17/09/182 - blame on them, as the secret must be kept at all costs. from now on, they corrupted the world, drowned it under their evil thoughts. they, krakens, dregs of humanity. they, monsters, forbidden from walking on our island of light. they, nightmares, who we shall keep at bay. never trust them. never surrender to them. they are now the destroyers of this world, and we are the protectors of what survived. shall this new truth never fade away.

extrait de ackerman’s last hope

aux fureurs du démon, se déversent les lamentations d'une flotte à terre quand mer appelle à rétribution. d'un oeil qui se veut volé, se doit de trouver talion, quand ire appelle au large, mais devoir sur la plage. aux grandeurs des puissants, fracture de l'ego sous le bois réchauffé qui ne demande qu'à plonger, tandis que l'horreur est à quai, de savoir monstres aux culot maladif s'emparer des trésors du royaume de la lumière. et face à l'ironie des dorés dérobés, la flasque se ternit, et la soif le vernit, quand dépense quelque monnaie dans le seul but de ne pas sombrer face à l'humiliation de la toute puissante navy. et palabres sabotent l'encéphale plein de rage, aux souvenirs d'une soirée qui commençait à aiguiser l'instinct hilare d'un guerrier aux abois. ainsi face à démente destinée qui se fend d'un rictus avisé, se fait malpropre aux prières qui refusent de s'exaucer, tandis que l'ichor s'écoule à foison quand les bêtes s'osent à se moquer.
-- that's how it works -- et se fige l'ouïe fine, quand tonne tonitruante qui se fait surpuissante, alors que démente ne mérite que de ployer servante -- when you're not alpha but think of yourself as such, you end up being the navy: bend over -- aux forces de la furie, se fait furieuse envie de massacrer bougre de rien qui se vante d'un rien, immonde senteur putride qui irrigue ses nasaux, surplombe ses sens d'un chien loin de sa laisse qu'il ne peut supporter de voir sans muselière -- whoever whas the captain, he's a real cunt. --

and in the name of the royal navy
and the justice of the bloody fury

 

he shall pay.

a gift from the past, to help us destroy the nasty creatures. never forget they might be stronger, but brute force is nothing for who can bend the seas, and tear down steel with bare hands. we are better, we are the dominant species, and they shall always remember that being an enemy of lawfort, of humanity, of us, is a death wish disguise as a rebellious thought. jail is not worth it, only the suffering from our godlike figures can be given to those who dare speak ill of our kingdom.

ajouts de deimos au ackerman’s last hope

surely, that's not the words of you, filthy animals, right ? bravant silence suivant les rires d'agonie face aux moqueries abusives des ennemis de la nation, se fait d'un démon l'auteur de futur carnage, fauteur de trouble en cette immaculée dont personne ne part jamais vraiment, quand culot s'impose en figure de proue face aux manants capables de tout pour souiller un peu plus l'image de la glorieuse institution. et sous colère ravagée, ire en reine, mère de ses pensées les plus délétères, adresse flamme justicière face à l'égo abattu, sous les instances de la blanche qui, malheureusement, n'offrira pas véritable trépas à qui, inconnu peu digne d'intérêt, mériterait pourtant de crever devant les palabres écrasées. et sous phalanges frappées de son humeur mécréante, oublie préceptes ancestraux pour marquer faute sur tempérament ennemi. heurtant colosse en oubliant dent dure des espèces inférieures. you morons should learn your goddamn place. clame héraut face à justice vacante qui décime le monde. et si présent n'est pas encore à l'apogée de sa puissance, se croit intouchable face au géant qu'il n'espère plus que voir mordant poussière.

hear me roar in your face
screaming fury in your race

if lady death hears his prayers.