with the certitude that it will pay — ‘cause it was just and right, it would be my turn and some day i’d proudly tell you about my day, what decisions i made, if i fucked up or made great calls, all the things you talked about and i was ecstatic about it… respiration se tarit quand l’échine se crispe, colosse recule sans cesser de la contempler. se tend la bête qui n’aime pas raconter, vomit pour enfin se libérer les entrailles. but i kept carrying heavy stuff, i kept risking my life, and saw my friend die, one after another. nothin’ changed.

nothing ever changes

i waited for you with less and less things to say, and you having less and less time to listen,” will you deny it? no, you don’t care anymore. “and one day i did it, did the thing navy couldn’t ignore : i did something heroic. i did it ‘cause it was my duty and my life, i was proud, i was fierce and… nothing happened.” a.g.a.i.n. “not even a thanks. and that day, i told you how frustrated i was… but you couldn’t disagree with them. you told me they have their reasons. fureur et fièvre brûlent les yeux, accumulent les larmes qui n’ont pas assez coulé tandis qu’à l’avilissement se mêle le chagrin. et cette peine plus cruelle que tous les rejets vécus, humiliation ultime d’une vie minable, d’une existence poison, that’s on you. we brought the fury together. that day, i just disappeared for the navy, for you, and for all the things i ever cared for — and you can laugh about it fall, tell me i just wanted your attention, but you know what? i did, and i wanted to serve and i couldn’t accept that it was the end for me. achève le monstre des cendres plein la bouche, contrition n’attendant rien si c’n’est le soulagement qui n’vient pas - épines sur la langue, palpitant dégouline de sang noir, arrache c’qui reste d’affection, leur donne les armes pour tuer une dernière fois amants d’antan.

et pour les regrets.
il était trop tard - bien trop tard.
@fallon chernobog
[crédit; corvidae, pando, vocivus (icons)]

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Jack Vegard
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