| Redd Howler [ b a r g h e s t ] faceclaim & © : murray, (myf)
climbed down to hell on the devil's tree,
i clutched a branch of soot and flame.
nature : fiel putride de l'animal satané, kraken qui sustente veinules au cruor asséché de la carne bâtarde.
saisons : houles éructent le trente-huitième trépas, quand tant d'autres dépouilles forment amas aux tréfonds.
myocarde : rétines sur la chair des ondines impures; estompent ces noces leurrées.
besogne : l'infant du chaos forgé aux barbares ardeurs. ravages sur vaisseau-terreur, black veil oscille enfin aux paumes des rustres écumeurs; se fait alter du frater.
no we're not nameless we're not faceless.
( b r a v e )brise siffle ces présages qui dans l'aube claire clament déjà nouvelle ère. accalmie aux bourrasques des déités, car celle trépassée essuie toujours naufragés écorchés. bien qu'ils soient, âmes noires châtiées par ces eaux, mauvais saints aux velléités sans fin. barbares aux épopées sales, ces sans-pardon, dont les gueules se gavent d'infamie pourtant. quand lui est, trop enfant, sûrement. alors, échine charbonneuse, convie les carcasses en souvenance d'un temps englouti par les derniers honneurs; pater se remémore l'ère où récits contés résonnaient telles histoires fabuleuses, celles qui déclenchaient étincelles dans les rétines du môme. là où, vaste bleue était rêverie, enchantement interdit, promesse future aux reflets purs. alors, s'y hissant ainsi encore une fois, l'un se souvient, l'un se tait. puisque épopée révolue, est ainsi annihilée par ces maintenant aux cent augures. l'œillade déverse remords sourds sur fantoche l'héritier, s'immerge aux chimères, aux réalités éloignées. de ces cadavres qui inspirent encore éther, de ces bévues impossibles, de ces racines sans entailles aux amours voraces, de ceux qui dévorent les cœurs, de ceux qui lacèrent la chair, de ceux pour qui on se dresse égide face au malin, de ceux pour qui l'on crève la dague gravée aux mains. pour elle, pour le frère, pour le fils. mais voilà qu'il avorte fantaisies et s'imprègne seulement du tableau superbe; horizon infini aux remous tumultueux, qui clament offrande ultime. celle qu'il vint quêté au lieu pourtant sacré. l'ossature se tasse aux côtes du rejeton, le motus qui se came des silences, quand s'embrase cancéreuse dégainée, immolée contre l'éphémère lumière. "the next time you foul up, they'll be clamorin' for your head. and even if i've to make them bleed for that, i won't stop them." rocaille éructe prémices âcres, car après décade d'aurores, seules ces syllabes semblent avoir été décernées aux esgourdes de l'enfant que l'on blâme. pompeux expulsent délétère fumée, et trêve pesante amène enfin sentence. "a boat be waitin' for ya. you'll be settin' sail, tonight. and you won't be returnin' until you become the one you must be." syllabes sont impérieuses au gosier de l'écumeur, bien que capitaine se fait lors padre. une dernière fois. et saisi l'âme belliciste du fils, furète au guerrier assoupi. "you'll be standin' alone, witnessin' sights no sane soul would dare. you'll endure trials that could send any man to death. but you'll live to tell the tale, 'cause you're a howler." dernière latée, dextre tend havane au lupus, ruine preste possible résistance, puisque palabres clôturent quasi l'adage. "you proved it when you chose our name."you're my flesh, my blood, the one who'll take my place when i'm naught but dust. be a man, be my son. _____________________ blackest hand.
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