the elders

fallonfondalux

salazarfondabengal

reddfondavixen

contact -- pour en connaître davantage sur le staff et savoir qui aborder en cas de doutes ou questions.(( tops-sites ))
pour nous soutenir!
 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
wall of glory

jack
rising star

BTM
nouvelle ère

sigvidh
most valuable player

news -- beyond the myths; étendards hissés, un nouveau vent se lève sur la communauté!
museum of sinners
— won't you come save me, from these red hands and black deeds —
Le deal à ne pas rater :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à -50% (large sélection)
Voir le deal

Nisha Jaswinder
Nisha Jaswinder
hydra
faceclaim & © : anya chalotra, LUX.
some blue darkness, farther than hell;
a landscape of absence and root and stone.

nature : hydre aux mille prunelles. créature pénétrante défouraille illusoire sagesse comme elle perçoit, à l'intérieur, bisque noire et marécages infâmes.
saisons : mortes peaux jetées à la mer, les abysses s'arrachent les maux de sa génèse, saignent les stigmates. miroite une cuirasse diaprée, un corps tendre au cor brut.
myocarde : exuvie du coeur. couleuvre ne se sustente qu'en éphémères cavalcades, ces heurts bâtards.
# Mer 27 Déc 2023 - 16:11

we drink the poison our minds pour for us and wonder why we feel so sick
cendres d'heurts-malheurs exhalait l'encre et le sang. jadis ignition dont les flammes avaient léché l'ombre, illuminé le leurre, avant d'endurer sa brutale extinction. au dénouement, feu crevard avait érigé néant; nul indemne, à peine survivants.

tintements de l'aphélie révèlent les premières écailles de l'hydre, lune riflant la carne pour que suinte l'abject des promesses scellées dans le bois, sculptées dans le silence saumâtre des mois. souffles de sorgue revigorent alentours; chalands dansent aux cahots des eaux, borées rebroussent ces artères mortes, pourlèchent les devantures échauffées — et, dans leurs échos, emportent la fugue. d'amertume rassasiée, spectral animal mire bacchanales ouatées derrière le bois, remuant de vieilles famines, avant qu'entre les pognes cruelles de discorde n'expirent les passions d'antan. à présent, l'hiver court le long de la couleuvre, du frimas enrobe les tendresses parjures, les mortelles manies. longtemps l'hiver, sous la peau, grave son oeuvre et érige son empire.

impatience burine, pulse contre d'anciennes ténèbres, éternelles parures du reptile reniflant un parfum lointain et infusé de fiel — aux arômes de l'ire originelle. de longues griffes étreignent le manche d'une vigilance affûtée répercutant les indiscrets reflets d'une flamme mourante. surin rougeoie aux clameurs du plancher, bestialité annoncée par le martèlement de la botte par-delà mansarde. prodrome de la ruine se distille dans les premières lueurs de l'embrasure, spectre d'airain fauche, rencontre saillies rocheuses de némésis. « have you come alone? » en appel à l'allégeance crevarde que ces rixes lascives avaient intimée à la fuite. flegme rudoie artéfact d'épicure en chastes sommations, et pattes imperceptibles dérobent artillerie suspendue entre dépouilles, semant l'acier des vindictes dans l'obscurité. ses âpres pupilles musardent parmi les songes marins, au gré de flots rageurs qui bercent soudainement la bête de lucidité. enfin, la rudesse des ondes dispersent les monstres, l'hydre se coule lentement dans l'ombre. « my apologies for the trouble, a lady can't be too careful these days » feintes étiolées au détour d'une sarabande, marasme belliqueux ôte voile d'infamie dont ses côtes portent encore les stries. « i must say i am surprised you came ».
@baer roslow
[crédit; lux]
Nisha Jaswinder
Baer Roslow
Baer Roslow
THE RED
faceclaim & © : alexander ludwig + lux (ava)
a feast for crows — baer 2ry4
nature : kraken
# Ven 29 Déc 2023 - 11:25

we drink the poison our minds pour for us and wonder why we feel so sick
aux aurores algides, se peignent faisceaux pourpres et garances, féroces prophéties des soleils rances. gourd ursidé observe sur les voiles trouées les duperies ombrées, s’éprend des éclats fuligineux, cloches fêlées des forbans enfin libérés. océan maudit recrache ses monstrueux petits, les appétits ivres de chairs et de lubricité, rut canaille déchaîné comme méphistophélès sans pitié.

mais dans l’ardeur des charnelles retrouvailles
peste, fureur, écaille
dessinent le portrait de dame au cœur ferraille


révélation ekleipsis avait succédé aux semaines centenaires, effrayant obnubilation fauvesque pour trahisons d’airains ; brisées,  brimées par un regard lupin. ganache gargouille avait esquissé l’intensité des fuseaux muets, des litanies stridentes aux traits de la chimère iridescente. sonne sonne enfin le glas des retrouvailles acerbes ; la joute des nemesis érotiques, libérés du joug des silences électriques.

aux bois mauvais de la chambre d’amour
flotte dans l’air passion des mauvais jours

guerrier despote gagne nichée tiède lorsque silhouette vipérine assaille les sens en éveil. épiderme vacille entre lutte et sommeil, piégé entre sentiment vermeil ou haine merveille devant muse au cœur duel. masque binaire apparaît sous baiser lunaire, toisant guerrière à la froideur des sept mers. « have you come alone? » laisse s’approcher l’effrontée, laisse dérober lames effilées sans jamais ne quitter l’île de ses yeux noirs. mais à la question posée, défense instinctive amorce le jeu des trompés : « are you afraid of me now, nisha ? » courbes s’échappent avant que dextre ne puisse s’emparer de joliesse, laissant monstrueuse se dissimuler dans les affres de la nuit. « a lady… » reprend l’horrible, un rictus animant lippe fendue. dans l’ironie, nectar s’écoule et tapisse la scène d’une langueur poisseuse. grogne colère de l’amant abuseur, abusé. « don’t treat me like a fool. we both know you’re as delicate as I am » bête se repaît de vérité puisque tous les masques sont prêts à brûler. « i must say i am surprised you came » fausse désinvolture mène grand guerrier s’abreuver de picrate, versant à la dérobée une deuxième lampée pour amazone alertée. « i’m surprised you called » phonèmes glaçures en étendard se gaussent des beautés adverses. « why ? » pourquoi respirer les draps d’un néfaste quand tes yeux saignent encore des crimes iconoclastes ? d’un regard canin, terrible bête propose au cœur sauvage de se repaître jusqu’à la lie la coupe de ses ignominies. « let us drink to this : new enemies, old lovers ? both maybe, my love » mais amertume jamais ne se consume dans le coeur du grand guerrier diurne : « liars, yet, always. »
 @Nisha Jaswinder  
[crédit; lux
Baer Roslow
Nisha Jaswinder
Nisha Jaswinder
hydra
faceclaim & © : anya chalotra, LUX.
some blue darkness, farther than hell;
a landscape of absence and root and stone.

nature : hydre aux mille prunelles. créature pénétrante défouraille illusoire sagesse comme elle perçoit, à l'intérieur, bisque noire et marécages infâmes.
saisons : mortes peaux jetées à la mer, les abysses s'arrachent les maux de sa génèse, saignent les stigmates. miroite une cuirasse diaprée, un corps tendre au cor brut.
myocarde : exuvie du coeur. couleuvre ne se sustente qu'en éphémères cavalcades, ces heurts bâtards.
# Mar 5 Mar 2024 - 23:36

we drink the poison our minds pour for us and wonder why we feel so sick

cliquetis d’ossatures voraces percutent parois asséchées, vallée des âmes tranchée par coulée traître sirotant la sève des épris. aux mille-et-un visages abattus dans l’interstice furieuse, démiurge somme ses vaincus. « i have always been wary of you. whoever you might have been » liqueur et saison colorent souffles échangés, épis de jais raflant l’espérance d’écaillures en sursis au-dessus de parjure. à ces finitudes immergées dans la feinte, couleuvre s’arrache, langueur lâche et sur les draps éparse.

tandis que facéties innocentes forent l’orage dans les gorges du géant, risette muette cueille l’esbroufe et la réalité  — corps à cœur à armes égales font de caresses fatales expiations. aspic ondoie néanmoins, le bois crépitant sous son talon inquisiteur et le ruissellement du breuvage, contemplant genèse damnée dispersée dans l’accalmie. au moratoire du désordre, l’œil continue pourtant sa fouille pour nasses hasardées. en ces lieux saints qu'abysses guettent pour en oblitérer l'égarement, profane jette l'ancre dans océan adverse remuant l'énigme et son néant. « why? » pille cautèle, et reptile coule vers godet, raison brimant tumulte. « know thy enemy and know yourself ; in a hundred battles, you will never be defeated* » mais de mascarades zélées et secrets timorés, le marasme né des réalités amalgamées. alors l'hydre oubliée dans le lagon ingère indifféremment le répit et le poison, et dans l'ombre tentaculaire file. fracas tu dans l'encerclement de vile. « is that all there is in this world of yours, baer? war. lust. trickery » délicatement paume heurte colonne du colosse, non loin des symphonies marines retentissantes ayant échappées aux callosités de l'amer, et dont les remous rapportent néanmoins l'originelle sentence. « pity » dédain en venin instillé dans palabre galvaude relents miséricordieux, patents toutefois, de l'amante abritée dans son contraire.

« when i was away i learned about you — or should i say about the Red » paillasse crépite aux ténèbres délitées, légende meurtrie par solennité d'une conteuse au souffle étranger « on how death paved his path... cruel ones, almost morbid, from what i've been said. some even said he was a starving man that could only bear the taste of life because of how much he had to fight for his » âme plongée dans une flamme serine l'hideur voilée, dans chaque baiser omise, à chaque rencontre incisive et aux échos terribles enfoncés sous la peau. « but all agreed on one thing; about blood being the only thing that could ever touch his skin, so monstrous was he » à l'appel, la flamme danse et mire du serpent se dresse vers le chant sinistre du déluge.

@baer roslow
[crédit; lux, *sun tzu]
Nisha Jaswinder
Baer Roslow
Baer Roslow
THE RED
faceclaim & © : alexander ludwig + lux (ava)
a feast for crows — baer 2ry4
nature : kraken
# Ven 19 Avr 2024 - 10:13

we drink the poison our minds pour for us and wonder why we feel so sick
observe vipérine comme funeste galantine, majestueuse assassine ondoie sous les regrets rois. essence déliquescente assiège les sens du monstre acculé, observateur du pêché personnifié. « i have always been wary of you. whoever you might have been » à l’aveu acerbe, badigoinces s’étirent en grimace diablesse ; car au fol amour jamais ne survivent les matinales ivresses. chairs s’irisent, de peur ou de désir ; violence s’étire, de démence ou de plaisir ; mais toujours règne en empire la force de ceux qui vainquent et respirent.

à question sincère, lèvres pleines enfantent mystère. jeu des songes rongent les fragiles certitudes comme l’iode attaque la chair, transformant sylphide éphémère en sage guerrière. pourtant, bestiole se laisse mirer, présentant son dos aux danses voluptés ; peut-être, ce soir, n’a-t-il pas envie de saigner l’âme de celles qui sait si bien, à son cœur, chanter. « is that all there is in this world of yours, baer? war. lust. trickery » sourire grandit encore, sous les accents de ses mauvais sorts. la caricature s’oblige à ressemblance mais dément les atrocités d’un passé qui jamais ne s’ignore. « pity » grognement indescriptible conclue harangue alors qu’enfin, regard ubuesque rencontre serpentine ; cabot enragé aux prises de l’ignoble lupine.

portrait macabre flotte dans l’air, enchanté par la mélodie des hurlements passés, des mises à morts, des massacres orchestrés. trogne ne bouge pas sous le récit, le rouge bercé par les douces avanies. in your mouth, it’s even sweeter. « …and this beautiful pirate’s duty is to kill people like me, right? » face-à-face impose duel des carnes, aux miroirs de leur hargne. visage interroge, vicieux sous l’horreur, creusant gemmes de sa rancœur.  « should i be worried ? are your women hiding behind the door, waiting for the signal to capture the monster ? » s’avance terrible en frôlant le contact, caressant sans y toucher les courbes de l’amazone aux aguets : « or maybe you didn’t have the strength to tell them about your intimacy with him? » respect amorce recul, permettant le recul d’un sophisme outrageant : « death is my mother, nisha ; she’ll take good care of me until the day she takes back her gifts » boisson aux babines n’empêche regard de sonder regard, brillant d’astres sincères. « the only difference between you and me is that you think you’re following a cause, doing justice. justice. like a goddess, mmh? beautiful and merciless as her » ironie ne se fend pas de moquerie mais apprécie grandeur des déités, pauvres furies perdues dans les affres des vices de l’humanité. « legends about red hand are also controversial, i can assure you. »

Here we stand, sharing a jug,
With disgust, rage, and desire, we tug.
Here we stand, united yet apart,
What will you do with your enmity's dart?

« you slept with a monster, woman. and so am i »
 @Nisha Jaswinder  
[crédit; lux
Baer Roslow
Nisha Jaswinder
Nisha Jaswinder
hydra
faceclaim & © : anya chalotra, LUX.
some blue darkness, farther than hell;
a landscape of absence and root and stone.

nature : hydre aux mille prunelles. créature pénétrante défouraille illusoire sagesse comme elle perçoit, à l'intérieur, bisque noire et marécages infâmes.
saisons : mortes peaux jetées à la mer, les abysses s'arrachent les maux de sa génèse, saignent les stigmates. miroite une cuirasse diaprée, un corps tendre au cor brut.
myocarde : exuvie du coeur. couleuvre ne se sustente qu'en éphémères cavalcades, ces heurts bâtards.
# Mer 8 Mai 2024 - 18:05

we drink the poison our minds pour for us and wonder why we feel so sick

rien ne pénètre où le vice est devenu peau. conteuse décharne, sanguinolent effeuillage, ces cacophoniques exactions, oxydées, d'un noir qui ne filtre plus que mortel désir du sicaire. salutaire, sans lumière, tissé par les dieux du néant. et vipère se blesse aux salves d'un mystère inexistant, ses marécages brassés aux sinistres ondulations de l'océan, sel immisçant écaillures et qui, en ricochets, somme le jugement. « …and this beautiful pirate’s duty is to kill people like me, right? » sifflements obturés à la cruauté du réel faisant naître, d'une côte brutalement arrachée, l'homme et la bête. crudité blasphème en territoire des feintes assène tant de fois encore; que muse des ruses, imperceptible, tangue doucement au son du cor. imminente collision à la surface n'osant, sur sa peau, une dernière fois encore, s'abattre. « or maybe you didn’t have the strength to tell them about your intimacy with him? » ébènes épousent le plancher et la honte en rage silencieuse, l'injure plongée comme dague dans les fonds du corps. fuite écartèle, abandonne, l'océan chasse, et terribles destinées suppurent la gangrène d'âmes-contraires.

« death is my mother, nisha ; she’ll take good care of me until the day she takes back her gifts » paupières se dressent vers l'abnégation, force devote des gouffres marins, vestiges de rien. et l'aspic devine, curare bouillant sous la mue aux fléaux conjurés, mais se tait; sans remède au pacte scellé, à la promesse du glas. et l'échine serpente vers toile sélénite déversant une souffle froid, ténèbres bordant l'impie se font échos de la diatribe. songe reluit d'ailes ébréchées par le feu, colmatées à l'onguent du zèle. « we try — and sometimes we fail. but each day we rise to maintain the balance of this world; there is no easy path to what we’re trying to achieve, no glory in the violence we have to summon. it’d be much easier to give in to death and walk in her shadow until she gets tired of us, tired of it all. but we’ve to measure, to weigh, to question. because we can't no longer wait for the gods to play our fate » convictions acharnées cèdent à l'éther impassible, indifférent. vipère opine vers cérulées tyranniques, regrets impénétrables. « i guess some of us keep on fighting while the others lie in the illusion of it ».

« you slept with a monster, woman. and so am i »

i've heard it all before;
hearts turning to decay
the scent of tainted tenderness

(( the snake's punishment ))


mire chancèle à la litanie assassine, mais nul n'abdique aux funestes murmures suintant des rainures. « you yielded to death, then you fed on rot and carrion until it became all you craved for » hydre affleure, prolonge coulée azurine inlassablement parcourue. « you sought for it in each of your step, and even created your own trail of blood » réalisation contrariée fustige, sème relents affamés en conspiration divine « and somehow, you found me: the illicit lover » ocres enlisent, épuisent les eaux, drainent à la lie ces lignes alanguies « — and the monster » vigne et rancoeur grime l'haleine, résignation se greffe aux lippes d'un faible rictus. souffle dilacère où le susurre tombe contre cuirasse du guerrier « you wish to know which one is here with you, and since i'm not a complete beast i leave it up to you, for tonight at least » encore s'amarre à ces récifs incisifs, en spectre latent à l'oeil pur « who do you want me to be, baer? ».

du néant qui ravage,
ou de celui qui les fait taire.
@baer roslow
[crédit; lux]
Nisha Jaswinder
Contenu sponsorisé
#
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 1

Sauter vers: