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 ;; vague assouplie chahute doucement le berceau liquide. sous l'expiration du zéphyr, rive s'étend et sourit par l'ombre de ses forêts. car depuis l'antre frais, les écumes se dégueulent sur sa lisière et font échouer candeur sur l'enfer.
soudain au coucher, claquent ô voiles nébuleuses. les cieux couvent de mille pleurs ses enfants resquilleurs; les marins sont engloutis dans les tumultes sans âmes, celles vomies des abysses. tonnent les voix coléreuses, tapissant le ciel de l'emprunte jupitérienne. d'autres encore clament comme cabots, l'ire fantastique. rincés de lames, fraters se jettent ainsi aux voiles et guidons de bois, pour que vaisseau se retienne de piquer sa fin aux portes noires de leur au delà...
origine v.1 btt; 15.02.21, v.2 btm; 30.09.23 // design v.7 thème; eden's chain // réservé à un public mature et averti (-16) [ mention tw ]
thème piraterie-fantasy, post-apo. sombre en l'ère nouvelle // créatures sanguinaires mêlées aux forbans belliqueux et au corps marinier.
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Sverrir Dalgaård
Sverrir Dalgaård
heir of the snake
faceclaim & © : jonathan tucker | (c) queen lux (av et icons), queen vixen (code sign)
who shall gather the smoke
of the dead wood burning,
or behold the flowing years
from the sea returning ?


( music | moodboard )

nature : descendance légendaire de la créature gardienne des flots abyssaux, (( hybride léviathan )) coule dans ses veines de serpent.
saisons : endosse ses (( trente-sept )) années dans toute sa véracité.
myocarde : poitrail s’oublie dans le travail acharné. oreille sensible pourtant y décèle le susurrement d’un bonheur chimérique envolé, condamné à être souvenir gravé sur le bois en éternelle litanie.
besogne : journées besogneuses à endosser rôle de (( charpentier )); le bois plie sous la volonté de son savoir-faire amassé. récemment, promu chef de faction des outsiders au sein de l'insurrection émergeant des eaux.
errance : (( cover island )) comme demeure, île de naissance, île de résidence, île de mort et de la renaissance.
# Lun 6 Nov 2023 - 15:56

draw your breath in, let your thoughts fly
let it out of your lungs slowly, on wind you will bide.
that mountain mends all those who climb
tw ; maltraitance infantile, blessures physiques.

cover island - sylve des anciens - 970 (âge des personnages ; 7 ans)

Jambes serpentines court loin au creux de l'abîme. Maisonnée représentant tout sauf un foyer duquel l’enfant fuit la haine le compressant en un résidu de marmot atrophié. Géniteur à la paume d’acier faisant de l’atmosphère un étau resserré sur son psyché. Frères absents pour la journée, se retrouve seul à devoir subir sa colère en sourdine. Alors il court, là où elle l’appelle, l’âme sylvestre des bois chuchotant le silence de leur tourment assourdissant. Nous t’accueillons, c’est ici ton foyer. Il s’élance après avoir été une énième fois la victime de sa rage irrépressible. Nous comprenons, viens, pleurons ensemble, avec nous tu peux, murmure les branches, souffle la mélopée feuillie l’accompagnant dans le chagrin du garçon aux larmes barbouillant pommettes pâlottes de gaieté. Et sur le rebord de son œil, tâche bleutée du coup encaissé, ça tambourine le mal de ses nerfs sollicités, ça serre les dents de rage. Ça ravale le trop plein de larmes. Ça s’enfonce encore plus loin parmi les esprits de la sylve des anciens.

Court jusqu’à l’épuisement de ses poumons affligés par sa course effrénée. Le son de sa respiration saccadée entremêlé des feuillages décharnés sous ses pieds. Vision brouillée, oublie racines s’échappant à la surface sur lesquels il trébucha plus d’une fois. Relève toi, va plus loin. Essoufflé, il exécute ce que ses tripes et les chuchotements lui incitent. Va là où personne ne te trouvera. Trottine jusqu’à l'irréversible; pupilles floues de l’océan d’émotion le submergeant ne voit pas la crevasse. Y trébuche, petit corps devient tonneau sur plusieurs mètres en descente fulgurante. Terre et poussière se mêlent à la douleur de la surprise de sa maladresse. Le heurt faisant sortir de sa bouche pâteuse gémissement puéril. Pleure, nous pleurons avec toi. Ce n’est pas les écorchures des épines qu’il s’est pris, ce n’est pas non plus son poignet douloureux ou son genoux écorché. C’est l’image de son père le tétanisant de terreur, “qu’as-tu fais de tes habits ? regarde dans quel état tu es” et les remontrances accompagnées de chaos engendré de sa bile emportée. Il pleure. L’étourneau se tait et la corneille surveille. Ils observent l’être en proie à la détresse, à sa solitude, sa peur sondable fait taire la vie de la forêt inébranlable.

Visage poisseux de l’humidité affable, cesse les larmes, renifle sa conscience se réveillant doucement à la terrible réalité qu’il doit affronter. « Hello ?... » Commence en hésitant, faible annonce seulement entendue de la grive perchée en spectatrice abasourdie. « Is anybody here ?... » Tente une faible sollicitation, le corps pourtant encore inerte, éberlué par sa chute non commanditée. Semble indemne, sent malgré tout de nombreuses douleurs musculaires et des écorchures sur ses mollets et bras nus qu’il ne voit pas rougir dans un dangereux crescendo d’infection libérée. « Please ? » Se lève avec difficulté, écroulement de sa personne semblant l’avoir un peu trop ébranlé. Se retourne pour constater la hauteur du précipice. Pourrait escalader si ses bras et ses jambes ne hurlaient pas leur agonie de ses blessures en forme de griffures acérées. Course et chute mêlée l'ont harassé et courbaturé de douleur physique minime face à son angoisse paternelle le voilant de danger. Cœur vaillant se noie, détresse émotionnelle s'accroit. Trouve la force de te libérer, il pourrait facilement retrouver son chemin; nature serpentine faisant diriger ses pas dans des recoins à la familiarité sereine d'entrain. « Please ? » couiné tel l’enfant qu’il est d’un air apeuré. Réalisation de sa solitude désemparée. Malgré son habitude de faire le guerrier avec ses frères de sang et d'armes qui l'aide à le fortifier, seul, il n'est que le petit garçon sans défense face à l'immensité d'un monde meurtrier. Et soudainement, les bruissements de la forêt se métamorphose en frémissement d'une complainte funèbre ; nobody likes you, everyone left you, they're all out without you, having fun !
@Medea Blackwood
[crédit; icon (c) alcara]

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where is the spring and the harvest and the tall corn growing ? they have passed like rain on the mountain, like a wind in the meadow; the days have gone down in the West behind the hills into shadow.
Sverrir Dalgaård
Medea Blackwood
Medea Blackwood
HAMADRYADE
faceclaim & © : mcgrath (c) queen lux
nature : pour séduire l'obscurité, infrangible vipérine fredonne les runes antiques qui bercent sa genèse légitime, priant pater sublime de protéger le bois de marmaille sans racines ; leviathan.
saisons : trente-sept aurores vouées aux luminescences de la misère innocente, oubliées sous les drames éclectiques des folies adolescentes, bercées par les épiphanies des existences évanescentes.
myocarde : Anaphylaxique bas-ventre se repaît de l’écume nébuleuse des songes, de l’onirisme hanté des chimères qui torturent au petit jour les cadavres du Mal-Amour.
besogne : impératrice et esclave, incube adoratrice de la déréliction enfantine, enchaînée et cajolée dans son navire sacrificiel. fondatrice et directrice de l'institut des impécuniosités recueillies.
# Dim 12 Nov 2023 - 11:21

We are all brought forth out of darkness
Into this world, through blood and through pain
And deep in our bones, the old songs are waking
So sing them with voices if thunder and rain.
that mountain mends all those who climb


Bruissements inaudibles bercent l’essence invisible
Caresses organiques éraflent derme ermite
Senteurs ramures accueillent pétales en chevelure
Pigments diathèses en fresque anamnèse


Jolie sauvageonne pénètre son grand royaume
Où personne ne vient jamais
Où nul ne sait qui elle est
Fausse lionne au cœur cyprès


Gamine s’effeuille et s’affale dans les mousses et les grands arbres, respirant au rythme des sèves, jouant la symphonie des grandes selves. Corps diaphane s’irise des rayons se parant d’indifférence, observant du coin de l’œil maudite orpheline et ses jeux de vieil animal.

Cueille les contes des peupliers, arrose de tes larmes les histoires oubliées
Amasse dans ta jupe les fruits du ciel avant qu’ils ne puissent s’envoler
Croque les graines de rivières argentées et respire l’iode sacrée
Vis, ma fille, l’existence des créatures damnées

Alors conquête débutait à chaque aube et à chaque aube, joli monstre se teintait des nuances des fauves, avalant sa voix, niant son rôle et ses éclats. Aucun ne pouvait approcher l’ombre des êtres silencieux, quitte à entendre grogner l’enfant dans sa gloriole éventée. Les éléments seuls pouvaient se vanter de leur tendre intimité ; dans le silence terroriste des êtres sans cupidité, leur histoire d’amour s’ignorait.

Mais dans la quiétude de la belle cantilène
S’invite les ténèbres d’une âme en peine

Menace inquiète se peint sur les traits de la laide enfant, déformée par les peintures boueuses et les plumes de paon. Bruit titan pousse corps à se dissimuler sous les feuilles géantes des protecteurs immobiles. Dans l’ombre des cyprès, grenouille se faufile, interdite et volubile, suivant, feintant, poursuivant, la course de l’animal. Les pas lourds trahissent l’humanité affolée ; les plaintes étouffées la détresse des égarés. Double cavalcade se font fausses-jumelles ; l’une érudite en terrain conquis, l’autre terrible fuite finalement maudite. L’épilogue douloureux déforme la gueule de l’infante-bête, encore dissimulée dans les ténébres bienfaitrices.

« Is anybody here ?... » Phonèmes missiles troublent la paix et projettent silencieusement le corps indécis. Observation muette se poursuit au rythme des appels à l’aide alors que les pupilles enfin, se posent sur le serpent piégé. L’intensité des maux interrogent fille sans émois, l’humanité se reflétant dans les pupilles oblongues. « Please ? » Mine se fronce encore sous désespoir lattent puisque résonnent les ordres de baba yaga maternel ;
Don’t talk to men. They’re always lying. Don’t talk to anyone. They’ll poison your mind.

Mais dans l’obscurité du carde blessé, seul se dessine sous regard effarouché, la peur du vipéreau effrayé.

« You lost » s’égrainent les syllabes lentement, rauques encore d’avoir dormi si longtemps. La tête brune se dévoile finalement, dissimulée quelques secondes encore sous les fougères épaisses.
« You bleed » Tonalité azur contraste avec plainte bourrasque, laissant à l’horreur une porte de sortie. « You not very clever » constat sans amertume puisque seule l’intelligence se veut répugnance. « If you don’t come out, my friends will come and eat you » Calme se teinte d’agacement puisque dans logique cyclique, jolie proie ne mérite pas les crocs acérés des dieux de la forêt.

 @Sverrir Dalgaård
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from the sea returning ?


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nature : descendance légendaire de la créature gardienne des flots abyssaux, (( hybride léviathan )) coule dans ses veines de serpent.
saisons : endosse ses (( trente-sept )) années dans toute sa véracité.
myocarde : poitrail s’oublie dans le travail acharné. oreille sensible pourtant y décèle le susurrement d’un bonheur chimérique envolé, condamné à être souvenir gravé sur le bois en éternelle litanie.
besogne : journées besogneuses à endosser rôle de (( charpentier )); le bois plie sous la volonté de son savoir-faire amassé. récemment, promu chef de faction des outsiders au sein de l'insurrection émergeant des eaux.
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# Sam 25 Nov 2023 - 10:39

draw your breath in, let your thoughts fly
let it out of your lungs slowly, on wind you will bide.
that mountain mends all those who climb
Chicotements et hoquets répétés du garçonnet serpentin frustré de sa faiblesse enfouis dans son corps engourdi. Mille et un scénarios prennent forme en monstruosités, esprit apeuré, paternel grondant son étourderie malavisée, frères inquiets de ses aléas solitaires. Don’t go too far alone, répète sans cesse l’aîné dans son rôle de protecteur affublé. Malchance fraternelle, impossible de contenir la sinuosité du frangin, jambes frétillantes, avides de découverte de la vie en dehors de leurs murs exigus de colère bafouée.  

Oiseaux gazouillants détresse lorsqu'au milieu de la nature criarde de chuchotements médisants se détache langage familier. “You lost” réveille en sursaut garnement de sa rêverie opaque de brutalité. Rauque tonalité à l’étrange sonorité, ça vient de dehors, ne rêve pas la présence venant de l’interloquer. Aperçoit tête assombrie, en contre-jour de la lumière, n’voit que le contour de sa silhouette qu’il devine féminine, davantage par chevelure bataillée que sa voix dépareillée. « I’m not lost. I just fell. » Boude l’aveu honteux, yeux baissés en dissimulant l’affront de sa médiocrité. La voix juvénile constate ses blessures aux rougeurs suintantes timidement leur avancée sur son épiderme balafrée. « It’s ok, I will heal. » Nature hybride aux atouts conséquents face aux affres physiques et à l’imperturbabilité du temps indécent. Sait d’expérience que les blessures cicatrisent, laissant stigmates de l’ébranlement enduré uniquement dans un subconscient en construction délabrée; s’en fait une armure soudée par des scories éclatées.

Relève la tête vers l’inconnue, auréolée d’une lumière singulière lui faisant lever ses paumes dans le souhait infantile de mieux percevoir cette présence sibylline. “You’re not very clever”. Souffle l’avanie percuté, reçoit l’injure blessant amour-propre déjà piétiné. « That’s not nice. You’re not nice ! » Grimace frustration du jugement balancée en piètre affirmation contestée. Mêle tristesse d’être insultée et colère du gamin renfrognée par sa chute et son ego froissé. Puis menace intempestive de créatures mangeurs d’enfant aux échos trépidants de douleur alarmante. Reste coi l’instant d’assimiler le mythe conté de l’inconnue à la voix débraillée. « Why ? I didn’t do anything ! » N’demande pas l’origine des amis susmentionnés. Suppose par croyances assimilées et naïveté enfantine la véracité de ses dires morbides de cruauté. Crispation avachie, dans le doute malgré les piaillements de son aîné lui rappelant que monsters aren’t real, sait la fausseté de l’affirmation prononcée pour rassurer. Les vrais monstres sont côtoyés au plus près de son quotidien cravaché. « Can you help me then ? » s’avise-t-il de demander, tend le bras vers l’horizon, cherchant son aide sommaire après sa chute débonnaire. « I don’t want to be eaten by your friends. Why do they eat people ? » Maussade gaminerie, illustre inquiétude en gestes appliqués, tente d'agripper racines solides en prise chétive pour son poids de garnement. Perd équilibre, titube lorsque souche s’arrache de la terre en poussière, l’éclaboussant de dépouilles sablonneuses. Crachote toux expéditive. Faculté de l’enfant se reprenant rapidement, décide de braver la nature, l'œil encore humide de la poussière ingérée. « I will get scolded if I don’t get out. I didn’t fall on purpose. » Gémissement apeuré, se justifie par réflexe débonnaire, quotidien parental forgeant les gamins à la défense face à une respiration mal expirée pouvant troubler le géniteur fulminant. Tente de trouver une autre prise parmi parmi les branches ou cavités pouvant accueillir ses doigts crispés. Retend son bras vers le ciel dans l'espoir d'être saisi, espoir reposant sur l'inconnue aux amis carnivores de chairs hybrides. Punition cruelle. Promesse inconsciente de ne plus fuir aussi impunément lorsque solitude désœuvrée l'envahit de pulsion d'échappatoire clandestine. Divinités sournoises l'ayant troublé par ses larmes, brouillard leurrant vision de son monde sylvestre à l'accueil champêtre devenu guêpier glaçant. « Please ? » écarquille mirettes à l'océan englouti par sa détresse contenue en faiblard espoir de survie. Ne soit pas un agent de leur sournoiserie sinistre.
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myocarde : Anaphylaxique bas-ventre se repaît de l’écume nébuleuse des songes, de l’onirisme hanté des chimères qui torturent au petit jour les cadavres du Mal-Amour.
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# Dim 17 Déc 2023 - 10:46

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So sing them with voices if thunder and rain.
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« I’m not lost. I just fell. » explication boudeuse intrigue l’intrépide qui se risque à dévoiler furtivement les traits de sa gueule marsouine. les pupilles interrogent et s’intriguent, parcourant le corps freluquet du jeune emprisonné. une pensée, fugitive, s’étonne dans la brise ;
why that stranger
is looking just like me ?

les interdictions sacrilèges de mère-grand s’échappent du psyché insouciant puisque sous les consonnes latentes, seules la souffrance résonne en danger irradiant. « It’s ok, I will heal. » rassure sans contrefaçon jolie bête acculée, pourtant semblant irradier d’heures carmines. ce n’est pas la forêt, qui l’a blessé – chuchote sagesse des profondeurs. ce n’est pas ses crimes sur ses terribles plaies.
quel monstre, alors, t’a effrayé ?

« That’s not nice. You’re not nice ! » résonne dans le ciel impassible, reflétant le calme de l’observatrice. « being nice makes you fall into holes. » répond laconiquement l’insultée, peu usée aux mœurs des êtres sentimentaux. peut-être gamine éthérée aurait-elle pu laisser chairs carminées aux bestiales errances qui, dans la nuit rance, se repaissent des êtres ensanglantées. peut-être aurait-elle pu raconter son extatique découverte aux lobes pendants de baba, récompensée pour avoir puni l’engeance des faramineux et nourri les spectres immémoriaux. peut-être aurait-elle pu se moquer de son âme perdue, luisante de fragilité dans l’aquilondu soir, condamnant gamin à mourir de désespoir. peut-être que, dans la beauté de la nature insensible, infante naturelle  aurait pu se montrer véritable golem.

mais, dans la voix dérisoire
sous l’impulsion des consonnes du moutard
mais, dans les géhennes de sa résipiscence
sauvageonne se pare de résilience

« can you help me then ? » soupir traverse branchiales alors que pupilles fouillent le tapis de mousse. sous les interrogations pressantes, musaraigne disparaît un instant, singeant l’abandon de l’otage sylvestre, abandonnant ses délibérations funestes. plaintive mélodie trouble l’harmonie de ses terres et fronce le visage misanthropique jusqu’à ce qu’enfin, trésor s’offre sous les phalanges terreuses.

« because they are hungry. because that’s what they do. you fall, they eat. that’s nature » récite patiemment les mots de l’Ancienne, persuadée sans doute de la vérité du cycle éternel. « I will get scolded if I don’t get out. I didn’t fall on purpose. » silence répond au fait cruel alors qu’incompréhension peint le masque animal. enfin, gamine se teinte d’humanité par son silence éhontée. « Please ? » pour seule réponse, lianes entremêlées se jettent dans l’abîme, assez solides grâce au tissage des feuilles habiles. sous les rayons tièdes, la silhouette se découvre à peine ; seules preuves de sa tangibilité s’incarnent en la voix souveraine et dans la force témoin. « you have to climb. i’m holding the vine » comme preuve, cette dernière s’agite avec vigueur sous le nez du gamin. « you can do it. » ajoute-elle, intimement persuadée du sauvetage sans heurts. « if you fal again, i’ll leave you there... » cruauté enfantine s’irise d’humour étrange, mariant vie et mort, plaisir et douleur en union naturelle. pourtant, dans la brise légère, les mots chuchotés comme promesse au pauvre hère : «... but i won’t let you ».


 @Sverrir Dalgaård
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# Lun 1 Jan 2024 - 15:12

draw your breath in, let your thoughts fly
let it out of your lungs slowly, on wind you will bide.
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Paradoxe dérangeant à l’inconfort dégradant. Seul espoir environnant pour le secourir de ses déconvenues enfantines, mais déplaisant conciliabule de sa répartie d’infortune. “being nice makes you fall into holes.” Interdit et interloqué, longues secondes s’enfuient, nécessaire pour analyser, réflexion où les mots prononcés prennent un sens perturbant. « Being mean makes you ugly. » marmonné en rechignant son incommodité. Fils de la forêt aveugle aux préceptes de la beauté, trop ébloui par les éclats solaires auréolant sa sauveuse d’une lumière nébuleuse. Ignorant volage, splendeur disséminée dans cette nature dans laquelle il a voulu trouver refuge. Hideux quotidien, entre leur mur prénommé foyer où tout n’est qu’abjection vaurien.

Mais voyez l’enfant troublé, essoufflé par cette avanie l’ayant fait trébucher. Etrange parallèle de ce qu’il a souhaité ardemment échapper, se retrouvant littéralement au fond de l'abîme, cette obscurité même qu’il a tenté de fuir. Quémande de l’aide car ne peut se relever seul de son étourderie. De sa jeune vie, sa solitude a toujours été accompagnée par la protection de l’aîné le soutenant à être les défenseurs du cadet. Always. Hargne en façade de la violence imprégnée de ses nuits à serrer les dents de latents tourments. “[...] they eat. that’s nature.” Les monstres ne mangent pas, ils engloutissent toute vie jusqu’à les annihiler pour s’en imprégner, se nourrissent de l’épouvante pour gagner en puissance. « I know… » répond tristesse et dépit, car se sait être le faible apitoyé dans ce monde régi par la cruauté. Qu'il déteste être faible. Le garçon essaye encore, appel à l’aide dans les branchages sournoises. Seule possibilité dans les méandres de la poussière et de l’impossible. Grattant épiderme qui le démangeait de ses égratignures qu’il devra dissimuler pour empêcher ecchymoses paternels de se rajouter aux éraflures cutanées.

Apparaît alors salvation. Lianes reçues en fulgurant cordage représentant soudainement sa plante libératrice de cet odieux précipice. Visage du garçon immédiatement métamorphosé, éclat de joie, étincelle d’espoir, aucun monstre ne me mangera aujourd’hui. Compatriote invisible, entend tout juste conseil avisé. Sans attendre, commence à agripper la tige ligneuse, phalanges tordues, ongles enfoncées, respiration haletante lorsqu’il doit soulever son faible poids à chaque nouvelle prise. “you can do it.” Encouragement auquel il ne put répondre que par une expiration essoufflée. Nature hybride conditionnée pour faire face aux tâches physiques, n’en reste pas moins un enfant apprenant encore à maîtriser ce qui coule dans ses veines vipérines. Mi-chemin, entend le sombre dessein qu’elle lui promet si ses jambes et ses bras le trahissent dans sa grimpe épiphyte. « I’m almost there ! » qu’il crie pour ne pas qu’elle le laisse tomber comme le serpent dans la fosse à attendre son gibier. N’entend pas le bienveillant chuchotement azuré, il le sent en brise fraîche allégeant son échine cuisant dans les derniers mètres de sa montée escarpée. Puis rebord bénie, accroche ses griffes à même la terre, se hisse en déposant ses coudes l’aidant à prendre appui pour le reste de corps. Jusqu’à trouver l'entièreté de la forêt l’accueillant au creux de sa chaleureuse terre. S’allonge sur le dos, bras en croix, poitrail se levant et s’abaissant en respiration hachée. « I… did it ! » Souffle saccadé, perturbé par quelques railleries nerveuses de l'adrénaline retombée. Tourne la tête afin de mieux visualiser la silhouette jusque-là entraperçue d’ombre et de lumière débonnaire. Fillette ébouriffée aux yeux paralysant d’intensité, dégaine relative en reflet de ses propres habits; dépareillée. « Thank you ! » Et sans prévenir, ses nerfs lâchent leur emprise. Il rit. Surpassé par la menace paternelle fulminant sa lourde main accusatrice de trouble, petite victoire du petit homme au rire carillonnant en écho des gazouillis d’oiseaux chanteurs. Retrouve peu à peu son calme dans la sérénité des bruissements sylvains prenant le relais de l'orchestre bucolique. « What’s your name ? I’m Sverrir. » Prend appui sur ses paumes endolories, observe plus attentivement sa sauveuse not that mean after all. « Your eyes are so big. I have the same color, look. » Écarquille paupières pour illustrer les propos enjoués du gamin ayant retrouvé son franc-parler. A trop écarquiller, brume humide de démangeaisons commençait à faire monter la marée. Cligne alors frénétiquement avant de reprendre son appétence complaisante. « Why I've never seen you before ? Where do you live ? » Curiosité en attaque d’emblée. La forêt regorge d'habitations disséminées, peut-être vit-elle recluse avec ces quelques-uns considérés en ermite singulier ?
@Medea Blackwood
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nature : pour séduire l'obscurité, infrangible vipérine fredonne les runes antiques qui bercent sa genèse légitime, priant pater sublime de protéger le bois de marmaille sans racines ; leviathan.
saisons : trente-sept aurores vouées aux luminescences de la misère innocente, oubliées sous les drames éclectiques des folies adolescentes, bercées par les épiphanies des existences évanescentes.
myocarde : Anaphylaxique bas-ventre se repaît de l’écume nébuleuse des songes, de l’onirisme hanté des chimères qui torturent au petit jour les cadavres du Mal-Amour.
besogne : impératrice et esclave, incube adoratrice de la déréliction enfantine, enchaînée et cajolée dans son navire sacrificiel. fondatrice et directrice de l'institut des impécuniosités recueillies.
# Sam 13 Jan 2024 - 10:35

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Into this world, through blood and through pain
And deep in our bones, the old songs are waking
So sing them with voices if thunder and rain.
that mountain mends all those who climb


ascension s’ourle de vertiges pour le gamin voltige qui s’hisse de toute son existence sur les muscles graminées. mère nature offre appendice comme présent impartial, hâtée de sauver ou de dévorer les chairs du monstre gringalet. mais môme sylvestre se refuse aux sacrifices vains lorsque ces derniers reflètent mimesis, promettent révélations pythonisses. alors elle tient bon et assure le sauvetage impromptu, la rencontre imprévue du garçon pierre qui, dans le creux de ses pensées hivers, a brisé la glace par sa seule présence. les consonnes enjouées remplacent la froide tristesse du gamin abandonné sans ivresse et sorcière s’étonne du soleil qui perce son timbre. jamais yaga n’avait éructé pareille chaleur ; jamais n’avait-elle esquissé autre chose que râles et souffles labeurs. alors, monstrueuse se penche et écoute les echos symphoniques que produisent la gorge carillon, s’interrogeant sur la nature d’un être capable de telle déraison.

derniers efforts enfantent créature qui se révèle sous les rayons tièdes de l’augure. les feuilles peignent des tâches colorées sur l’ensemble de son corps, offrant portrait symbiose à l’ébaubi misanthrope. petites mains aux forces éprouvées relâchent enfin les fers végétaux et observent silencieusement l’astéroïde aux grands émaux. émois dansent, rougeoient, bourdonnent sur la face étrange ; soulagement, joie, enfance frissonne sur l’ossature mésange. « Thank you ! » éructe enfin en en souffles saccadées les premiers mots qui semblent pouvoir réchauffer toute la cité. puis, c’est un bruit cascade qui dévale les sentiers ; c’est une symphonie, une ode à toutes les étoiles qui résonne dans les artères même de la forêt. hamadryade s’effarouche, inquiète et médusée ; recule instinctivement sous l’attaque sans pitié. muette, elle observe ; secrète, elle s’empare de l’épiphanie éphémère qu’il lui offre du bout des lèvres. « What’s your name ? I’m Sverrir. » patronyme suave s’égrène sur son palais comme la découverte d’un nouveau trésor – sverrir ; nouvel être – sverrir ; maladresse. – sverrir : rire liesse. « sverrir » répète-t-elle pour elle-même, scellant peut-être quelque chose aux échos importants pour elle-même et l’univers. « i’m not allowed to give my name to strangers. baba says they might steal it from me » langue caresse superstition sans effort, énonçant mystère comme syllogisme. « who I would be if you stole my name ? » elle hausse les épaules et refuse d’en dire plus, s’emmurant de silence devant la démonstration physique de leurs airs de miroirs. « Your eyes are so big. I have the same color, look. » un air étrange se dessine sur la trogne pouacre alors que lentement, s’approche furie. d’un air douteux, elle observe de ses iris protubérantes les glaces jumelles, un peu trop près sans doute, pour les bienséantes normes. elle analyse, elle calque, elle s’imprègne des couleurs primaires, des lactescences, des nuances où se mêlent terre et rivière. « you have birds in your voice and the forest in your eyes. me too ? » elle se penche et offre à l’analyse l’immensité de ses iris jusqu’à ce qu’enfin, raison revienne la saisir. « Why I've never seen you before ? Where do you live ? » soudain, gamine s’agrippe aux branches qui les dominent avec l’aisance d’une bête féline. elle observe, malicieuse, l’hôte de la forêt et réponds, évidente et énigmatique :  « everywhere » confession s’éternise sur lèvres ourlées ; « the forest is my home. she told me you were there. you should thank her » arachnéide se laisse choir sur le tapis de feuilles, s’avançant de nouveau pour interroger l’inconnu et ses origines ; « but you… you, where do you live ? and how did you get here? are there other people like you? » like us ?  curiosité s’ourle de mutinerie à l’ultime interrogation :  « do they often fall into holes? it is like a game ? »
 @Sverrir Dalgaård
[crédit; icon (c) giphy]
Medea Blackwood
Sverrir Dalgaård
Sverrir Dalgaård
heir of the snake
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who shall gather the smoke
of the dead wood burning,
or behold the flowing years
from the sea returning ?


( music | moodboard )

nature : descendance légendaire de la créature gardienne des flots abyssaux, (( hybride léviathan )) coule dans ses veines de serpent.
saisons : endosse ses (( trente-sept )) années dans toute sa véracité.
myocarde : poitrail s’oublie dans le travail acharné. oreille sensible pourtant y décèle le susurrement d’un bonheur chimérique envolé, condamné à être souvenir gravé sur le bois en éternelle litanie.
besogne : journées besogneuses à endosser rôle de (( charpentier )); le bois plie sous la volonté de son savoir-faire amassé. récemment, promu chef de faction des outsiders au sein de l'insurrection émergeant des eaux.
errance : (( cover island )) comme demeure, île de naissance, île de résidence, île de mort et de la renaissance.
# Jeu 25 Jan 2024 - 22:28

draw your breath in, let your thoughts fly
let it out of your lungs slowly, on wind you will bide.
that mountain mends all those who climb
Hymne de la nature qui s’éveille en poème aérien des chants d’oiseaux coquins. Quelle curiosité, ces deux enfants perdus au creux d’un labyrinthe forestier avec pour seule compagnie leurs âmes qui s’apprennent, échangeant les préceptes de leur innocence serpentine. Patronyme qu’elle répète sans qu’il soulève la solennité de ce premier échange prononcé. Prémisses des voix hantant ses rêves solitaires. Puis l’étrangeté continue de s’enchaîner. Autorisation de donner son nom est prohibée. Plisse les yeux d’incompréhension sommaire, car la justification semblait étrangement invalide auprès de sa curiosité assoiffée de son identité. « I don’t want to steal your name. I've already got one ! » Sincérité naïve, mais l’enfant ne se renferme pas, la forêt lui apprend ses mystères à chaque rencontre insolite. « Can I give you a name then ? Please, I would love to give you a name ! Can I call you Rose ? » Discussion monologuée en décision instantanée. Excitation du moment, patronyme choisi pour sa sonorité à la douceur évoquée et aux mystères multipliés en sa courte compagnie embrumée.

Enchaînement dans la description fomentée de ses pupilles et sa voix au sonorité mélodique. Risette amusée, « So cool. » en commentaire apprécié de son analyse artistique. Fait de même avec l'œillade présentée en plissant paupières comme un savant intrigué par l’introspection dévoilée. « I see the waves shining in the moonlight in your eyes, and you sound like a nymph. » qu'il décrit en appuyant sur chaque mot. Bienheureuse fut sa conclusion achevée en sourire béat d’ingénuité. Dryades citées en source de contes et traditions chantées en croyance révérée. « My brother says that nymphs are creatures from the forest who appear to help people. Are you one of them ? » Candide innocence de son apparition soudaine pour venir en aide à sa détresse incommodante. Quémande ses origines, puis s’agrippe en ne faisant qu’un avec la nature environnante, grimpant à dominer leur petit monde fabuleux de possibilités. “the forest is my home.” Écoute son homélie royale en évidence proverbiale. La forêt lui a parlé. Remerciement était de mise au même titre que son envoyée l’ayant sauvé. Se met alors debout, pieds surélevés comme pour tenter de se mettre à la hauteur des arbres ancestraux, bras tendus en festivité célébrée. « You’re right. THANK YOU ! » Satisfaction rassasiée, l’observe s’étaler parmi les feuilles en l’interrogeant sur la souche de ses racines embourbées. « I live in a hamlet west of the forest. And there's a lot of us ! » Bras encerclant silhouette primitive du monde qu’il connaît entre les quatre murs de son foyer délabré. « I have two brothers. We live with our father, but he’s not nice. » Déblatère vie quotidienne comme une quelconque banalité malgré le détail tragique du paternel à la lourde paume tranchante de violence quotidienne amère. « My best friend's called Meora. She's so cool. And she is like me ! » Frétille à la mention de son amie, chère à son âme d’enfant contaminant sa vitalité par sa compagnie étincelante de joyeuseté. « But what about you ? Why do you ask if there's other people like me ? Are you the only child in... here ? » Singularité de la question attablée, monde fantastique l'entourant est davantage apprécié lorsqu'il est partagé avec camarades du même âge ou sa fratrie bien-aimée. "do they often fall into holes? it is like a game ?" Tête secouée en négation désapprouvée. Retrouve un instant moue embarrassée de sa fuite précipitée l'ayant amené à chuter. « No, it’s just me. I was clumsy. I got there by running from my father. » Tortille phalanges mécaniquement, dans un geste réflexif incontrôlé, tête retournée comme si craquement des herbacées lui a fait craindre présence malveillante sur ces mystérieuses contrées. Efface l'appréhension en un sourire vertueux de zèle enfantine ; claque paumes entre elles en soudaine illumination noyée. « But we can play a game together ! What do you like to play ? » qu'il questionne guilleret, sautillant d'une jambe à l'autre, aux aguets de ses intérêts spéculateurs, prêt à démarrer un nouveau chapitre d'amusement féerique en sa compagnie. Ouvrant la première page de l'illustre ouvrage ; celle de sa relation flamboyante d'amour pénétrant.
@Medea Blackwood
[crédit; icon (c) alcara]

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where is the spring and the harvest and the tall corn growing ? they have passed like rain on the mountain, like a wind in the meadow; the days have gone down in the West behind the hills into shadow.
Sverrir Dalgaård
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