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;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer. soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
in waters dark, fate's cruel dance, a ship once proud, now meets mischance
destin putain. sous ses yeux se dévoile la machinerie d’un dessein malin – les moires déroulent les fils qui relient ces filles à l’éternel, et rompent sans pitié la vie de celle emportée par les marées de sel. autour d’elle les corps qui s’activent et les voix qui s’élèvent, et dans son coeur à elle c’est la colère qui s’éveille. quand les unes apportent secours, les plaintes sont silenciées et les mains s’attachent aux besognes désespérées. – caulk as best as you can, i’ll be back. i have an idea ! et elle peste, peste, peste, en sourdine. pourtant s'acharne à retenir l’ondine, se fait soeur des danaïdes.
a tragic tale upon the sea, as waves engulf, the ship meets destiny
piégées au coeur des entrailles en ruines, maudites terrées attendent vermine. danse cruor peint le tableau d'ichor. mâles assassins deviennent proies dans la tanière carmine, et gamine se gonfle de fureur quand sa lame transperce les coeurs. car elle n'est plus de celles sur qui le doute ruissèle – et rage déferle en choeur avec ces corps qui s'amoncèlent. ballerine aux déplacements fluides rompt brusquement l'harmonie lorsque l'oeil s'attarde sur scène qui dérange la furie. soeur encerclée par cabots assoiffés, affamés. – hey you wanker, watch your back. ronde scindée par ce corps qui cède, saigne. élan vengeur marque première erreur; guerrière zélée stoppée dans la mêlée quand le fer ennemi rencontre sa chair meurtrie.
resume:
hihihIII alors pour la faire courte, edda elle est totalement du-per face au destin qui s'acharne et voir des soeurs flancher c'est trop pour elle alors plutôt que de venir secourir les corps elle tente de panser le bateau lol, en suivant @zehra basheer. le constat est tout pourri mais elle réfléchit pas et elle se contente de l'écouter et de retenir l'eau comme elle peut même si c'est apparemment vain parce qu'oN COULE puis quand vient l'heure de la bataille par contre c'est un petit kiff pour elle qui ne rêve que de buter du mâle, sauf que la demoiselle à force de faire du zèle et de se mesurer à plus grand qu'elle en sauvant une soeur qui se retrouve encerclée par bcp trop de pelos (d'ailleurs si quelqu'un veut jouer cette soeur let's GO), elle se reçoit une lame dans le flanc voilà voilà bisous
red hand credits ; vixen (code)
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see what i've become
Boy I was shaped for the fury Now I pay the price Of the human race's vice
Désormais découvertes, combat démarré dans la rage qui les anime à l’unanimité. Surprise ou affront direct, agissent comme leur ressemble, mais toutes défendent sans relâche. Elil pas l’exception, la vue de ces hommes pleins d’une confiance impertinente dessinent l’esquisse d’une rage montante. Celle enfouie bien trop longtemps, qui ne demande qu’à sortir. Alors faut bien l’avouer, y pense pas deux fois et sort la lame qui dort à sa hanche; posée sur la gorge et d’un tour, glisse contre la peau qui relâche carmin mortel. L’homme tombe d’abord à genoux, mains contre sa plaie qui ne cesse de rejeter. Soudainement face contre bois, peut pas retenir le sourire qui naît, terriblement satisfait. Sait pourtant qu’ils sont plus nombreux, qu’avec un peu d’ordre pourraient représenter une menace; désordre jusque là semble être leur unique dessein. Jusqu’à. Jusqu’à ce que la brutale mort retourne leurs esprits et fait prendre conscience que nombre fait force. Quatre pirates à la lame rouillée— hérisse la guérisseuse, entourent et préparent. Comme un jeu, paraît-il. Sabre à l’horizontale prêt à parer, un deux trois coups. Difficulté pas négligée et Elil se demande si serait pas le moment d’appeler les soeurs chaos.
reading in my mind angel you’re just in time.
Et puis @Edda Nordlys sauveuse, Edda fameuse; arme corrodée entame la chair. oh oh Le coup est net, sabre plein cœur et mort dans l’instant, n’a pas le temps de savourer son méfait. Mais déjà les assauts reprennent, pas le temps d’assister la main aussi rouge que son drapeau. ≪ help ! ≫ seule solution pour terminer carnage.
@"red hand"
résumé:
elle égorge un mec avec une technique trop stylée si vous regardez ici https://www.youtube.com/watch?v=81GhsZPaw5Q à 2:18 sauf que comme notre chère amie edda nous l'a souligné, elle se fait overcrowed et galère!!!! sauf que la demoiselle se fait poignarder avec une lame rouillée pcq faut pas que ça soit si facile, et elil le tue direct et demande de l'aide pcq la plaie va pas être belle!!!
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and we both drew blood but man, those cuts were never equal
some blue darkness, farther than hell;
a landscape of absence and root and stone.
nature : hydre aux mille prunelles. créature pénétrante défouraille illusoire sagesse comme elle perçoit, à l'intérieur, bisque noire et marécages infâmes.
saisons : mortes peaux jetées à la mer, les abysses s'arrachent les maux de sa génèse, saignent les stigmates. miroite une cuirasse diaprée, un corps tendre au cor brut.
myocarde : exuvie du coeur. couleuvre ne se sustente qu'en éphémères cavalcades, ces heurts bâtards.
l'acier chante, et de sa ballade excave saignées adverses, aux râles agoniques dont vengeresses s'ébrouent. rouge perle, rouge tapisse, et sur traits chastes forge masque barbare d'écarlate. opiliones se taillent dans la pyrrhique tragique, griffes et crocs jaillissent de l'opprobre qui les ont souillées et qu'elles traînent dans ces terreurs infligées.
capharnaüm des fers frappe soudainement de sa silencieuse éclaircie, dressant l'hydre au milieu des souffles entrecoupés. interstices d'une lente agonie ceignant la rage en ces coeurs las, pourpre suant vallée des furieuses. où se meurt l'oxygène dans l'étroitesse de la rixe, espoir grimant le schéol d'ombres carmines, résonne l'écholalie d'une promesse d'asile.
sisters, hear my voice sisters, hear my oath as i tie my life to yours, and lend you my strenght when time comes
desseins rugissent dans l'ultime sceau tracé de la hache, fresque de chair éparse. « sisters, hear my voice, hear my pledge! » entre les ruines, adjure derniers fragments de vie. « we are the rightful hands of justice. beyond waters, beyond lands, our name will speak bloody glory for the voiceless. we are the red hands » présage articulé, menace s'amarre à l'aile planant au-dessus de celles dont elle se fait gardienne. « — and we, do, not, yield. »
résumé:
nisha a suivi les autres dans le combat contre les pirates. les minutes de lutte s'écoulent, et elle est subitement traversée d'un immense silence où elle mesure la cale qui se remplit dangereusement, l'épuisement physique et moral qui gagne ses soeurs. elle décide en bonne co-capitaine qui se sent responsable de ces petites âmes de délivrer un discours d'encouragement qui réveille l'esprit de la red, puis se place de sorte à prêter main forte à elil et edda.
------- in the eye of the storm, and the jaw of the beast
aux ardeurs du destin, se fait chasseuse des mesquins, héritière du malin, en sa lame d'un carmin qui se teint des vilains. et la joute des grandeurs, adossée à sa soeur, renforce la vigueur, quand le corps succombe à pesanteur. cuisses encore amochées, se figent à leur apogée, ne faut pas plus de mal pour sentir la faucheuse, et les rires des gredins, fureur des ennemis, éternels revenchards sous les coups incarnadins. et frappe cauchemar d'une fin sans gloire, alors que tonnent l'ire et l'égide. file alors son d'un acier sans froideur, courroux évité par jumelle en renfort, rage entendue dans les palabres d'horreur, abat le grand diable, fait fuir l'ombre funeste, et soutient son élève. d'un regard, remercie, savoure moment, avant d'entendre premier cri. et l'ombre de la mort qui glisse le long des rouges, telle la goutte d'un grenat qui se déverse sur la plaie de la plus jeune.
and the eye becomes red as the killing hand
please, one was enough for a whole eternity.
s'immole alors, tant de colère que de chagrin, face à l'acte et la peur, d'une autre qui tombe, d'une guerrière qui pourrait ne plus être. des larmes qui se dévoilent, forcent la danse des violentes, et la pluie des terreurs sous les coups des erreurs. aux diables qui s'amassent, aux puissantes qui s'écrasent, ne tient que pour les autres, ne se force que pour semblables, une main tendue face à duo, pour garder l'élan de leur duet, tandis que s'épuise sous nuée sans fin de ceux qui ne méritent rien. we won't be able... to hold them... forever... flanche sans sombrer, succombe sans tomber, tandis que se draine de fureur.
that's when she talks, the voice of a leviathan. the pledge of a leader,
the red hand does. not. yield.
jamais. volonté propre des rouges en carnage, des guerrières aux mille ravages, qui ne se plient face aux injustices, ne ploient face aux mécréants, ne peut cependant compter sur chance éternelle, quand perd au jeu des lames et s'écroule dans l'instant, alors que l'enveloppe reine se martèle des souffrances dans la partie basse. damn it ! maudit cette histoire, insulte les moires, ne peut tous les voir, ceux qui portent le noir. i... really need water... et se fait violence face à la démence, enorgueillie par volonté rouge, par discours aux féroces intentions comme vision de la mort impunie, pour continuer, avancer dans l'ombre du voile. jusqu'à celui de trop, celui qu'elle ne peut stopper à temps. celui qu'elle n'arrête qu'en désespoir. celui qui l'entraine dans sa chute. et la met face au danger certain.
but for a red, can burn alive. or die in the blood of the enemies.
en résumé:
sooo. seira fait de son mieux. pour rappel, elle n'est pas entièrement guérie, ses jambes ne la supportent quasiment pas, et c'est seulement grâce à @zehra basheer qu'elle tient debout et peut se battre. et survivre. mais bien vite elle se rend compte que ça ne suffira pas, la douleur est intense. et ce n'est que face à la rage de voir @edda nordlys blessée qu'elle tient, avant d'entendre le discours de @nisha jaswinder. malheureusement, ce n'est pas suffisant, car malgré ses efforts, elle finit par presque tomber (agenouillée). mais elle n'abandonne toujours pas, et quand un ennemi approche de trop, elle ne parvient à s'en libérer, malgré la mort offerte, se fait entrainer dans sa chute et tombe totalement au sol, et se retrouvant ainsi réellement en danger, incapable de se relever.
the amazing red hand (c) code -- vixen [crédit; vocivus]
_____________________ you were the one i wanted most to say, but time could not be kept at bay. the more it goes, the more it's gone, the more it takes away.