aux farandoles des fanfarons, se dressent les splendeurs des rossignols, baignent dans le mesquin, vices de demain, lorsque de sa main, punit le malin. et s’affaire à d’autres, sœurs et frères sous le ciel de noirs desseins, quand entend la mention d’une dame loin d’être banale, de la bouche d’une autre  aux relations avec le divin, s’écriant avec aisance sous les assauts de ses sulfureux câlins, de ses touchers cristallins à la gloire de quelqu’un en lui dédiant offrandes de jouissance comme d’une mort à moitié éternelle.


n’est quête, que ce qui en mérite le titre. et sous l’impulsion et l’instinct, se fait un plaisir à lui trouver de quoi y prétendre, quand sylphide s’inspire de dires qui lui semblaient envahissants. un atout dans sa poche, une gloire cachée, un trésor à ses côtés, cette recluse sur île de tous les péchés, quand sommeille en elle le potentiel d’à jamais avoir l’ascendant sur qui voudrait lui voler sa gloire. pour ne plus  tourner le dos, ne plus  fuir son droit, quand n’oublie jamais les fadaises de son sang, et les erreurs de ses adelphes, entraînés dans une chute dont elle ne se délecte que par ego. des torts rectifiés, ne restent plus qu’à s’opposer à ce que le monde fait des enfants qui se sont ravagés.

« - are you interested ? they say she knows way too much for just a healer.
- oh, i am, but don’t worry, as long as she is able to heal me, i don’t care about her knowledge. »

lie de l’humanité, ou de ses prétendants aux aspects maudits comme des hybridations aux meurtrières origines, le mensonge fait tournoyer la linguale, quand se veut arme puissante aux mains des téméraires. que faire d’une épée, quand la parole tranche l’âme et sauve les esprits, ou dévie les honorables vers sentier aux portes des enfers ? lorsque nuit s’élève en damnée, et soleil repose en meurtri, nulle paix ne peut s’immoler par la force des guerriers, et les intrépides tombent, quand les menteurs s’élèvent. alors face à la description de la particulière, se fait promesse de la faire succomber, quand se retrouve face à la splendeur qu’elle n’imaginait pas si imposante.


are you looking for someone, miss ? d’une voix teintée de ses intentions cachées, ne reste que la douceur d’une muse au tempérament de feu, et à la prétention non camouflée. une succube sous les bras des divins, qui ne cherche qu’à tâter le terrain face à la demoiselle aux mille saveurs, dont on lui a raconté monts et merveilles. or something ? car sur les chaînes de ce paradis perdu et saccagé par présences loin d’être vide de chaos, règne une loi imperturbable que personne ne saurait outrepasser. d’un talion, en font une arme de toute autre nature, quand l’œil devient main ouverte, en quête de rétribution. my name is syfa, and let me tell you… there is nothing i can’t give you, if you ever need the help of eden’s chain.

en harmonie avec desseins qui se faufilent entre les mailles, fait nœud de repentance face aux folies de son destin, garde un fil à jamais superbe, échappant aux ciseaux divins. et sous le masque d’une nymphe qui ne se veut que belle naïade, laisse soin aux étrangers de la jauger, de la juger, tandis que personne ne peut savoir quelles horreurs elle entrevoit, quels cauchemars viennent la traquer, ou quels secrets sont à ses pieds. une damnée sous ciel ombré, traque ceux qui parlent pour écouter. une viciée au sourire modelé, dévoile cadeau empoisonné quand on demande à être aidé.


aux folies des oceans, découvre succube aux yeux des mers, noyée dans un plus grand mystère, l’écoute qui se fait reine d’une ère. ravage de ses opales, fureur des incompris, sourit face à trouvaille d’une femme ornée d’éloges, et susurre, intéressée, i wouldn’t blame them, you know… s’empare de l’espace, d’un pas se fait aventureuse, rapproche ses lèvres et regard, d’une beauté qui façonne les arts. you are a sight for the eyes, a muse, would i say. no wonder they all search for you. — as i did — aux lippes se fait soumise, face aux rétines de la sirène, incapable de mentir sur ce qui est déjà vérité. it’s just an old wound, but… would you know how to treat it ? it would be a shame to have a scar everyone would be afraid of. en victime face à l’agonie, en crainte face à la démesure, se veut belle en tout temps, pour rester plaisir des yeux, et recueillir son or si précieux, nectar qui la fait vibrer, secrets qui l’ensorcellent à jamais.

« - who are you ?

aux tintements de sa voix, lit en elle la méfiance, tandis que sirote son emprise, qui déjà, se démarque. ô reine de son ère, reine du mystère, reconnaît en sylphide une similaire atmosphère. shouldn’t i be the one to ask ? i have given you my name and my help, yet, i don’t know how to call you. s’amuse des secrets, tandis que voit belle proie s’en aller bien trop loin. you know, these islands are my home, you can’t run away from me just by walking, dear. et saupoudre de vérité, l’affront à sa personne and by boat… oh i would still be able to find you. lâche le masque de l’ingénue, sans jamais se faire menaçante. un brin de sa vérité, pour qu’elle reconnaisse son talent. ou sa valeur. as i told you before… la rattrape sans mal, se fait ange bien que démone. there is nothing i can’t give you, if you need the help of eden’s chain.


en souveraine des lieux, n’a pas le pouvoir des dieux, n’est qu’un cadeau pour les yeux, et une succube pour les gueux, mais se fait ardente symphonie, pour qui écoute son chant, car promet cadeaux que nul ne peut attribuer. en secrets bien gardés, sait comment faire plier les plus grands des géants. pour autant qu’on lui laisse un pourboire en retour. et dans ce cas précis, une amitié sans détour. tell me what you want. what you need. what your heart is craving for. et dextre s’en va effleurer la main de l’inconnue connue and i will do what i do best, just for you. s’en empare sans crainte, bien que pourrait s’effondrer si sublime aux yeux de l’océan, venait à se montrer violente. it’s a thing everyone understands, but this island even more. to give and to receive. you understood i was wounded. and i understand you want something. i bet this is the beginning of a true friendship, wouldn’t you say… ? — come on, give me your name. — d’un simple nom, scelle contrat, et avance d’un pas vers ce que succube au masque de kraken veut réellement.