the elders

fallonfondalux

salazarfondabengal

reddfondavixen

contact -- pour en connaître davantage sur le staff et savoir qui aborder en cas de doutes ou questions.(( tops-sites ))
pour nous soutenir!
 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
wall of glory

jack
rising star

BTM
nouvelle ère

sigvidh
most valuable player

news -- beyond the myths; étendards hissés, un nouveau vent se lève sur la communauté!
museum of sinners
— won't you come save me, from these red hands and black deeds —
-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal

Ivar Chernobog
Ivar Chernobog
a study in sinking
faceclaim & © : a. skarsgard + MCVIII (av) ; c. lispector.
I'm alive.
Like a wound,

nature : colosse trop grand vorace de procès, connu sous le patronyme de Volkov, nouvellement fané par une odieuse faim ; aujourd'hui le voit furie.
saisons : cinquante-et-un hivers, figés dans des glaces qui ne verront plus aucun printemps.
besogne : fier capitaine de la plus belle comète, préside derrière la barre du supernova, arraché aux pognes sales d'un pater indigne.
errance : entre l'île de loi et l'océan roi.
# Sam 18 Nov 2023 - 0:09

we are the same and,
what are we made of but hunger and rage?
wild tongue
Après-midi blanche, traînante. Un soleil laiteux suinte son marasme dans l'air pâle ; ils n'ont pas l'habitude de la voir ainsi, de jour, l'île blanche. Ils sont habitué à son boucan, à son raffut. À ses nuits-fièvre. Sont dérangés par son silence.

L'air est lourd, et quelque chose attend.

Peut-être un orage, peut-être un carnage.


En bordure d'une plage austère, entre deux dunes au sable rêche, une étrange bâtisse au bois noirâtre étend son empire. Ni blase ni enseigne à sa façade rongée de sel ; elle laisse à d'autres le privilège d'avoir un nom. On colporte qu'elle vagabonde quand souffle le noroît, un jour ici, un autre là. Immense, ou minuscule (selon le corniaud qui la mire), sa panse est pleine de creux et de recoins, percée de petites enclaves discrètes, où viennent s'échouer les soiffards qui ne peuvent attendre la brune pour téter le tord-boyaux de ses mamelles.

Un lieu où personne ne connaît personne, et où les gueules n'ont pas de nom.

Dans ses tréfonds, dans le plus noir des renfoncements, cinq carcasses sont serrées autour d'une table, encore poisseuse des rapines de la veille. Quatre de la Navy, en frusques discrètes. Un intrus, seul à boire, qui lorgne son godet presque vide. D'un coup de pogne pelée, il fait tourner un fond de liquide jaunâtre, attendant peut-être une fulgurance divinatoire. « Can ya get me 'nother drink ? », qu'il baragouine dans sa barbe sale. À l'évidence, il lui faut plus de fluide pour tirer ses augures – et à Ivar, vers qui le diable pousse son canon, d'aller le resservir. Gradé qui mastique son impatience, attendant que vienne sa récompense. Deux heures que la vermine leur tient la jambe. Deux heures qu'ils se raidissent le cul, à espérer que le butor se mette à table. Deux heures qu'il liche leurs solarions, pour une poignée de ragots qu'ils auraient pu tirer de n'importe quel pécore. Sycophante roi, qui force leur foi. Alors le capitaine repousse sa chaise, fauche le verre souillé d'un geste sec, et, avec, entre les dents, cent damnations stridentes, se dirige vers le zinc au centre du bouge. Il espère y glaner sa pinte promptement, se jurant que c'est bien le dernier verre qu'on lui verra servi.

Mais, la virago au service n'est pas en poste – probablement occupée ailleurs, à biberonner l'ivrognerie de quel qu’autre pochtron. Alors, dans la caboche, renfle aussitôt la rogne vicieuse – grain blanc, laiteux, furieux. Nulle patience, nulle décence ; et, venant innocemment le trouver, c'est un de ses acolytes qui en fait les frais.

what ! que siffle le capitaine muflard,

WHAT ! qui claque sur le dos du guignard.

Abandon mauvais aussitôt regretté. Les hommes ont vite reniflé son nouveau caractère, et se mettent à l'éviter, parfois, (souvent) quand ses humeurs deviennent trop mordantes. Chien malade parmi la meute étoilée. Et reprendre contenance, au moins pour les apparences. Une main lasse vient s'abîmer dans sa tignasse délavée, tandis que sa sœur fait signe au subalterne de déballer. « I – just wanted to say I'm sorry captain, didn't think that –  », litanie d'excuse meurt entre les lèvres mordues, interrompue par l'arrivée d'une tenancière aux esgourdes inquisitrices (qui, indéniablement, a su choisir son moment). « Well – we'll get to the bottom of that later. » Promesses d'orage qui raidissent l'échine du messager ; quelqu'un va prendre, et il le sait. Alors il n'en demande pas plus, et tourne les talons pour retourner à leur infortune. La tôlière l'observe partir, avant de tirer le verre des pognes du furieux. « The same ? » Ivar opine, elle remplit. Un ongle s'écrase sur la crasse du bar, y danse pour tracer d'indicibles icônes, tandis qu'il se creuse le crâne, cherchant ce qu'il va bien pouvoir truquer avec leur mouchard muet. Rien.

Rien ne vient.

Rien.

Rien qu'une envie de mâcher du vaurien.

@Fallon Lindström
[crédit; a. carson; p. koublis]

_____________________

wild tongue. (fallon) Quhn
Ivar Chernobog
Fallon Chernobog
Fallon Chernobog
—   s t o r m y   b l a c k   s e a s   —
faceclaim & © : k. winnick; corvidae


P O W E R

when you move
you make my oceans
move too


nature : humaine mal-née devient furie(use) damnée; sort atroce l'en fait alors buveuse de cruor.
saisons : cavalcade file à belle allure, mais beauté jamais ne se fade; car chronos ne donne aux os que l'usure d'exister.
myocarde : avant-coeur aux mille saveurs; pourtant n'aime que terreur qu'elle sème, à en oublier les liés d'un autre temps.
besogne : reine paladine au plastron océan, cruelle dame est chasseresse des mauvaises âmes; a sévit sur mille vies déjà — jamais assouvie.
errance : à souveraineté de l'ondine (a)dorée; comme à sainteté de la terre militaire.
# Mar 21 Nov 2023 - 12:00


W I L D   T O N G UE
Just like the seed I'm chasing the water -- @aurora
___synapses écumées, malade mal-aimée; boussole s’affole, justice n’est plus que vice. spirale ventrale, entortille entrailles et les étrangle sans pitié; fait taire la belle chorale pour un chant de silence violent. elle n’est plus que symbole d’inimitié, hyperbole absurde d’une morale devenue bancale. elle est furieuse ce soir, a brisé l’espoir à l’échine. elle est ténébreuse ce soir, n’a plus rien de la blanche léonine.

___c’est la rage aux dents et au dedans que foutue se présente à l’orée d’un nouveau plancher. scène qu’elle rend déjà malsaine quand regard vagabonde ci et là pour trouver nouveau mâl(e) à tuer. thémis sans plus d’amour n’a que malice dans l’usure de ses azurs, tandis qu’elle foule bientôt le théâtre des autres idolâtres. dyonisos se ferait de vieux os ici, tant les ivrognes s’affairent à s’embourber la trogne. et dans sa quête mauvaise, impitoyable se sent à son aise; roule ses bottes jusqu’au comptoir pour s’échoir. « what’s your poison tonight woman? » apostrophe l’agrippe au regard, pour s’y perdre dans son noir. « sadly i start to think that you don’t have what i need. » rocailleuses ténébreuses; impatience a ce goût d’essence, comme en quête d’étincelle.
___l’oeillade se perd involontaire à la noyade des masses de chair, tandis qu’elle gobe l’éther pour le souffler en feu. dragonne a le gosier en cendre, vestige d’un talion à l’odeur du passé — qui pourtant réclame encore des trépassés. c’est le désespoir qui ordonne au talon de faire sillage inverse, quand soudain quidam se déverse dans une bousculade fatale. houblon se mêle au cuir, puis cuir se mêle à la chair. serré à la jugulaire, ses godasses planent dans l’air. la veine réclame alors la veine, l’or rouge trésor de ses nuits. mais la vision d’un inconnu fraternel la frappe assez pour relâcher pauvre épargné. fucking crazy bitch — entendu des autres, tandis que dans ses pensées elle se vautre. him. au nom de capitaine, sifflé par un destin-putain. hémoglobine impulse, babines se révulsent; il est ce qu’elle trouve de plus laid, la défaite qui toujours l’entête.

______il est elle, du temps où elle se plut.
______il est elle, quand pourtant elle n’est plus.


___prédatrice de velours, approche de son voeu de toujours; bouche en amour, perfide sous belle ride. « gentlemen. » rugit en lettres latines, celle qui gît dans sa haine sibylline. car s’il porte le nom de son offense, la pauvre n’en saisit plus le sens. n’a que goût à la violence. « sorry but did i just recognize the great volkov, hero of the deep blue sea — and as i overheard, one of the august captains of the navy? » crescendo a faim de chaos, car l’identité révélée réveille les consciences étalées. malgré l’ivresse, facies se redressent; osent toiser de regards en biais, quand le sien se fait rigide à en percer l’égide de ses cieux. tonight, you gonna pay for what they did. tonight, you gonna die for what i did.
(c) code -- vixen, icon -- madeyesaes
@ivar chernobog

_____________________
wild tongue. (fallon) 5jtb
in your sword
still beats a heart
Fallon Chernobog
Ivar Chernobog
Ivar Chernobog
a study in sinking
faceclaim & © : a. skarsgard + MCVIII (av) ; c. lispector.
I'm alive.
Like a wound,

nature : colosse trop grand vorace de procès, connu sous le patronyme de Volkov, nouvellement fané par une odieuse faim ; aujourd'hui le voit furie.
saisons : cinquante-et-un hivers, figés dans des glaces qui ne verront plus aucun printemps.
besogne : fier capitaine de la plus belle comète, préside derrière la barre du supernova, arraché aux pognes sales d'un pater indigne.
errance : entre l'île de loi et l'océan roi.
# Ven 22 Déc 2023 - 16:45

we are the same and,
what are we made of but hunger and rage?
wild tongue
À la tenancière sont liquidés quelques demi-solarions, et à l'orageux est troqué le dû spumeux. Encore fourvoyé dans ses cabales, l'esprit lanterne et rate le vaudeville qui se joue à quelques pas ; il ne l'a pas vu rentrer, il ne l'a pas vu rôder. À peine saisit-il des échos lointains, dévidant torgnoles et insanités sur une poignée d'effrontés ; rixe de pochards qui n’intéresse que les ignares. Peut-être aurait-il pu flairer son ire, si ses naseaux n'étaient pas déjà si pleins de la sienne. Alors ça l'saisit quand léonide feule sur lui. C'est bock dans les paluches que les salutations de la frangine le fauchent ; air misère, défi foutraque envoyé à l'éther. Phonèmes plus profonds que dans ses remembrances – rogomme rauque tiré des tréfonds et, dans la gorge, comme un goût de goudron.

Et pourtant.

Nul besoin de lorgner la face pour savoir qui crache,  

aussitôt sont oubliés mission et félon,

car des inflexions familières dont il connaît toutes les rudesses singulières, surgit

la presque gémellité abhorrée jalousée

(adorée).

Voilà le bâtard presque hilare de la retrouver ici, aujourd'hui ; c'est qu'il l'a cherché, la tourne casaque. Alors qu'elle était fraîchement parjurée, il a pris la mer à la poursuite d'une dernière chimère, expectance malade renflant un myocarde fatigué d'espoirs déçus. Ce qu'il se figurait en tentant de la débusquer, même les tréfonds de sa caboche seraient bien incapable de l'exprimer – fatum foutraque s'est, de toute façon, chargé de lui épargner cette plaie ; sur sa piste, il n'a rien trouvé qu'un peu d'écume ensanglantée. Tous crevés qu'il s'est dit, et lui qui porte un secret qui n'appartient plus qu'aux macchabées. Alors à quoi bon. Il y a des années peut-être, la verve barbelée l'aurait laissé froid, ou plutôt – l'aurait ravigoter. Après tout, c'est ainsi qu'ils se sont toujours épanché, à grands coups d'estocs, de beignes et de sanglades. Mais dix ans d’absence, ça vous change. Non – dix ans d'absence, ça se fête, ça se déguste. Un putain de banquet. Dix ans à équarrir ses souvenirs, à réchauffer ses possibles, à remâcher ses presque, ses peut-êtres, entre le pater, les sœurs et les Enfers. On ne lui a rien donné, on ne lui a rien offert. Alors c'est rogne bileuse pendue aux babines qu'il croise enfin le fer des céruléennes outrancières.

« Himself.  », qu'il ouvre pour toute salutation. Faraud s'étale l'échine contre le zinc, coudes nonchalants, prenant des airs indolents alors que furie lui perce mille fois le palpitant. « And if my eyes are not mistaken, here comes a lost Lindström ? What has become of her ?  » puis déroule fumante rhétorique, sans lui laisser placer quelque réplique. « No. Let me guess – sardine or crab fisher  ? Or perhaps – with that crude outfit of yours, the clam you're selling doesn't come from the sea ?  » Au son du lubrique, quelques mâles attablés tendent une ouïe, osent se gausser discrètement – en vérité, l'attaque est petite, et le diable se figure, non sait, qu'il en faut bien plus pour la toucher. Fièvre hargneuse bâfre alors ce qu'il reste de prudence, se jette dans la danse, affamée de talion, le pousse vers un outrage plus furibond, lueur folle bouffant sa vision. « Ah, but look at me, all happy to see ya. Where are my manners ? Truth is, you've been missed, Lindström... 'Never had a chance to thank you for losing with such grace. After all, it's thanks to your quick departure that my rise through the ranks went so well. Although – I have to admit, the Supernova isn't quite the same without you.  » Et rictus cruel s'étale alors qu'il balance, au milieu de ses stupides quolibets, le sacro-saint patronyme de l'héritage escamoté.
@Fallon Lindström
[crédit; a. carson; p. koublis]

_____________________

wild tongue. (fallon) Quhn
Ivar Chernobog
Fallon Chernobog
Fallon Chernobog
—   s t o r m y   b l a c k   s e a s   —
faceclaim & © : k. winnick; corvidae


P O W E R

when you move
you make my oceans
move too


nature : humaine mal-née devient furie(use) damnée; sort atroce l'en fait alors buveuse de cruor.
saisons : cavalcade file à belle allure, mais beauté jamais ne se fade; car chronos ne donne aux os que l'usure d'exister.
myocarde : avant-coeur aux mille saveurs; pourtant n'aime que terreur qu'elle sème, à en oublier les liés d'un autre temps.
besogne : reine paladine au plastron océan, cruelle dame est chasseresse des mauvaises âmes; a sévit sur mille vies déjà — jamais assouvie.
errance : à souveraineté de l'ondine (a)dorée; comme à sainteté de la terre militaire.
# Mar 23 Jan 2024 - 14:37


W I L D   T O N G UE
Just like the seed I'm chasing the water -- @aurora
___à la capitale de son âme, étendard rouge toise depuis son bâton de lame; aux nuances de la veine, citadelle autrefois si belle n’est plus que vestige de ses litiges. furie a damné la bien-née, s’est faite fléau de ses os. maladie de ses eaux. elle n’est plus que chimère du rêve volé, a perdu chaumière et ses ailes aux grandes envolées. espoir n’a plus son visage — mais celui du frère étranger, du fier dérangé.  

______they stole what was mine;
______my path, my wishes,
______my dreams and my design…


___« with that crude outfit of yours, the clam you're selling doesn't come from the sea ? » crâne fulmine de crasses carmines et gosier baigne d’essence; veut cracher feu sur grossière aisance. il est malin, vile mâle; fait bouillir la bile, la rend presque animale — belle rétive, fauve aux mille incisives. grogne en lune, s’amuse d’infortune. s’use sous la rancune. c’est plancher qui s’ouvre sur géhenne répressive, et la haine sourit sur face miroir. « i have to admit, the supernova isn't quite the same without you. » dernier assaut, fait sauter rictus et animer statue de sel. d’un mouvement d’éclanche, boutanche trouve les serres avant de soudain se briser en mille verres sur moqueur. rats aux rires gras subissent châtiment divin; l’un s’écrase sur bois, tandis que l’autre le teinte bientôt de vermeil quand brisure trouve carotide et la vide. trop de torts, pour trop peu de morts. car du sang gorgone réclame son péage d’or; celui de l'offenseur-voleur. « oh i sell death honey, from the sea and everywhere else. » sauvage aux notes de rages, saupoudrées de folie qui la lie à décade furie. patience qui a été, devient met pour l’éternité; rongée jusqu’à l’os, il n’en reste rien d’autre que moelle putride. mais savoure guerrière ses terribles enfers, car dans le crime elle exalte son lucifer; celui qui ravive l’artère — quémande le sang des siens. « now come and show me what you got, captain — for it’s time to pay the one you dared to call whore. » palabres mauvaises, tandis que verre se mêle à la terre; bouteille rejoint cadavres alors que main invite le frère de demain, que linguale goûte vermeil de fer sur lippes de vipère; comme jouvence éternelle, qui teinte iris de justice. show me you’re worth the enemy i see in you. mais jamais ne se doute, ainée aux ombres puinées : qu’il n’est pas voleur, mais volé. qu’il est le prix, et non celui qui lui aura tout pris. mais quand regard croise son bleu-noir, elle jurerait pourtant…

______… this path, those wishes,
______dreams and this design,
______answers all to the name of



supernova______
i v a r______

(c) code -- vixen, icon -- madeyesaes
@ivar chernobog

_____________________
wild tongue. (fallon) 5jtb
in your sword
still beats a heart
Fallon Chernobog
Ivar Chernobog
Ivar Chernobog
a study in sinking
faceclaim & © : a. skarsgard + MCVIII (av) ; c. lispector.
I'm alive.
Like a wound,

nature : colosse trop grand vorace de procès, connu sous le patronyme de Volkov, nouvellement fané par une odieuse faim ; aujourd'hui le voit furie.
saisons : cinquante-et-un hivers, figés dans des glaces qui ne verront plus aucun printemps.
besogne : fier capitaine de la plus belle comète, préside derrière la barre du supernova, arraché aux pognes sales d'un pater indigne.
errance : entre l'île de loi et l'océan roi.
# Dim 11 Fév 2024 - 12:22

we are the same and,
what are we made of but hunger and rage?
wild tongue
Et furie déchaîne les furieux, alors qu'elle se bâfre sous ses yeux. Carmin gicle, éclabousse la tablée, grimpe dans les naseaux de l'indompté. Verve au parfum de fiel n'a servi qu'à agiter la bête, et voilà le prix de ceux qui en rient ; l' a g o n i e ! Vivant quand elle lui tranche l'artère, c'est charogne qui s'éclate devant le parterre. Cruor se répand, et charrie dans son puant sillage une agitation malsaine ; gargote lymphatique se trouve soudain l'échine secouée, gorge tremblante alors qu'une même convulsion panique agite les pochards, et la voilà qui, badigoinces souillées, dégorge sa lie de pendards dans le noir.

Aux lippes de l'officier outrancier, nul rictus malade n'est plus à trouver. Laissé à contempler le fruit de ses singeries, la nonchalance s'est vu phagocytée quand la cervelle a compris (trop tard !) toute la portée du geste bâtard. Oh, oubliée l'indolence, oubliée l'indécence ! Ne vagit plus que folie, celle-la même qu'il voit convulser dans les prunelles honnies, rouges comme un vieux mythe, rouges comme l'implicite qui éclate en encéphalite. It can't be ? Et puis l'instant passe ; foutaises inutiles, jeu de lumières imbéciles. Les billes délavées se ferment aux échos passés, concentrées sur un futur précipité. Fer dénudé, carcasse en avant, sabre soif de sang. Oh, diablesse aura sa ferraille en paiement. Mais – elle s'efface au dernier instant, laisse la lame conquérante cueillir une gorge offerte qui, enfouie derrière les cannés, se redresse au mauvais moment. Acier emporté bouffe la chair, ouvre le gosier, fait chavirer la caboche, et répand son immonde ichor, manquant de quelques pouces la décapitation. Sycophante chien, rencontre enfin sa f i n. Crève avec une gueule surprise, trogne stupide qui roule sur le torse veule, et vient s'effondrer sur sa pinte damnée. Cinabre s'accouple au spumeux, et voilà que naît marée sanglante trempant les raies de la tablée malmenée. Sans s'émouvoir du coup manqué, le diable extirpe sans attendre l'acier du bois balafré, finalement satisfait du malheur de son erreur, et se dresse de nouveau face à la belliqueuse, lame poissant le parquet de son jus délétère. Colosse à la carne empestée d'une adrénaline-poison, qui roule et inonde les veines de son divin abandon. Oh, nul anathème ne lui vient plus aux lippes, nul brandon, nulle malédiction. Tout s'emmêle dans le myocarde tempête ; inferno renfle ses milles maux et rogne tout ce qu'il lui reste de mots. Il n'y a plus qu'Elle, reflet malade de ce qu'il aurait dû avoir ; ménechme pandémoniaque qu'il ne supporte de voir, géhenne infamie qui lui rappelle sans cesse l'immonde a b a n d o n,

ELLE à qui l'on a donné le blason, la maison, l'h o r i z o n,

et lui qui n'a eu que leurs

d é m o n s.

Il n'attend aucun signe cette fois, lorsqu'il se jette vers sa croix.

@Fallon Chernobog
[crédit; a. carson; p. koublis]

_____________________

wild tongue. (fallon) Quhn
Ivar Chernobog
Fallon Chernobog
Fallon Chernobog
—   s t o r m y   b l a c k   s e a s   —
faceclaim & © : k. winnick; corvidae


P O W E R

when you move
you make my oceans
move too


nature : humaine mal-née devient furie(use) damnée; sort atroce l'en fait alors buveuse de cruor.
saisons : cavalcade file à belle allure, mais beauté jamais ne se fade; car chronos ne donne aux os que l'usure d'exister.
myocarde : avant-coeur aux mille saveurs; pourtant n'aime que terreur qu'elle sème, à en oublier les liés d'un autre temps.
besogne : reine paladine au plastron océan, cruelle dame est chasseresse des mauvaises âmes; a sévit sur mille vies déjà — jamais assouvie.
errance : à souveraineté de l'ondine (a)dorée; comme à sainteté de la terre militaire.
# Jeu 22 Fév 2024 - 13:47


W I L D   T O N G UE
Just like the seed I'm chasing the water -- @aurora
___ pluie de fiel depuis ciel à l’acidité d’un suc monstrueux; voûte stomacale fait danser acidité en couteaux impétueux, c’est une chorégraphie infernale orchestrée par un luciférien impitoyable. atmosphère brûlante, frère et soeur se jettent gueules béantes dans les mâchoires ancestrales de leurs démons revêtus — pourvu qu’à deux, ils (se) tuent. pourvu que sous le regard des dieux, ils retrouvent leur vertu. qu’ils soient assassins du malsain plutôt que fantassins du malin.  

aux coeurs jumeaux, maux en choeurs;
que les chants résonnent,
que méchants se raisonnent


___je suis l’âme au goût de lame,
___le fer qui précédera ton enfer


tu es la lumière dans mon obscurité___
l’éclat fier dans ma cécité___

___ je suis l’écho de ton chaos
___la fébrilité de ton éternité


tu es le soupir dans mes silences___
le pire réincarné de ma violence___

___colosses aux poignards en croix, font trembler terre quand fer se rencontrent; d’un choc silence implose, car saintes écritures rejouent les prémices d’une fraternité qui les aura tous condamnés. titans confrontent force miroir, noir féroce dans le regard qui ne jure qu’à la vie et sa mort. ambivalence excite synapses fous, car dans sa chute kamikaze jouit d’une nouvelle extase; qu’ils soient damnés ensemble, à défaut d’être nés ensemble. mais divins s’imposent. font rouler dés de chair entre leurs corps à mettre en poussière; tavernier tire le feu séparateur. et ce qui devrait effrayer, vient rayer le coeur d’une soeur touchée. fer dressé au-dessus de leurs visages dévorés par la rage, furie se fige à mesure que son rouge velour se tâche d’un carmin plus profond. lorgnade quitte l’océan jumeau, mire les couleurs contraires; ventral évidé, vermeil a ce goût de merveille. ce goût de justice qui triomphe sur la sienne, factice.

minutes délétères,
chute menace la terre
car de la couleur de ses méfaits
sa vie doucement se défait

___damoclès toujours dressée; fière paladine lutte contre épigastre blessé. on jurerait que dans l’oeil du frère, elle quête le père — quand soudain fer rejoint la terre. mais guerrière dégaine couteau à la cheville, quand l’échine balance pourtant pour tenter de la faire rejoindre l’épée vaincue. lame se loge dans gorge assassine, gargotier ainsi épinglé envoie message à tous. everyone who tries to stop us is the next. et si lancer fait de mère blessure filles giclures, jamais n’abandonne leur ancêtre raclure. main contre la panse presque vide, furie retrouve équilibre sur guibole tremblante. « we.. are.. not -done yet — fight me now or be damned tomorrow as a coward. » crache entre mâchoires d’acier, invective des phonèmes liées au geste de l’index qui apostrophe démon fraternel. pourtant si céruléenne se veulent solides, chair se fait presque cadavre, à mesure que l’artère sanctifie la terre. i will not give up (on you).  
(c) code -- vixen, icon -- madeyesaes
@ivar chernobog

_____________________
wild tongue. (fallon) 5jtb
in your sword
still beats a heart
Fallon Chernobog
Ivar Chernobog
Ivar Chernobog
a study in sinking
faceclaim & © : a. skarsgard + MCVIII (av) ; c. lispector.
I'm alive.
Like a wound,

nature : colosse trop grand vorace de procès, connu sous le patronyme de Volkov, nouvellement fané par une odieuse faim ; aujourd'hui le voit furie.
saisons : cinquante-et-un hivers, figés dans des glaces qui ne verront plus aucun printemps.
besogne : fier capitaine de la plus belle comète, préside derrière la barre du supernova, arraché aux pognes sales d'un pater indigne.
errance : entre l'île de loi et l'océan roi.
# Ven 8 Mar 2024 - 11:48

we are the same and,
what are we made of but hunger and rage?
wild tongue
Et convoque maelstrom qui les embrase dans son feu ; jumeaux des cieux, festin funestes conjure les dieux ;;

Valkyrie surgie, gerbe folie et chante sa plus mortifère homélie. Égaux dans leurs maux, fers croisés déglinguent et martèlent en mille étincelles, alors que prunelles jumelles se bâfrent dans le miel de leur fiel. Même c r u o r qui brûle dans les deux corps ; pourtant c'est sale h a i n e qui gicle et palpite, myocardes fauves en fièvre et hurlent les veines empestées de peine, sans pardon ni raison. Diables en cavalcade au bord du vide, alors que fleurit belliqueuse extase dans les cervelles m a l a d e s. Même rictus pendus aux babines folles ; furies ravagées se mirent en égales alors que soldats hilares se déchirent sans foi ni l o i.  
Ô combat des Rois,
les dieux ont fait leur choix !

Ventrailles éclatent en grosses gerbes rouges ; pulpe criblée, instant figé. Sous la mire délavée, l'infernale tangue, chancelle, et carne du frère se trouve presque à plonger pour retenir chair familière ; mais, sans un regard, l'offensée offre déjà sa dernière lame à la gorge d'un fatum guignard. Et, quand elle se redresse, battoirs tout tâchés par la panse érubescente, c'est bataille que ses lippes mollardent encore. Alors mauvais malin se fend d'un éclat sans joie, mille dépits rendus en crachat. Déception couve, dépiaute l'échine de sa verve acide.

« And what honnor will I gain defeating you now ? », qu'il persifle en contemplant l'ébauche de cadavre. « 'Can't stand on your fucking legs... Nah – I'm gonna wait 'till you bleed to death. », et apex du sabre se dresse vers elle, carnassier déshérité d'un rubicond réclamé, accusateur et vengeur l é s é. « Then – I'll ressurect you and we'll fight again. I'm not gonna let some barkeep ruin my victory. »

Moribonde pourtant se fait encore lionne, lémure aux crocs sanguins, famine au bout des poings. Incendie chevillé au derme, carmin qu'elle flambe, alors qu'il se contente d'esquiver son ire épuisée. C'est que diablesse ne veut pas crever. Alors quel choix sinon que de la faire danser ? Coups s'accablent alors qu'elle ne saisit que l'éther, ou cueille parfois derme-chimère. Jamais assez pour vraiment le troubler, ni lui ni foutue sarabande écorchée qu'il leur fait valser. Chronos dégueule son sable alors qu'elle refuse l’inéluctable. Encore, et encore, et e n c o r e. Encore, jusqu'à ce que bois n'en puisse plus de son cruor. Charogne en rogne finit pourtant par s'effondrer, et déguste enfin le plancher des damnés.

Sœur d'un autre jour qu'il aurait admiré.
Sœur d'un autre jour qu'il aurait relevé.

(but not today)

Démon s'approche du cadavre en partance, tempête en relique qui toujours s'agite ; et, alors qu'il la lorgne de haut, psyché folle s'étiole en sordide farandole. Mille choix s'offrent et pourtant ; il n'y en a qu'un seul. « You're hard to die Chernobog... », qu'il entame, baptême blasphème claqué en anathème. Rictus fantoche rôde sur les babines, jamais bien loin de la surface. « But – it's your lucky day... I'll give a little treat to keep you compagny in Hell, a little gift from me to you –  » et diable se glisse alors près du flanc malade, accroupi, hilare, et, croisant la bile de ses quinquets, finit par souffler aux esgourdes crucifères
tous ses e n f e r s ;;

Oh,
« I am your b r o t h e r . »  

et dans les viscères ce besoin de tout dégorger, de tout vomir de cette immonde cabale qui l'a si souvent bouffé ; vérité dardée dans le bide, en dernier coup offert. Ivresse cathartique inonde le myocarde fou quand il pense voir les miroirs s'animer de foi, alors que nulle palabre ne perce de leur voix. Mais il ne s'y attarde pas. Non. Non, Prince plein de morgue se redresse en place et, sans plus la guigner, plante sa lame dans l'éclanche de la presque crevée ; chenille épinglée au plancher, en attente de sa chrysalide mortuaire, de son imago liquide. Oh, résurrection viendra, mais d'abord – la mort. Increvable ne saurait tarder à rendre son dernier souffle, mais, impatience vissée à l'encéphale maintenant que confession est faite, il ne veut plus l'attendre. Ils n'en ont pas fini, et furie se fait famine ; goût de trop peu s'attarde sur les lèvres de l'odieux.

« Don't go anywhere. », que cruel ricane en dernier clin d’œil.

Et il s'en va attraper cadavre d'un compagnon, traînant le macchabée au vent mauvais. Il reviendra. Il va s'occuper d'eux d'abord.

Et d'elle. Elle en dernière.

Ô Cain délétère.
Ô Cain qui s'espère.

@Fallon Chernobog
[crédit; a. carson; p. koublis]

_____________________

wild tongue. (fallon) Quhn
Ivar Chernobog
Fallon Chernobog
Fallon Chernobog
—   s t o r m y   b l a c k   s e a s   —
faceclaim & © : k. winnick; corvidae


P O W E R

when you move
you make my oceans
move too


nature : humaine mal-née devient furie(use) damnée; sort atroce l'en fait alors buveuse de cruor.
saisons : cavalcade file à belle allure, mais beauté jamais ne se fade; car chronos ne donne aux os que l'usure d'exister.
myocarde : avant-coeur aux mille saveurs; pourtant n'aime que terreur qu'elle sème, à en oublier les liés d'un autre temps.
besogne : reine paladine au plastron océan, cruelle dame est chasseresse des mauvaises âmes; a sévit sur mille vies déjà — jamais assouvie.
errance : à souveraineté de l'ondine (a)dorée; comme à sainteté de la terre militaire.
# Jeu 14 Mar 2024 - 10:44


W I L D   T O N G UE
Just like the seed I'm chasing the water -- @aurora
___
à clarté écartée; cet ébène au goût d’éden,
je lui dis; si seulement — si seulement,
je pouvais assouvir ma faim de la fin.


___« and what honor will i gain defeating you now? » chaos palabre à langue de sabre; tandis que l’os lâche dans carcasse en partance. s’écrase sur phalanges et croirait bientôt embrasser les anges; mauvaise vie rythmée par la fournaise de ses tristes envies. « 'can't stand on your fucking legs... nah – i'm gonna wait 'till you bleed to death. then – i'll resurrect you and we'll fight again. i'm not gonna let some barkeep ruin my victory. » éclats de rocailles éboulent rire lointain; à mesure que souffle s’éteint. pourtant furie n’a pas fait son temps, se rit d’un tragique plus grand que la mort; car quoi de plus funeste que le rejet de la faucheuse. « oh dear… you just ruined it. » agonie enrobe phonèmes d’un délire à maudire. et quand s’écrase guerrière sans fer; océan rouge devient son linceul.  « but – it's your lucky day... i'll give a little treat to keep you company in hell, a little gift from me to you –  » cruor serpente, vipérin sillage jusqu’au rien; tombeau d’or à porté de mains, destin dessine sa fin au pigment carmin. et à mesure que l’éreinte laide blessure, faux ressert l’étreinte glaciale sur carne évidée. presque décidée, presque décédée; frère en devenir s’approche et conte le pire à venir. oeillades se croisent comme acier d’océans quand…  « i am your brother. »   regard quitte céruléenne pour s’évaporer dans le monde des fumées; dans le flou de son esprit face aux reliques (tré)passées. paupières levées font pourtant jouer iris délavées de vibrance inconnue, surprise achève sa belle prise au coeur qui se bat pour battre. épiphanie sainte écrase poitrail et perfore plus que la lame, l’âme.

aux frontières des enfers,
félicité se trouve dans cécité.

___mais aigrie de vérité volée au passé s’illumine de l’idée affreuse; malheureuse ralentit cadence, comme vidée de son essence. hymne du coeur semble s’éteindre quand sur plancher lavé de rouge, plus rien ne bouge. morte de vivre, ivre s’endort — hissée sur l’éclanche pour être portée par le déporté. ainsi sous silence suspect, à travers voyage de nuit s’éveille la rage d’une soeur aux géniteurs menteurs; mais se refuse de croire à ce destin de foire. et quand l’éther frais caresse nasaux qui feintent leur désintérêt, quand duo inferno délaissent les autres — soudain d’un dernier geste ou du premier de sa nouvelle vie, goule saisit lame tannée au large flanc du frater et retombe talons à terre. « if you truly were… my brother — you would have seen t-hat coming. » et d’un fer qui transperce clavicule, un autre se déverse; strige terrible transfère vie de l’un vers l’autre. et dans la veine vérité, réponse à sa vaine éternité; et si blessure se referme, une autre s’ouvre. car s’affirme soeur infirme d’un frère, dans l’essence de vie — retrouver jumelle de la sienne. alors repousse du genou l’échine qu’elle voudrait briser pour le péché des autres, tandis que dans son âme pauvre femme se vautre. exode l’emporte vers l’horizon sans soleil, à l’empyrée vermeil sous le rire des corneilles. « …how… can you.. no you can’t. you can’t be… »  and yet, you know he is. valse dorsale la fait vague vaporeuse; vertige menace rudesse de tige spinale. « you… liar(s). » bondit soudain féline aux poings d’épines, renverse semblable dans descente infernale; roulent alors les corps comme lionceaux aux crocs éprouvés. rixe fraternelle reflète lumière distancée d’un amour éternel. et à mesure que coups s’enchainent, que mains se font bientôt chaînes sur gosier battant; les images volées et les autres envolées. kaléidoscope de réminiscences au goût de bataille pour mêmes entrailles; des combats qui semblent prendre un goût familial.

it was always about sibling rivalry,
and not just a game of cavalry.

___alors pognes se desserrent de gorge tandis que coeur regorge des eaux floues. et soudain, l’abandon qui ressemble à s’y méprendre à une étreinte; à rage éteinte. sans autre violence que celle d’un silence commun. car enfin — pour un instant seulement, ils se connaissent.
(c) code -- vixen, icon -- madeyesaes
@ivar chernobog

_____________________
wild tongue. (fallon) 5jtb
in your sword
still beats a heart
Fallon Chernobog
Contenu sponsorisé
#
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 1

Sauter vers: