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 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
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Sverrir Dalgaård
Sverrir Dalgaård
heir of the snake
faceclaim & © : jonathan tucker | (c) queen lux (av et icons), queen vixen (code sign)
who shall gather the smoke
of the dead wood burning,
or behold the flowing years
from the sea returning ?


( music | moodboard )

nature : descendance légendaire de la créature gardienne des flots abyssaux, (( hybride léviathan )) coule dans ses veines de serpent.
saisons : endosse ses (( trente-sept )) années dans toute sa véracité.
myocarde : poitrail s’oublie dans le travail acharné. oreille sensible pourtant y décèle le susurrement d’un bonheur chimérique envolé, condamné à être souvenir gravé sur le bois en éternelle litanie.
besogne : journées besogneuses à endosser rôle de (( charpentier )); le bois plie sous la volonté de son savoir-faire amassé. récemment, promu chef de faction des outsiders au sein de l'insurrection émergeant des eaux.
errance : (( cover island )) comme demeure, île de naissance, île de résidence, île de mort et de la renaissance.
# Jeu 14 Mar 2024 - 10:46

if we could all depend on what we know
if you could understand i'm losing control
slipping away
Illusion d’un contrôle insaisissable et perturbant. Tout est évanescent. Plénitude comprise, folâtre herbacée couplée aux crins récupérés des créatures némésis fourvoyés. L’espace d’une seconde intemporel, perçoit chaque être vivant l’entourant dans sa forme la plus complaisante. Les esprits murmurent leur secret dans une intime confession aux plus dévots des fidèles à la terre. Les éléments le consument de leur puissance inégalée, symbole désigné comme le démiurge de ces contrées. Instant de faiblesse transformée en vertu décisive du cheminement (mal)habile l’ayant amené à se confronter à l’extase d’un instant s'apparentant à l’éternité. Voyage des sens immuable par leur transport décadent, pour une chute davantage fulgurante. Un retour à la réalité d’une violente barbarie, les cinq sens dans une cacophonie de sensations dégradées par cette intrusion extérieure retentissant en fulgurant bourdonnement déplaisant.

Écho résonne toujours dans son subconscient embrumé. Avant de réaliser qu’il s’agissait de la porte d’entrée, tambourinant son impatience démesurée. « Shit... » Soudainement trop éveillé, dissimule les feuilles enroulées et autre substances sous le duvet surélevé, puis ouvre la fenêtre en recherche d’aération accélérée. Une visite inopinée faisant accélérer sa dopamine d’anxiété. Ses frères ne doivent pas savoir qu’il s’autorise à s’abaisser à ce qu’il avait failli un jour le tuer. Honteux ressentiment l’habite telle une averse se déversant intégralement sur son corps déréglé. Absence de volonté indigne de sa fratrie choyée. Défaillance envers les êtres aimés lui ayant accordé sa confiance pour une remontée faillible par son insuffisance de fermeté. Mais il ne pouvait s’agir d’un de ses frères aimés, ne prendrait pas la peine de frapper à la porte de leur domicile partagée. Sort de son antre en tourbillon infamant. Dans son trouble, oublie de refermer complètement la porte, se contentant de la tirer sans davantage de formalité.

S'approche le pas trottant de la porte d’entrée, reniflant tourment singulier. « I'm coming ! » hurlé à l'intermédiaire des vivants, de l'autre côté, dans ce monde affligeant. Gestes automatiques de son corps dansant le font traverser le salon relativement désordonné. Pressentiment effroyable en apercevant sa propre effluve trahissant la dernière heure passée à comater dans un nuage intoxiqué. Trop tard pour reculer. Empoigne la porte d’un geste brusque pour y apercevoir faciès retournant myocarde dans poitrail déjà anémié d’oxygène immaculée. « … Medea, what a surprise ! » Vérité sublimée, ne s’attendant pas à sa venue inattendue. Vision l’illuminant par sa simple aura bénéfique et sa présence mystique lui insufflant une joie de vivre dont elle peut se targuer d’être l’unique instigatrice. Pourtant, tonalité trop folâtre, même pour le Dalgaård déluré, habitué aux accueils guillerets que lui procure son masque d’apparat d'extraverti avenant, dissimulant férocement son état de subconscient flottant. Résiste atrocement à l’envie d’une étreinte alanguie, se contentant d’une œillade passionnée étirant ses lippes en un sourire transi. Si ce n’est ses pupilles épris gâchées par la brume des effets de l’euphorisant insufflé. « Is everythin' alright ? » Sincérité palpable, céruléennes aggravées par des sourcils inquisiteurs prévoyant un trouble insoupçonné. S’avance méthodiquement, en laissant l’espace nécessaire pour ne pas trahir effusion vivifiante l'embaumant. « You need me for somethin' ? Look, you know I'm all yours and all, but can you give me like… one hour top ? This place is a mess, you know what it’s like, living with two brothers and stuff… » Utilise l’ironie en éternel système de défense admissible tout en préméditant une présence qu’il ne lui laisse aucunement le temps d’exprimer. Juste une heure, nécessaire pour retrouver sa présence-d’esprit éclairée. Davantage que ses frères soudés, ne peut endurer d’être une déception à ses yeux subjugués d’envoûtement transporté. Ne peut non plus mentir effrontément devant sa stature serpentine qu’elle pourra détecter par son simple instinct inné. Alors, tente de détourner subtilement ses intentions qu’il sait avoir une limite par le mur qu’il érige de briques effritées.
@Medea Blackwood
[crédit; code (c) vixen, icon (c) lux]

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where is the spring and the harvest and the tall corn growing ? they have passed like rain on the mountain, like a wind in the meadow; the days have gone down in the West behind the hills into shadow.
Sverrir Dalgaård
Medea Blackwood
Medea Blackwood
HAMADRYADE
faceclaim & © : mcgrath (c) queen lux
nature : pour séduire l'obscurité, infrangible vipérine fredonne les runes antiques qui bercent sa genèse légitime, priant pater sublime de protéger le bois de marmaille sans racines ; leviathan.
saisons : trente-sept aurores vouées aux luminescences de la misère innocente, oubliées sous les drames éclectiques des folies adolescentes, bercées par les épiphanies des existences évanescentes.
myocarde : Anaphylaxique bas-ventre se repaît de l’écume nébuleuse des songes, de l’onirisme hanté des chimères qui torturent au petit jour les cadavres du Mal-Amour.
besogne : impératrice et esclave, incube adoratrice de la déréliction enfantine, enchaînée et cajolée dans son navire sacrificiel. fondatrice et directrice de l'institut des impécuniosités recueillies.
# Mer 3 Avr 2024 - 15:38

if we could all depend on what we know
if you could understand i'm losing control
slipping away

You have to tell him


he wouldn’t understand


you have to leave him


but he’s my land


it’s time to go


don’t ever – ever
let go of my hand


encéphale en sous régime déploie nervosité comme lames vipérines sous la peau, sous les os, sous les maux. destinée renie passé et scande l’appel sacré ; celui de quitter la terre et sa forêt. depuis des nuits, mille âmes empressées chuchotent au cœur gelé, peignant l’horizon comme insatiable nuée ; celle que l’on conquiert pour réchauffer le souffle gelé des abandonnés.
they need you, think, think to them ; they die and you do nothing.

avait silencieusement murmuré l’Ancienne,
avant de rendre aux astres son dernier soupir
t’insulter tendrement avant de mourir.


et c’est toute la vie qui entonne son chant d’adieu ; dans les chuchotements des feuilles, dans le miroitement des rivières, dans la beauté des brises légères. et c’est le corps qui oublie ses repères, s’offre à l’impossible le temps du rêve

cauchemar lorsque réalité frappe au hasard.
gagner mais perdre, trouver et se perdre
dans les horreurs des caves sentimentales.


terrible ultimatum dérègle sauvageonne qui s’irrite et s’étonne ; quelle est cette lourdeur, enfouie sous ma poitrine, qui brûle et trépigne ? pourquoi tous mes onguents ne soignent-ils pas mes dérèglements ? peut-on recoudre le cœur et l’âme lorsqu’ils s’arrachent au firmament ?

interrogations s’agitent dans l’âme cyclonique lorsque la course prend vie, furieuse de rejoindre le garçon aux mille hérésies. le cœur dans les prunelles rappellent aux promesses éternelles, de celles qui se chuchotaient à l’ombre des chênes protecteurs. les aveux muets, les contes confiés comme des secrets, son monde accroché à son palais ; là, les réponses de nouveau vibreraient.


please show me
please tell me
something that would change everything


ombre se glisse contre les murs familiers et annonce sans douceur son arrivée. les secondes s’étirent et écharpent la patience éreintée par les doutes et leurs ongles aiguisés. il est là, pourtant ; elle le sait, elle le sent. le soleil a épousé le ciel depuis tant d’heures maintenant ; pourquoi s’éveiller à l’agonie de leur hymen ? les lèvres manquent d’esquisser le prénom alors que la voix s’élève enfin – pâteuse, haveuse. la mine se froisse sous le doute malicieux, invité inquisiteur et incisif. mais enfin, mutin paraît, drapé du soleil de l’aube, pâle et réconfortant dans la moiteur de l’été brûlant. la joie instinctive s’accroche aux entrailles en dopamine merveille, pourtant filtrée par l’évidence soudaine : «… you’re strange ». sans laisser le temps à d’autres balbutiements de naître, vipérine s’immisce dans la garçonnière, laissant dans son sillage la fraîcheur des bois impassibles. iris observent, délaissent bordel, s’accrochent à l’essentiel ; mais seule l’odeur la mène aux trésors sacrificiels. « … you did it again » griffes saisissent délicatement l’objet macabre, luisant sous la lumière des rayons accusateurs.  « you did it again » répète, sans comprendre, l’enfant naturel. un temps meurt dans la consternation silencieuse lorsque, enfin, accusatrice plonge topazes dans l’âme éteinte et feule rage sainte : « how can you did it again ? » douleur aux mille heurts agite poitrine écrasée par la déception alors que le jugement se dévoile, inéluctable : « you act like a little child : selfish and dangerous » mots sifflent dans l’air comme des lames alors que la preuve est rejetée bruyamment contre le sol. l’évidence s’impose alors sur les traits accablés  - acide vérité, mère de la folie découverte : « i can’t stay for a child ».


oh, you show me
oh, you tell me
something that change everything



@Medea Blackwood
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Sverrir Dalgaård
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nature : descendance légendaire de la créature gardienne des flots abyssaux, (( hybride léviathan )) coule dans ses veines de serpent.
saisons : endosse ses (( trente-sept )) années dans toute sa véracité.
myocarde : poitrail s’oublie dans le travail acharné. oreille sensible pourtant y décèle le susurrement d’un bonheur chimérique envolé, condamné à être souvenir gravé sur le bois en éternelle litanie.
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# Mer 10 Avr 2024 - 9:48

if we could all depend on what we know
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slipping away
Vision éthérée que nul ne peut troubler; ô quel gâchis d’avoir été cherché réconfort auprès d’éphémères commotions aussitôt envolée. Scène semblant presque immatérielle, rêverie éveillée s’étant matérialisée en visiteuse inopinée sous la forme de ses songes chéris de tendresse alanguie. “... you’re strange” Joue le faux-semblant ébahi, sachant consciemment qu’il ne peut davantage se dissimuler, mais surtout qu’il ne peut mentir à l’être secrètement surélevé sur son piédestal des êtres aimés. « I’m not, usually people say I’m loyal and lovable. » Cache ébriété en espièglerie cocasse de fumisterie folâtre. Mais la belle, loin d’être dupée par le guilleret damoiseau des forêts, force l’entrée dans l’antre dalgaardien aux terribles desseins. S’empresse de la suivre telle son ombre indéfectible. Mais trop tard pour empêcher nasaux de flairer l’air putride. “you did it again” résonne alors en jugement implacable tandis qu’elle fait luire substance accusatrice sous ses pupilles clignotant de culpabilité. « I … » Vocable interdit, mots se confondant au fond de sa gorge serrée de honte face à la cruelle et féroce véracité des faits impossible à éviter. you did it again, qu’elle répète en litanie morbide de déception infligée par son comportement irréfléchi. Muet par le déshonneur de sa faiblesse éhontée et exposée aux yeux de la passionnée aux pupilles flétries de dépit lui arrachant le poitrail d’ignominie envers sa personne devenue répulsion honnie. “how can you did it again ?” Paluches passent sur son visage tuméfié par le désappointement provoqué. Se surprend à avoir la respiration saccadée dans un étrange mélange d’amertume et de colère contenue. « I… don’t know, I’m sorry, I’m sorry. » Tremblantes cordes vocales trahissent l’angoisse de son abandon pour son énième entorse à leur équilibre salutaire nécessaire au bien-être du faiblard grabataire. “you act like a little child.” Agacement évident, traits déformés par la tristesse d’avoir désappointé et la bévue de s’être fait prendre. Un enfant, ainsi n’avait-il donc pas changé malgré les incidents et les traumatismes outrepassés. N’sont que des chapitres délaissés face à un présent débauché, profitant des plaisirs éphémères au dépens d’un avenir qu’il pourrait s’efforcer de paver par son travail acharné.

« I said; I’m sorry, ok ? Pupilles écarquillées, présentant un océan noyé de confusion et d’appel à l’aide étouffé du gamin apeuré tombant dans un fossé où s'entend également irritation dissimulant faiblesse incontrôlée. You think I enjoy this ? I hate this. And I hate myself for always falling into that shit. I hate it, I hate it, but I can’t stop, I… I… I just… I just can’t stop. » Discours confus, saccadé, hoquetant mal être et crève-cœur. N’accorde pas un regard au déboire jeté bruyamment, soufflant respiration vers la secrète aimée de ses nuits. “i can’t stay for a child.” Doute perceptible, traits transformés en inquiétude incomprise de sa pensée électrisée. « What… what do you mean ? » S’approche scrupuleusement, hésitant le contact en tendant une main vers la sienne qu’il rétracte aussitôt, frayeur tangible dans son regard inondé d’incompréhension terrifiée. « I’m not a child. Please, stay. » Finalement, doigté incontrôlé se dirige lentement vers sa main dont il attrape les phalanges d’une douceur invétérée sans quitter les plaines azurées de ses pupilles ombragées. « You came to tell me something, right ? What’s happening ? Tell me. » Réduit distance d'un pas en accentuant l'étreinte de ses doigts s'entremêlant aux siens. Serpentin sinueux s'insinuant dans ses sous-entendus sibyllins. Trouver ainsi l'espoir de décrypter ses énigmes indécis par ses iris énigmatiques. Look into my eyes and see how true we are.
@Medea Blackwood
[crédit; code (c) vixen, icon (c) lux]

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Sverrir Dalgaård
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