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Accueilpour nous soutenir! ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer. soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà... origine v.1 btt; thème     -- retaliation. (( baer )) Salazar Howler  (( kamikaze au degré fou )) faceclaim & © : t, fimmel. (av. mi vida LUX) nature : enfant du mythe, rincé d'œillades dupées. il est séraphin au chevet du rien, vit de psalmodies pour se faire vile marin. saisons : blasphème vivant, à faire mûrir malin au grès de trente neuf fausses décennies. myocarde : l'alléché éperdu, fait linguale pendante, ô babines saliveuses. besogne : ô voiles noires, v'là que gargouille de proue s'aguiche au devant des lames, s'empourpre d'écumes et fait charme hideux sur scène liquide. # Jeu 28 Déc 2023 - 18:07  ÀR VAR ALDA ___ils sont marée gonflante pour se vomir ainsi dans l'antre. âmes errent de leur pesant, s'éparpillent comme canidés après chasse. ils exultent de leur rapine, jadis chahutés d'émois païens. terrier trempé gobe ainsi ses revenants, gamins de tares et d'ecchymoses. mais en traîne, alpha foule les dernières poussières sans quémander reste. méninges s'excitent silencieuses, ô muette cacophonie. v'là que guibolles grimpent jusqu'au cœur, avec l'ire habile d'une faim-augure. car la dextre s'accroche au doloir à l'en faire blanchir phalanges érodées. échine ronde fait lever pelage, peine à le garder bipède; bête se démange, feule dans la foule fantôme. milles spasmes font trembler museau aux babines retroussées; mais sans échos, bête chahute les derniers vivants. l'astre pâlit derrière cotons, gerbe ses albes piques comme une proche implosion; et ainsi lui fait-il caricature, sous son jupon. car mirettes s'affolent pour déceler la mire quand, enfin v'là qu'il se gît sur son horizon. ___mandibules roulent, comme houle traître. haleine se fume en nuée ivoire au gré d'un tambour de battements. puis enfin, collision bouscule les badauds. paluche contre jugulaire, il empoigne ainsi son belluaire; jeté contre milles caissons et leurs échardes, il fauche les dernières lieues. côtes gémissantes font fanfare d'un souffle furibond; car l'ire est ivre, l'ire est givre. la latence fait monstre de pieux, alors que mirettes se l'accaparent avec l'indécent jugement. grogne, animal; que talion ravisse sa faim. — "you plunged your blade in your comrad's heart, without a blink of a dirty eye." faciès se gêne de morgue; bleuets fauves le dévisagent. — "you soaked the floor of his blood instead of our ennemies." rauque s'érode alors qu'il peine à garder échine droite. museau pique un instant contre poitrail, pour se quérir d'un faux répit; car soudain, l'éclat l'agite à nouveau. paume frappe ainsi contre tempe sans crier gare; revers le bouscule lorsqu'ursidé cherche à lui décharner faciès sans laisser trace. hargne s'excite, l'en fait perdre patience. — "do you even realised what you've done, you fool?" susurres interdites, comme réprimandes morbides. ___vagues gémissent contre coque lorsqu'elles se meurent en écumes. — "treason is punished by death. -- de gel, phonèmes s'articulent pourtant douloureuses quand talion se vautre à sa gamelle. but are you ready to die?" rhétorique acide désormais lasse; car tympans vrillent dans la cohue de milles et une émotions.
Baer Roslow  THE RED faceclaim & © : alexander ludwig + lux (ava)  nature : kraken # Mar 2 Jan 2024 - 12:48  ÀR VAR ALDA ------- this will never end 'cause I want more more, give me more, give me more incarnat basilique érupte de l’antre ritournelle, saoul encore du cruor sempiternel. défaites malingres se parent d’énigmes salingues ; trahisons éhontées du frater énamouré et muse ressuscitée sous les traits vipérins d’ennemie embrouillardée. les mâchoires serrées menacent de laisser luire à l’astre mauribond les canines écumantes, bilieuses des mots qui ne sauront exulter des fureurs dissimulées. sur retour des guerriers, planent chimères invisibles et leur liquide ire; coule sur cœur, sur corps, sur rancœur et annihile les instincts de faux martyr. orphelin sans vertu rechigne aux règles sans empire, détruisant sous ses bas instincts les masques sans courage, les pirates sans avenir. les mandibules spirituelles déchiquètent remords, goûtés sans appétits et détruits comme rebuts retords. mais aux ombres des voiles trouées, veille veille capitaine aux fiertés émoussées rabrouant sans émoi les bêtes qui invoquent son trépas à l’encolure écopée, flibustier invoque ses rages et manque d’attaquer ennemi aux ombres jetées. pupilles se fendent dans les abysses cérulescentes, frénétiques sous lyre furie, extatiques dans leurs brûlantes envies. sous procès trompeur, garçon-bête se mue en soldat de plomb, grondant contre libation. "you plunged your blade in your comrad's heart, without a blink of a dirty eye." grogne titan en effarouchant la traîtrise, bondant écume ravage alors que pauvre bougre tente d’écoper naufrage. — "you soaked the floor of his blood instead of our ennemies." grimace transforme masque bestial en celui d’un rustre dérangé puisque phonème final souligne l’ironie de l’immoralité. à l’égaiement éphémère se succède violence folle-à-lier quand maître se joue des inconstances internes et rudoie de ses griffes le flibustier. "do you even realised what you've done, you fool?" hurlement répond à l’évocation des fautes, expie l’avanie en rugissant ses folies. carcasse exulte des déchaînements instinctifs, laisse aliénation grignoter la face du beau monstre. "but are you ready to die?" " i killed a man who stood before me - before y o u - to protect an enemy; an enemy y o u ordered me to murder " grogne l’ignoble lorsqu’enfin, les récriminations cessent. "i don’t kill a comrade – i killed a fucking traitor" moralité sirupeuse laisse miroiter les vestiges d’une genèse bestiale, créatrice d’une âme animale. l’ironie teinte les crocs d’immondice, aux limites de l’insolence supplice. "but yes, next time, i’ll let him gently pierce me with his blade and ridicule us to respect the rules" souligne l’illogisme en répudiant le cœur puisque jamais n'a battu le fallacieux organe. "i’m not his friend – i’m not anybody’s friend – i’m just here and do what I’ve to do" to survive."i don’t kill my comrode ; i killed his weakness and the shame he brought on us – on you" sophisme fou-à-lier continue son périple au cœur des immortelles vallées. "tomorrow he’ll be fine and the bitch would die. but kill me if you want, oh captain ; death is my mother, my wife and my purpose since I was born" mythe sacré coule sur les lippes encore marquées du cruor du pauvre supplicié.
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