the elders

fallonfondalux

salazarfondabengal

reddfondavixen

contact -- pour en connaître davantage sur le staff et savoir qui aborder en cas de doutes ou questions.(( tops-sites ))
pour nous soutenir!
 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
wall of glory

jack
rising star

BTM
nouvelle ère

sigvidh
most valuable player

news -- beyond the myths; étendards hissés, un nouveau vent se lève sur la communauté!
museum of sinners
— won't you come save me, from these red hands and black deeds —
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

Robin Alighieri
Robin Alighieri
d a (m) w n e d
faceclaim & © : m. vacth (av) nukaven (icn) ethereal.
(a)live -- wernher 319f4cfa7e22f8897da3ddd98a7a3d7a27e2a132 (a)live -- wernher 111af9b103319fd1e53434cb724d950224017ff9 (a)live -- wernher 3612ab559f7848e227199261550cbd76b07f75dc
« all my reasons cut like knives
keep replaying in my mind
all the times i’ve had to fight
i'm still here
it's in my blood, it's in my veins
i'm still here »

nature : éclatante existence, dresse créature élitiste et primaire. ( human ) incarne force singulière, d'une conscience éveillée, il érige, façonne, domine.
saisons : tantôt douce, tantôt salée, d'accalmie puis cataclysme. le goût fugace, ( thirty-six ) éparpillées, suivante grignotée.
myocarde : écho triste des je t'aime jadis, bien avant que vestiges arborent paysage. ( lost under the sea foam ) dernière mer chevauchée par l'être tant regretté.
besogne : pourfend marées houleuses et sort vainqueur, digne impératrice ( navy ) . chants marins arborent ( the meteor ).
errance : ( ocean way ) de souveraineté, s'annonce en courroux, loi divine et salvatrice sur le restant.
# Dim 18 Fév 2024 - 14:04

b r e a t h e
lawfort, 1001
i hear the sound echoes beneath.
angels and skylines meet and i'm straining to reach
the light on the surface light on the other side
Seule ambition expirer pour navy à l’expié. Servir grandeur avec honneur. Courir avant marcher, et nager avant cheminer. promesse lignage en bénédicte malédiction. Referme son loquet e scelle avenir.
which one ?
Ailes enlacent silhouette abîme(s). Humidité saline assèche chair, irrite le derme. Fatigue. Pose au repos carcasse et berce houle. Linceul froideur minerai unique estrade et caresse mousse aux pieds, talon d’Achilles brise chaînes.
breathe
Paralysie sensation au gré émotions. étrange anesthésie d’un instant oublie pensées. Illusoire fragrance échaudée, réchauffe son coeur. Retrouve illusion de sa pulpe électrisante faite sienne.

Souffle océan.
Ils auraient pu y vivre bons.
N’y virent que cruelle accompagnée soeur deuil.
don’t leave.
Ciel qui n’en est pas acclimate ses nuages d’orage. Annonciateur de son propre déluge.
take me away
Envolé toucher ne laisse que foudre en déchire l’épiderme.
don’t leave me away
Envolées poussières squelette déformé, en horeur faciès hante sa proie.

Accélère son temps comme la course du cataclysme au courrou roi océan cingle insouciance. Force abandonne. Car il est inutile de nager lorsqu’il suffit de marcher.

Tétanie sous diaphorèse en expie exergue sur les draps. Orbites affolent cardiaque et les veines battent mesure en contre-temps. Griffes percent matelas méconnu. Réminiscences font violence, passent images spasmodiques.
Encéphale prisonnier, admet à sa tourmente punition subconscient prend son tour.
Tempête infinie précipite précipice. Galère pour monture chevauche menace et prophétie bourdonne la tempe. Hémoglobine appelle sa chasseresse, imbibe un tombeau pour altération palpite.
Survivre.
Pluie diluvienne torture aux muscles meurtris. Mort échappe telle parente ne coupe son cordon à l’engeance infante. Celui qui relie au Météor aux côtes de Barter Bay et patiente sa proue reprendre domination de sa mer.

Envoyée pâture, offrande pour salut. Ce n’est plus déluge que sève rougeâtre coule bâteau de fortune. Camarade enfonce métal dans les branchie, gueule arrachée, lambeaux de chair pour contrepartie éclaboussent aux visages. Vide chargeur, monstre au crâne perforé. Bestiole que mort embarque tantôt sa messagère et prend soldat en passager. Laisse au traumatisme cauchemar aussi souillé que la silhouette noyée dans l’écarlate.

Panique en crise, pupilles alertes, dissout et trouve réalité. Bandages sur les bras jusqu’à sa dextre recouverte. Dissimule sous l’immaculée masque peau déchirée. Aucune douleur ni sensation. Ville lumière finalement trouve sa plage et s’écrase en miracle. Combien de temps s’était écoulé depuis le départ du Météor ?
Panique reprend d’un autre genre, sous paupières embaumées étirent du plus fort ses liens qui la retiennent. « Admiral ! » Hurle à sa peine en berne. « ‘Wanna to see him ! » Infirmiers s’agitent et jette regard dans cette pièce où démence à l’oeuvre, emprise esprit cherche libération. « I need to see the admiral ! » D’aucun ne cesse ses souffrances, blessée soldate (é)prise de folie qu’ils disent tout bas traumatismes.
@wernher attila
[crédit; ethereal]
Robin Alighieri
Wernher Attila
Wernher Attila
GOD'S LONELY MAN
faceclaim & © : robert de niro (dans la cinquantaine) ((c)self + vixen).
nature : carnassier devenu carnifié. humanité noyée dans les abysses, n'en sort que quand la tempête fait rage.
saisons : les traits bouffés par les tempêtes. les cinquante cinq années tabassent le mortel ambitieux.
myocarde : battant putride, la gangrène affective s'acharne à ronger corps et âme.
besogne : grand prédateur des mers chassait répugnés à bord du meteor mais capitaine est devenu amiral, protecteur de l'azur.
errance : lawfort fief de (sa) toute puissance.
# Dim 25 Fév 2024 - 12:41

b r e a t h e
lawfort, 1001
i hear the sound echoes beneath.
angels and skylines meet and i'm straining to reach
the light on the surface light on the other side


____soleil n’est plus. s’est éteint l’astre guideur des hommes. a laissé place à une nuit éternelle. au néant des espoirs, aux abysses désespoirs. crépuscule plonge amiral dans inquiétudes tourmentes. animal s’active sur terre quand la tempête est en mer. quand la fin des temps est à l’azur. de là où il se dresse sa toute puissance lui semble impuissante. ô grande navy doit repousser monstres. ô grande lawfort se voit cible des immondices d’un monde marin tourmenté. et dans tout ça, meteor perdu. si bien que les grandes vagues l’ont peut-être englouties. que peut-être que créatures ont bouffé humanité. des jours que l’agitation tambourine la caboche du plus-si-puissant. gamine qu’il pense crevée. frère qu’il pense englouti. camarades qu’il pense avalés. la cruauté des songes grignote gradé. pourrait submergé la force qu’il représente. et tout partira à vau l’eau comme catastrophe qui viendrait faire disparaître équilibre moral. supérieur doit alors conserver droiture. être plus fort que les vents. plus fort que les vagues. plus fort que la nuit.

____aux désespoirs des temps, nouvelle est venue siffler aux oreilles de tourmenté. rescapée a traversé les eaux, les dangers, pour venir jusqu’à eux. jusqu’à lui. robin messagère courageuse. monstruosités n’ont pas su se régaler d’elle. matelot dompteuse des eaux dangers pour se faire émissaire funeste. amiral a bondit. a filé aussitôt la nouvelle sifflée. a abandonné mission en cours. a laissé assistante se charger du plus gros. mais quand il arrive à l'hôpital, rescapée est encore inconsciente. assommée par les violences. les bandages comme preuve des blessures. et les inquiétudes sont là. chuchotent malheurs au veilleur. les questions naissent. la terreur s’installe un peu plus. et si messagère lui révélait sordides vérités… et si il ne restait plus qu’elle…

____questionnement s’arrête quand patiente s’agite. quand panique s’active. elle hurle à la démence. appelle supériorité. l’ombre du gradé se déplace alors. s’approche de traumatisée. infirmiers tentent de calmer folie. i’m here, child. i’m here. la voix rassurante. contradiction avec la déraison d’une situation bordélique. oeillade discrète au medic qui utilise calmant pour ramener déraisonné à la raison. d’un geste presque paternel, il dépose paluche sur l’épaule et de l’autre attrape poignet comme preuve que tout ceci est bien réel. qu’il est bien réel. i am here now. il se répète pour que ça rentre. pour qu’elle sache qu’elle n’est plus seule. que la tempête est finie. you can go, leave us alone. qu’il balance en ordre aux intrus. il ne veut que personne ne dérange. que personne n’entende. amiral attrape alors chaise. prend place au plus près d’elle pour ne plus l’abandonner. i called your parents. they’ll be here soon. il rassure, l’amiral tandis que questions taraudent esprit. ça l’ronge de savoir. ça l’tue cette attente. i shouldn’t ask you that, not right now, not in your state but if i don’t, i’m going to go mad. humanité se révèle aux yeux d’un gamine qu’il connait que trop bien. amiral s’efface et paternel surface. is she okay? are they okay? good or bad, i must know. car il ne peut s’empêcher de demander pour les autres. pour ces soldats sans repères. pour ces matelots qu’il laisse sans pairs. pour ces gosses sans pères.


@Robin Alighieri
[crédit; ethereal]

_____________________
cause you're a natural,
a beating heart of stone.
Wernher Attila
Robin Alighieri
Robin Alighieri
d a (m) w n e d
faceclaim & © : m. vacth (av) nukaven (icn) ethereal.
(a)live -- wernher 319f4cfa7e22f8897da3ddd98a7a3d7a27e2a132 (a)live -- wernher 111af9b103319fd1e53434cb724d950224017ff9 (a)live -- wernher 3612ab559f7848e227199261550cbd76b07f75dc
« all my reasons cut like knives
keep replaying in my mind
all the times i’ve had to fight
i'm still here
it's in my blood, it's in my veins
i'm still here »

nature : éclatante existence, dresse créature élitiste et primaire. ( human ) incarne force singulière, d'une conscience éveillée, il érige, façonne, domine.
saisons : tantôt douce, tantôt salée, d'accalmie puis cataclysme. le goût fugace, ( thirty-six ) éparpillées, suivante grignotée.
myocarde : écho triste des je t'aime jadis, bien avant que vestiges arborent paysage. ( lost under the sea foam ) dernière mer chevauchée par l'être tant regretté.
besogne : pourfend marées houleuses et sort vainqueur, digne impératrice ( navy ) . chants marins arborent ( the meteor ).
errance : ( ocean way ) de souveraineté, s'annonce en courroux, loi divine et salvatrice sur le restant.
# Mar 27 Fév 2024 - 11:59

b r e a t h e
lawfort, 1001
i hear the sound echoes beneath.
angels and skylines meet and i'm straining to reach
the light on the surface light on the other side
descente lenteur, profondeurs vivaces à son offusqué message. arrachée discerne submerge conscience, tâtonne de sa confusion au vain éveil. murmures absolvent (ir)réel. et mer cruelle a recraché âme sous bât à abattre. réalise présence familière au moment interpelle de (com)pair ou d’intendant, du protecteur ou du seigneur. tant de facettes sous les traits marqués du capitaine navy, tient barre de gargantuesque cité lumière. voix rassure à ses bras sûrs, si peu assurés. regard embaumé déploie voile incertain.
« please. —  before you left, doc… » retient souffle au bord d'un gouffre. pétillent céruléennes à marée haute. « did they find any others ? » corpses. affliction en berne et silence se fait long, en dit long. ne restait plus qu’elle. violence en secousse attrape soudain, et soupire d’un énième relan folie. « we must find them. » nul besoin de finir termes, chuchotis à peine perceptible témoigne sa peine au creux oreille de son veilleur. croise odeur [du sang] omniprésente qui ne la quitte, de ses compagnons dont elle doit à présent s’acquitter.

oeil effare, compresse myocarde et carotide palpite. gonflé poumon et réalité regagne son ère. « you have to keep her out. — please, just tell them i'm fine. » adresse -presque- son ordre non plus d’une hiérarchie, simplement à ce genre ami. « marek will understand. » and you too. seuls soldats au garde-à-vous connaissaient, gare à eux, aux égards portés sur les proches et regards en retour. alors cadette comptait sur compassion d’un confrère plus que celle d’un autre père.

hésitation aux bord des lèvres démange et ronge, lorsque connectent les liaisons d’un esprits sous sa brume et retrace sur un temps en trois temps les événements et remettre à l’ordre outre réminiscence, chronologie de ces… derniers jours ou peut-être bien semaines. qu’elle comprenait la crainte de l’amiral, ô combien si banalement humain, dans la lueur des yeux fatigués attend la sentence.
était-ce bien nouvelle à annoncer ? et n'y trouver repères à assurer.
soulage aura pour dissiper effroi et accalmie subsidiaire à coup narcotique. doux euphémisme pour stabilité éphémère et de nulle félicité. de quelques apaisants parcourent à l’instant ce corps qui s’indolore. faisait-il la même chose pour l’esprit agité ? débat vacarme ne cesse d’encombrer l’encéphale torturé. pourtant trouve dans le regard réconfort fugace et illusoire de ces quelques minutes pour se sentir en sécurité. « last time i saw her she was just stunned. like many of us. she wasn’t hurt. » descendance précieuse pour plus qu’une amie, et la dévastation l’aurait tuée, elle aussi, si on venait la lui arracher. « we lost some at sea, admiral… but when i left i don’t think we fully realized the seriousness of consequences. » consonance émissaire, tel appel à l’aide à son supérieur un brin clameur à la corde ébranlée mais dont la réserve prend le pas sur réelle inquiétude.

mutisme accable aux pensées tant au vocable qui ne veut plus s’échapper. opprobre à la gueule qui décompose alors mots et enfin cracher ce qui lui enserre l’abdomen et lui donne la gerbe. « even now i don’t know what happened out there. it didn’t look like a sea monster » pouvait-elle seulement s’en persuader. d’aussi lointaine recherche, aux tréfonds de ce que son esprit lui semblait sûr, rien n’apparaissait littéralement. brouillard au littéral, avait poussé fierté navy sur littoral. « but ‘violence of that storm… i’ve never known anything like that for a storm. » à l’égard d’expérience qu’elle n’avait pas, celle de capitaine, de l’idoine souverain ou de son propre père. pour sûr meteor avait connu pire, et élevait ainsi gain espoir -vain ? « then we couldn’t see anything, and the meteor lost its cape »

récit trouvait sa fin par cet inexorable, de sa sorte avait plongé son messie funèbre. « but i volunteered to go and get help. here. » intonation se tait puis reprend. obscurcit son timbre comme assombrit la teinte dont l’azur de la cornée retourne à la peine et marée se déverse. « were five of us who volunteered. » larmes s’écoulent à mesure du torrent qui l’habite, et images par dizaines tourmentent son cauchemar. « and they all died... » and it’s my fault.
@wernher attila
[crédit; ethereal]
Robin Alighieri
Contenu sponsorisé
#
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 1

Sauter vers: