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 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.6 thème; the marauders // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
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— won't you come save me, from these red hands and black deeds —
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Deimos Ackerman
Deimos Ackerman
~ c e r b e r u s ~
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"i don't know if i w a n t you.", he said.
"but i do know i don't want anyone else to have you."

nature : furie
# Sam 23 Mar 2024 - 19:20

a mere souvenir
that hunts my mind
and let the storm rage
inside of me
i n  t h e  h e a r t  o f  t h e  s t o r m

13/12/170 - as the curse is driving us crazy, shall we always remember to let the beast inside, so that humanity keeps us on the good side. the secret must stays a secret, and we have to be careful in front of those truth-seekers of leviathans. thankfully, no lies lie in our minds when we claim to be humans, as we are nothing but cursed ones, sick from an all-mighty power that we have to be able to heal from. be calm. be good. this is not our destiny. this is merely an obstacle we have to pass. dear ackermans, never forget. we are humans.
extrait de ackerman’s last hope

aux hospices des incompris, soldats en démunis face à l'insurrection des insoumis, se fait héraut, combat l'injustice qui guide les pas des incertains, comme des immortels. et sous le soleil noir des infernaux, brûle d'impatience d'éradiquer toute trace des insaisissables qui osent s'en prendre à l'intouchable institution. frappera alors le glas des touts-puissants sur la meute enragée des infidèles, lesquels supplieront alors les dieux de leur pardonner manque de foi et de vision, impies brûleront sur le seuil des immaculés. ô glorieuse promesse sous les affres du démon, clâme alors justice sous le bout de sa lame, et trouve renommée en ces lieux criblés de reproches, quand la cour de la forgeronne attise le feu des répugnés. au sommet d'un art sous la coupe de l'astre manquant, se fait l'humble serviteur d'un léviathan duquel détenait profonde estime en sa saveur imperméable et sa justesse implaquable.

and even in his demise
he continues to serve.

here lies the loyalty
of the leviathan.
 
et aux devants de la cracheuse de flammes savourant l'acier des guerriers, et de sa maitresse en renommée reconnue, se fait d'un client son débiteur immortel, quand requiert la réparation de son arme, abimée face aux déluges des hérétiques et de leurs vision eronnée d'une réalité qui ne leur appartiendra bientôt plus. i heard a lot about you. d'une voix éloquente, se fait héraut face à la blonde qu'il ne peut s'empêcher de dévisager, un visage aux rappels incessants d'une relation qui s'est achevée, ainsi que d'un souvenir fallacieux rappelant déjà-vu perturbant qu'il ne peut pourtant pas rassasier d'une marque de génie. l'instinct qui prend le pas, lueur de défi qu'il décèle dans ses propres intentions, ne parvient ni à comprendre ni à s'en épargner, quand croise enfin le regard de l'intéressée.

it was the first time i was not sure anymore. the first time i felt the waves within my eyes, without even feeling the rage, the beast, the gift shining in me. as if it was a souvenir that was driving me and the fury out. as if it was destiny, telling me i should meet her with another form. my guess is, the subconcious part of my being was ready when i wasn't sure why. it is dangerous.
ajouts de deimos au ackerman’s last hope

i knew your master, you see... comme un besoin de comprendre, ainsi que de s'expliquer, requête de l'ordre de la prière envers celle qui dépose sa clairvoyance sur la lame héritage, portrait d'une estimée connaissance disparue dans les eaux de la vengeance et de l'injustice. and your cousin. famille de renom chez les serpents, capables de se faire un nom sans avoir le bon sang, se sait en présence estimée d'une mondanité abhorrée, de laquelle il espère voir la bonté d'une margo, plutôt que l'hypocrisie de ces nobles laborieux, aux commentaires déplacés et marques intempestives de dégoût assumé.

show me your true self
with no mask, no artifice.

et sous l'opale ravageuse, sent la pression monter, l'acier encore dans fourreau qui ne se démarque que par son instabilité, sait facilement quel regard octroyer, quand la marque du mesquin prend le pas sur le client. it's indeed for the blade. our last... event was hard on her. -- and they shall pay --. mais en hommage à défunt, laisse chance à prénommée, tandis qu'elle se fait mystère à élucider, beauté aux flammes éternelles qui gambadent dans la vision majestueuse.

and a destiny full of battles for the two of us.
@brünhild väisänen  
[crédit; martyr]

_____________________
-- and it wasn't my choice to love you
but it was mine to leave. --

i don't think the moon ever meant to be a satellite,
kept in loving orbite, locked in hopeless inertia,
destined to repeat the same pattern over and over.
Deimos Ackerman
Brünhild Väisänen
Brünhild Väisänen
≈ SCALES UNDER MY SKIN ≈
faceclaim & © : Sara Fabel ❙❙ avatar (self) ❙❙ profil (self) ❙❙ signa : code (vixen) + icon (self) + lyrics (Halsey - Castle)
in the heart of the storm -- brünhild Aqqx
nature : Ondulent écailles serpentines de Léviathan en étendard fièrement affiché. Et voilà que spectre d'Ex Banshee se fait reléguer aux oublieuses eaux du passé.

saisons : Dit qu'ouvrage du temps n'a pas encore été dans sa course folle stoppé. Les 38 étés qui rayonnent sur les traits encadrés par champ de blés. Vieillir est en réalité luxe retrouvé, elle qui accuse en secret 98 années.

myocarde : Le cœur sauvage ignore amoureux outrages. Cache blessure au fond du palpitant gravée et qu'un jour a appartenu à un fiancé. Parce que céder, ce serait leur souvenir tromper.

besogne : Sait aussi bien sublimer la poudre que le fer, pour vous servir sera votre forgeronne et artificière. Mais si était libre hier, aujourd'hui de la Navy est l'une des ouvrières.

errance : S'est fait imposer la lumineuse Lawfort pour prison. Léviathane qui la voit comme terrible donjon.

# Lun 25 Mar 2024 - 22:06

water has a consciousness,
that it carries in its memory
everything that’s ever happened in this world
from the time before humans until this moment
IN THE HEART OF THE STORM
mi 03.1001 — Lawfort

Arrivée en eaux troubles avait baigné débarquement de la Léviathane dans citadelle lumière. Pied à peine posé qu'elle avait senti sur elle mille et uns regards l'accuser. Présence serpentine s'étant faite indésirable parmi les indésirés. Quoi de plus naturel après coup d'éclat par l'Insurrection tonné. Soirée cauchemar encore vivement encrée dans les esprits échaudés. Feu ravageur venant lécher de brûlantes lampées symbole toute puissance outragée. Si Lawfort n'avait su s'inquiéter d'un soleil noir annonciateur d'une presque apocalypse, karma vengeur avait su à ces profanes se rappeler. Alliés d'hier qui se faisaient ennemis d'aujourd'hui. Peuple brillant dont on avait sous-estimé les capacités, frères mal appréciés qui se donnaient aujourd'hui enfin le droit d'au firmament briller. Mais au milieu de cette rébellion à l'étendard vengeur bien haut levé, se tenait le cœur d'une Väisänen écartelé. Partagé entre la révolte de voir son peuple aussi injustement traité et déception que violence à leur tour se voit embrassée. Partagé entre la passion pour ses appréciés et le devoir que sa famille d'adoption lui a confié. Partagé entre rage d'un hier oublié et principes qu'elle veut encore aujourd'hui clamer.


Standing in the ashes of who I used to be


Et une fois de plus, outrage avait ravagé rivages calmés d'une Brünhild à présent courroucée. N'avait de cesse d'essuyer assentiments d'imbéciles qui ne savaient reconnaître travail bien fait. Prenant relève d'un maître par la sainte m(è)er(e) sacrifié, douleur de la perte s'était juxtaposée au fardeau d'être celle à lui succéder. Savait qu'elle en avait l'étoffe, ne versant dans la fausse modestie. Mais aujourd'hui, plus que jamais, regrettait amèrement d'avoir été choisie. Ondées salées avaient en cascades résignées dévalée sur les joues de celle qui avait dû quitter son île natale. Prison Ville d'emprunt lui tendant bras glacés qu'elle sentait comme ouverture d'un tombeau fatal. Mais femme de principes restait fidèle avant tout à elle-même. Avait juré fidélité à la bannière Bradbury dont elle avait fait siennes ses armoiries. N'avait l'indécence en elle de prendre le risque de les décevoir ou de les plonger plus encore dans l’infamie. Lettres d'or forgeaient peut-être les huit lettres qui faisaient le nom estimé, n'en restaient pas moins que des bêtes que l'on attendait à voir passer dans le camp ennemi.


Tête reste bien haut levée,
Fierté ne serait mise à mal dans l'adversité.


Soupir s'extirpant des lippes pincées, geste nerveux resserre attache sur les cascades blondes en queue haute domptées. Acte réassurance à la familiarité mécanique. De ceux que l'on effectue sans même que l'on s'en rende compte et pourtant ô combien salvateurs. Avait encore un peu de temps à tuer avant de voir nouvelle irruption se faire dans son antre enflammé. Dragonne longiligne faite maîtresse des lieux avait su en apprivoiser la magie. Si abhorrait la terre où ils se trouvaient, s'était juré de s'en faire refuge adoré comme feu son maître l'avait aimé. Devoir de mémoire. Continuerait de faire vivre son œuvre à travers les étincelles de ses créations inspirées. Et ce même si à chaque jour qui passe elle voit un peu plus sa liberté s'éloigner. Cage dorée qu'elle ne savait que trop bien sur elle refermée. N'avait qu'à l'évidence accepter. Résignée. Affairée à rendre sa beauté à une belle à l'émouture singulière, n'avait vu le temps passer sous l'égide de cette occupation particulière.  


And silence he breaks, suddenly


Minois se relève de la noble tâche pour couler prunelles sur silhouette intruse. La reconnaissant sans jamais l'avoir réellement vue. « Good afternoon Proxima Centaury Ackerman. »  Sauvageonne rappelle principes politesses à être soi-disant plus civilisé qu'elle. N'y voir là aucune malice, mais valkyrie implacable tenait à ce que respect règne comme souffle brûlant de son antre. Œuvre est précautionneusement reposée et liane longiligne serpente jusqu'au nouvel arrivé. « Welcome to my lair ! » Qu'elle finit d’accueillir non sans geste élégamment esquissé de la main. Grandiloquence parfaitement apprise -et mille fois répétées- dont elle avait su peu à peu s'imprégner. Ne dit-on pas que première impression se fait en premières fractions de secondes écoulées ?  « You've heard a lot about me.. all good things I hope ? » Se faisant inquisitrice. Se retient, et pourtant aurait pu transsuder de son air inquiétude concernée. Combien d'injures fallacieuse avait elle déjà essuyé ? En avait perdu le compte et ne préférait guère y penser. Mais autre avait attisé l'âtre curiosité. Et enfin, saphirs se relèvent pour croiser mers émeraudes qu'ils n'avaient pas encore croisé.


Est saisie d'une drôle d'impression,  
Ignorant qu'airs déjà vu résonnent à l'unisson.


Do I know you ? Qui reste bloqué dans la gorge comme parjure que l'on ne pourrait prononcer. Alors se tait. Et laisse parole au second tandis que sourcils se froncent à la vision de la belle ceinturée à sa taille. Déformation professionnelle que l'on dirait. Écoute, entend, mais iris sont absorbés dans l'observation de celle qui avait assurément déjà combattu avec un autre. « May he rest in peace. He will be missed by many. » Qu'elle répond sans qu'inquisitrices ne se relèvent. Là n'était l'ordre de quelques infimes centimètres, mais de ceux qui faisaient différence pour œil exercé. Lègue partant de bons sentiments. Mais comme l'Enfer était pavé de bonnes intentions, c'est bien fatalement que pourrait trouver sa fin cette dangereuse liaison. Pariage erroné qui pourrait si cher coûter. S'étonne de voir que celui qui lui a tout apprit -ou ce qu'elle en dit- avait laissé filer pareille fantaisie. Pour peu que l'on sache l'exploiter, déséquilibre entre le fer et la chair qui rendait ô combien facile de désarmer. Mais il faut croire que manieurs de lames de génie ne courent plus les rues et que l'on préfère vulgairement en finir avec poudre détonante. Et voilà bien pourquoi s'était faite artificière. S'amuse ensuite de l'euphémisme franchissant des lèvres soldates qu'elles aurait imaginé moins timorées. « Indeed, you know her very well. » Que s'amuse un bref instant la Léviathane qui avait eu vent de la relation passée.  


And concern she feels


Mais jamais une seule fois tête s'était relevée. Ressentant uniquement regard pénétrant posé sur sa nuque penchée sur belle encore enfermée. Ce n'est qu'à la marque de respect énoncée pour la dame lame que la Léviathane avait profil dans la direction de l'autre daigné diriger. « Her ? » Qu'elle commence laconiquement. « It's unusual to see someone respect an iron lady. I like it. » Qu'elle conclut, agréablement surprise. Véritables œuvres d'art que l'on reléguait à simple état insultant de vulgaires d'outils. Et si pour l'heure ne savait sur quel pied danser, avait au moins l'assurance que lames en compagnie de l'Ackerman étaient appréciées. Puis se voit mise au défi. S'y attendait et l'attendait. Main qui se tend et léger sourire amusé s'esquisse. « May I ? I promise to be gentle with her. »


Laisse moi t'l'approcher,

Pour mieux t' l'apprivoiser.

  @Deimos Ackerman   
[crédit;  code: vixen ❙❙ icon : unknown ❙❙ quote : Emmi Itäranta, Memory of Water]

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Gods & MonstersThey've got the kingdom locked up. And there's an old man sitting on the throne. That's saying I should probably keep my pretty mouth shut.
Brünhild Väisänen
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